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    Madame Solario
    Bande-annonce Madame Solario
    22 août 2012 en salle | 1h 33min | Drame
    De René Féret
    |
    Par René Féret
    Avec Marie Féret, Cyril Descours, Salomé Stévenin
    Presse
    3,3 12 critiques
    Spectateurs
    1,6 97 notes, 26 critiques
    VOD
    noter :
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    Synopsis

    Lac de Côme Septembre 1906, des aristocrates en villégiature se retrouvent dans un hôtel de luxe et vont devoir accueillir dans leur petite communauté, Natalia, Madame Solario. Jeune et belle mais néanmoins ruinée et divorcée, elle va être surprise par l’arrivée à l’improviste de son frère, Eugène Ardent, qu’elle n’a pas vu depuis des années. Le frère et la sœur ne tardent pas à prendre conscience de l’ascendant qu’ils provoquent sur les personnages fortunés de ce petit monde. Ils tentent alors d’en séduire certains avec l’objectif d’asseoir leur situation. Mais leur lourd passé les rattrape et crée le scandale, les obligeant à fuir...

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    En VOD / Blu-Ray, DVD
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    Bande-annonce

    Madame Solario Bande-annonce VF 1:22
    Madame Solario Bande-annonce VF
    76 729 vues

    Acteurs et actrices

    Marie Féret
    Rôle : Natalia Solario
    Cyril Descours
    Rôle : Eugène Ardent
    Salomé Stévenin
    Rôle : Missy Vlamynck
    Harry Lister Smith
    Rôle : Bernard

    Critiques Presse

    • L'Obs
    • Le Parisien
    • Les Inrockuptibles
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    Critiques Spectateurs

    conrad7893
    conrad7893

    258 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    film d'époque très très ennuyeux soporiphique
    les acteurs ne sont pas justes
    histoire d'inceste, de tromperies, de scandales au début du XIX
    à fuir
    Aspro
    Aspro

    13 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    Une période étouffante dont les décors superbes sont beaucoup plus intriguants que les personnages qui les habitent, madame Solario est décevant ,du scénariste-réalisateur-producteur René Féret, Une fois de plus, avec sa fille dans le rôle principal, offrant une magnifique toile de fond pour des portraits de riches décadents. Le livre en 1956 a provoqué une petite sensation quand il a été publié , d'une part parce que l'auteur ...
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    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2012
    Après "Nannerl, la soeur de Mozart" en 2010, véritable "monstruosité" historique (salmigondis de dates, lieux et personnages), où il dotait de dons qu'elle n'a jamais eus la soeur aînée du génie salzbourgeois dans le but cependant louable de parler de la condition féminine peu enviable au 18ème siècle, René Féret adapte pour le cinéma le roman "sulfureux" et longtemps anonyme, "Mrs Solario", écrit par l'Américaine Gladys Huntington ...
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    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 août 2012
    voilà un film complétement raté... c'est un cas d'école, ils devraient l'étudier à la Femis... tout ce qu'il ne faut pas faire !!!

    Photos

    Secrets de tournage

    Des sources d'inspiration multiples

    Le cinéaste René Féret explique que sa volonté de porter à l'écran une histoire d'amour incestueuse entre un frère et une sœur lui vient de son attirance pour la gémellité, mais pas seulement. Il a également lu de nombreuses œuvres sur le sujet, comme il le dit lui-même : "J’ai longtemps pensé à "L’Elu" de Thomas Mann. Puis au roman français anonyme du 15ème siècle qui a inspiré Thomas Mann. J’ai lu pas mal d’œuvres sur ce thème dont "Anna, Soror Lire plus

    L'ombre d'un secret

    Le réalisateur aime à travailler la thématique du secret qui pèse comme une ombre et un carcan sur les individus. Ainsi, en 1985 déjà, dans Le Mystère Alexina, René Féret avait abordé le sujet en se basant sur la vie d'une hermaphrodite forcée de se conformer à la norme sociale, tandis qu'aujourd'hui, avec Madame Solario, il pose le problème des amours interdits, toujours en référence à cette norme.

    Les contraintes du film d'époque

    Le film, dont l'action se déroule au début du XXème siècle, a été tourné entièrement en costumes. Comme l'explique le cinéaste, cela implique une somme de travail très importante, car en choisissant de faire évoluer les personnages dans une époque révolue, il est évident que les références contemporaines deviennent obsolètes. René Féret déclare à ce propos : "Dans un film d’époque, les références à la réalité contemporaine ne nous servent à rien. Lire plus

    Infos techniques

    Nationalité France
    Distributeur JML Distribution
    Récompense 1 nomination
    Année de production 2012
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD 24/04/2024
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 8 anecdotes
    Box Office France 13 384 entrées
    Budget -
    Langues Français
    Format production Super16
    Couleur Couleur
    Format audio Dolby SRD
    Format de projection 2.35 : 1 Cinemascope
    N° de Visa 130479

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    Commentaires

    • Aspro
      Une période étouffante dont les décors superbes sont beaucoup plus intriguants que les personnages qui les habitent, madame Solario est décevant ,du scénariste-réalisateur-producteur René Féret, Une fois de plus, avec sa fille dans le rôle principal, offrant une magnifique toile de fond pour des portraits de riches décadents. Le livre en 1956 a provoqué une petite sensation quand il a été publié , d'une part parce que l'auteur était anonyme (Huntington ne se révéla une fois le succès arrivé), et d'autre part parce que ses représentations de l'inceste, le viol et le suicide parmi un groupe de vacanciers dans la croûte supérieure C'était quelque chose d'une rareté à l'époque. Cependant, les tabous ont été brisés. Situé dans le magnifique lac de come vers 1907, l'intrigue se passe du point de vue d un jeune aristo britannique, Bernard (Harry Lister Smith) pour la soi-disante enchanteresse Natalia Solario (Marie Féret), dont il tombe rapidement sous le charme, seulement il finit par apprendre que la madame discrete recèle des secrets très sombres. Si les protagonistes ressemblent à une liste de blanchisserie pleine de clichés , ils sont à peine élevés par un style laconique qui tend à garder les émotions à bout de bras, avec les acteurs récitant leurs dialogues comme s'ils lisaient le code de la route. Certes, de telles techniques de distanciation ont été souvent utilisée par l Bresson ou Rohmer, mais le film n'a ni la grâce cinématographique de l'ancienne ni la moralité légère de ce dernier, et ses représentations de convoitise, malgré l'angle de l'inceste, m' a à peine lever un sourcil. Quant à l'héroïne éponyme, elle est appelé à jouer des moments «beau» et «magnifique», mais en réalité, a à peu près autant de charisme qu' une boîte de carton. C'est sans doute le résultat d'un choix de Féret, qui, comme tout le reste dans ce one-man-band production aux côtés de sa fille, la femme du directeur est crédité à la fois comme rédacteur en chef et co-producteur, tandis que le film a été auto-produit par leur propre distribution , certainement limités. Ce que Féret parvient à capturer sont les plus magnifiques paysages du lac de Côme et ses nombreuses villas qui sont baignés dans une lumière naturelle or qui est amplifié par l'utilisation d'une pellicule 16mm. Ceci, remplis d'antiquités, des intérieurs mauve-taillées,un escalier en marbre magnifique . Finalement un film plutot terne 1.5/5
    • alainetsisi
      Dialogues tres récitatif morne plat une sorte de long monologue (ne serais ce pas celles qui jouait dans Nannerl la soeur de Mozart ?) dommage
    • angelabassompierre
      je n'ai pas tenu tout le film, plat pour moi.... au moins, l'enfant d'en haut montrait de la vie, s'il est mis en film similaire....... Beaucoup de mal et je le trouve difficile à regarder car il est lent. Les relations entre les personnages ne m'ont pas plu. je vais essayer d'en trouver d'autres du même réalisateur, peut être que ce sera mieux.
    • philoutam
      Une nullité ! ...ah, les costumes sont beaux et le lac de Côme fait ce qu'il peut... sans doute, l'oeuvre aurait été appréciée comme un bon début, fait par un petit jeune de 17 ans avec sa bande de copains, pour la fête d'un bourge lycée d'excellence. Mais là !!! ...dire qu'on donne des subventions, des avances sur recettes, des dizaines de salles pour un navet pareil (comment ? ...vous nous dites, dans "Secrets de tournage", que Féret aurait été "révolté" que l'avance sur recettes le lâche ?... ouf, ça me rassure ! Mais voir ça distribué partout, c'est encore un privilège inadmissible...).Et la pauvre "actrice"... un laideron gras qui glousse dans son nez busqué pour ne rien dire...Et pourtant, le médiocre roman de moeurs bourgeoises aurait pu être transfiguré par un metteur en scène respectueux de son métier, de ses acteurs et de l'art cinématographique. Au fait, quelqu'un sait-il s'il y a eu une adaptation de "Mademoiselle Else" de Schindler ? ...là, en fait de perversion névrotico-aristocratique dans des palaces huppés, ça dégage...
    • annereporter94
      C'est vraiment un film de réalisateur et René Feret en est un mais il faut pouvoir entrer dans son univers et ce n'est pas toujours facile...
    • Nadine A.
      J'ai vu ce film en avant-première pendant mes vacances et c'est la première fois qu'un film me déçoit, je suis assez bon public, mais là, je me suis ennuyée du début à la fin!!!L'actrice n'en était pas une, sans doute la fille ou la nièce du réalisateur!!Molle, n'exprimant aucun sentiment, sans dialogues intéressants. Les autres acteurs semblaient être perdus au milieu de nulle part!!! Mais Pourquoi avoir fait un tel navet????Un conseil : n'allez pas voir ce film!!!!!!!!!!!
    • Van der Stratten
      Vu en avant-première et en présence du réalisateur et de la plupart des acteurs principaux, je me disais que ce film avait tout pour me plaire. Costumes Belle Époque, haute société, manipulation, séduction et mystère. Féret m'a démontré magistralement mon tort. A qui la faute? Essentiellement à l'insipide actrice principale, qui incarne le personnage éponyme, censé être une énigmatique et magnétique intrigante, alors que le spectateur se voit abasourdi devant une Madame Solario sans aucun charisme, charme ni intérêt. Lorsqu'on sait que le film repose fondamentalement sur cette femme et son histoire, ainsi que sur son (incompréhensible!) pouvoir d'attraction vis-à-vis des hommes qu'elle croise, on se dit que c'est joliment raté. Mais quand on est conscient que l'actrice en question n'est ni plus ni moins que la fille du réalisateur, on est assommé par l'hallucinant pouvoir d'aveuglement qu'exerce le népotisme aux yeux du réalisateur. Sa Madame Solario est plate, morne et ennuyeuse là où il la voulait pourvue d'une certaine froideur, certes, mais aussi et surtout d'un aura d'intense mystère et de séduction.Et ce n'est pas tout. Dès les premiers minutes du film, l'on se rend compte que l'on aura devant soi une heure et demie de mauvais dialogues, mal articulés et rarement intéressants.Le désastre ne s'arrête pas là. La fluidité est quelque chose qu'on ne trouvera pas dans "Madame Solario". Les scènes se succèdent à un rythme monotone que l'intrigue ne parvient pas à alléger. On nous sert un enchevêtrement de situations sans queue ni tête dans lesquelles on invite le spectateur à explorer la complexité de la relation entre Madame Solario et son impétueux frère Eugène (Cyril Descours, crédible). Un prétendu "jeu de séduction" est censé s'installer alors, accordé par la complicité soudaine du frère et de la sœur, qui se jouant de l'ennui conjugal des aristocrates du coin, croient pouvoir se remplir les poches. Laclos s'en tordrait de rire, tellement ces machinations sont mal mises en scène et ne mènent à rien, n'apportant rien à l'histoire. Il y a aussi le fameux "traumatisme familial", cette histoire incestueuse hantant Nelly Solario et Eugène. A partir d'un certain moment du film, la lourdeur des dialogues et du jeu dissuadent rapidement le spectateur de s'intéresser davantage à cet incident dramatique. Quant à la violente passion du comte russe, et à son aboutissement hâté (question timing), elle devient tout bonnement incohérente et pathétique. Pour un fan de films d'époque, "Madame Solario" est l'exemple parfait des nombreux pièges qui guettent une mauvaise réalisation. A l'avant-première, le public n'a applaudi (mollement) qu'à la fin du générique, et non, comme dans le cas d'un film ayant touché les spectateurs, après la dernière scène. Bref, à fuir impérativement.
    • Nefer H?lo?se
      Film plat.Jeu très médiocre de l'actrice principale.Si vous souhaitez perdre 1h30...
    • anneleslilas
      Quel ennui! Quelle médiocrité! ce film est une croûte. C'est navrant. A fuir!
    • Kinopoivre
      Il paraît que René Féret conseille d’oublier Visconti quand on visionne son film. En effet, c’est plus prudent ! Jamais on n’a autant regretté la mort du maître italien, car ce scénario pervers, tiré d’un roman, avait tout pour lui plaire. La mère de Nelly et Eugène, veuve, a épousé un sale type, qui a fait du gringue à sa belle-fille. Or le frère de ladite, qui en est amoureux (on sent venir à des kilomètres leur scène de coucherie), a tiré sur le beau-père, sans toutefois réussir à le tuer. La famille a étouffé l’affaire, envoyé le garçon au Chili, et la fille a épousé un homme riche, dont elle a divorcé ensuite. Pas très argentée, elle séjourne au bord du Lac de Côme, dans l’espoir de séduire un homme riche, or les pigeons éventuels ne manquent pas. Mais son frère revient, complètement fauché. Les deux se révèlent comme des êtres malfaisants, qui sèment le malheur autour d’eux, et, en effet, un aristocrate russe et violent se suicide... La réalisation, en caméra portée – ce qui est une hérésie dans un film en costumes et décors somptueux –, est farcie d’erreurs de scénario, de dialogue et de mise en scène. En voici un florilège. Un personnage joue au piano la Septième Valse de Chopin... mais la musique commence avant que ses mains s’approchent du clavier. Donc le réalisateur ne sait pas faire un mixage. Le personnage du frère dit à sa sœur « Tu te rappelles DE moi », horrible faute de syntaxe que nul ne commettrait dans ce milieu riche et bien éduqué. Ce qui est pittoresque, puisque, quelques minutes plus tard, sa sœur le complimente par un « Tu parlais si bien quand tu étais petit, tout le monde admirait tes belles phrases ». Sic. Puis Eugène affirme qu’en fréquentant la haute société de l’hôtel où ils résident tous, il « RISQUE de se remettre à flot ». C’est donc un risque ? Féret ne connaît pas le français. Le même frère mentionne le pistolet dont il s’est servi pour tirer sur le beau-père, mais on voit l’arme à deux reprises, et c’est un revolver. Donc Féret ignore tout des armes. Plus tard, on présente Eugène à un couple assis, et la femme... se lève ! Hérésie. Féret ne connaît pas les bonnes manières. C’était donc le moins fait pour réaliser un film se déroulant dans la haute société. Visconti était comte, lui, et fils d’un duc... J’arrête. Pour la quatrième fois, Féret fabrique un film pour donner un rôle à sa fille Marie... qui n’a jamais joué avec un autre réalisateur. Le népotisme, Chabrol n’en avait pas le monopole. À ce propos, on a du mal à croire que ce personnage, avec son physique, disons, euh,. moyen, séduise les hommes – au contraire de Cyril Descours, beaucoup plus attrayant.
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