Anaconda

Un parking, des voitures, mais il y en à une qui semblerait-il à l'instinct d'un serpent, en effet, elle serre sa proie, enfin, elle enferme... Attendez mais ! Qui voyons nous dans ce court-métrage ! Alexandre Astier en personne. L'interprétation de son personnage tient bien le volant. Par contre les passages ou il est avec son téléphone portable, la voix de sa femme est en ultra accélérer, comme un rembobinage, ce que je déplore.

Un court-métrage très très faible.
On comprend l'idée mais ça ne change rien : encore l'oeuvre d'une personne qui n'avait rien à dire, qui n'avait rien à créer.
Et ce Geoffrey n'aurait dû rien tourner.
Alexandre Astier, merde ! qu'est ce que tu fous là ?...

Une ambiance et des couleurs bien gérées, une Alexandre Astier plutôt convaincant, une métaphore très bien pensée et aucune erreur de rythme. Par contre, l'idée de base et surtout le lieu où prend place ce court sont plutôt moyens, et surtout, en 6 minutes on a le droit a pas mal d'incohérences (spoiler: La radio allumée sans le contact, le coup du téléphone un peu classique, et le fait que sortir de la voiture est au départ assez ...
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Autant j'adore Alexandre Astier. Qui m'a fait mourir de rire tellement de fois.
Autant, sur ce cours métrage je n'ai même pas ne serait-ce qu'esquissé un petit sourire.
Vite vu et vite oublié (dommage)