Dans la foulée de À travers le miroir sorti en 1961, Bergman poursuit avec Les communiants son travail d’épuration. Il aborde une fois de plus la remise en question de l’existence de Dieu mais cette fois sans artifice. Même si l’approche symbolique demeure présente à l’image, il se contente de capter le cheminement intérieur des personnages et grâce au talent exceptionnel de chaque membre de la distribution, le spectateur demeure ...
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Anaxagore
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5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un chef-d'oeuvre immense! Second volet de la trilogie sur Dieu, «Les communiants» (1962) fournit ce qui est peut-être la clef d'élucidation de tout l'édifice bergmanien. On la trouve dans la scène centrale de l'ouvrage, quand le pasteur médite les paroles du Christ: «Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné»? Bergman, fils de pasteur, les comprend à la lumière de l'interprétation de Luther. Celui-ci, à l'encontre de la ...
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nekourouh
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3,5
Publiée le 31 mars 2012
Un bel ensemble. Réflexion interessante et passionnée sur la religion.
Arthur Debussy
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1,5
Publiée le 23 avril 2017
Une fois de plus un Bergman incontournable! Plus que jamais, «Les Communiants» est le reflet mis à nu de l'angoisse existentielle du cinéaste suédois, de sa détresse face au « silence de Dieu ». «Le Septième Sceau» était encore plein de vie (malgré l'omniprésence de la Mort), la question de l'existence divine se fondant avec une multitude d'autre préoccupations. Ici Bergman ne s'embarrasse plus de chercher à camoufler sa peur, il ...
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