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Synopsis
Au début des années 90, la musique électronique française est en pleine effervescence. Paul, un DJ, fait ses premiers pas dans le milieu de la nuit parisienne et créé avec son meilleur ami le duo «Cheers». Ils trouveront leur public et joueront dans les plus grands clubs de la capitale. C’est le début pour eux d’une ascension euphorique, vertigineuse, dangereuse et éphémère. C’est aussi le parcours sentimental d’un jeune homme qui accumule les histoires d’amour et qui n’arrive pas à construire. Eden tente de faire revivre l’euphorie des années 90 et l’histoire de la French Touch : cette génération d’artistes français qui continue de briller dans le monde entier.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Vaste et ambitieux projet que de retracer la naissance de la musique électronique jusqu’à son apogée sur une période de vingt ans allant de 1992 à 2007. Cet « Eden » au si joli titre aurait pu être le film d’une génération, celle des clubbers assoiffés de musiques aux nuits qui se confondent avec les jours. Un peu ce que « La fièvre du samedi soir » ou « Studio 54 » sur le tard furent au disco. Malheureusement, le ...
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Requiemovies
175 abonnés
1 153 critiques
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2,0
Publiée le 19 novembre 2014
Face A : 1. Nostalgie de retrouver une certaine culture des années 90. 2. BO qui nous rappelle les meilleurs sons de la French Touch des années 90.
Face B : 1. Des dialogues insipides, faux et totalement surfaits. 2. On cherche encore le scénario.
Bonus Tracks : Tenter le biopic sur la vague de la French Touch demande plus d’ambitions et moins flirter avec le film d’auteur.
Comme la version remixée d’une restitution manquée et ...
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lhomme-grenouille
2 796 abonnés
3 170 critiques
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0,5
Publiée le 8 décembre 2014
Quelle étrange sensation que cet « Eden » : parler de la scène électro française, symbole d’audace et de savoir-faire dans son domaine, à travers un film typiquement français, domaine dans lequel l’Hexagone prouve d’année en année toutes ses limites. Première erreur impardonnable : la forme. Ce film est sensé mettre en avant la musique or jamais la réalisation ne parvient à la mettre en avant et à l’intégrer dans la ...
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Un visiteur
1,5
Publiée le 20 novembre 2014
Paradoxe d'Eden, où les signes d'époque affluent sans cesse et se cristallisent sur les personnages – notamment celui qu'incarne Vincent Macaigne, en qui se résument à la fois les souvenirs des soirées "Respect" et celui de Show Girls de Verhoeven – mais ne forment jamais aucune toile de fond. Leur succession dans le film, comme celle des soirées en boîte, est plutôt de l'ordre du catalogue : ils sont, comme les DJs eux-mêmes, des « ...
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Pour trouver l’inspiration d'Eden, Mia Hansen-Løve a puisé dans l’histoire de son grand frère Sven. Son aîné de 7 ans est un DJ très renommé dans le monde de la House Garage (il est le fondateur des soirées parisiennes Cheers à la Coupole et un habitué des célèbres Respect les mercredis soirs au Queen des Champs-Elysées). Sven a donc tout naturellement participé à l’écriture du scénario, en partie autobiographique, avec sa sœur et ajoute ainsi so
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Bande originale d’origine
Dans un film sur l’émergence de la scène électronique des années 90, il fallait évidemment faire appel aux artistes phares de l'époque. On retrouve ainsi sur cette bande originale, Cassius, Frankie Knuckles, La India, Sueño Latino et bien sûr les Daft Punk, alors à leurs débuts. Les deux Français ont d’ailleurs accepté de céder les droits d’auteur de plusieurs de leurs tubes pour une somme symbolique après avoir lu le scénario. Soutien essentiel
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Garage House
Le Garage House, dont on voit l’émergence dans ce film, est un genre musical apparu au début des années 80 à New-York et dans le New Jersey. Le Garage mélange la House et le Disco mais aussi le funk et la soul, et est souvent accompagné par une partie chantée. Ce genre tient son nom du club newyorkais Paradise Garage où se produisait son précurseur Larry Levan.
Heureusement, ce n'est plus qu'un mauvais souvenir...
Ludovic Cornand
Le film est sortie en DVD le 6 mai 2015
Jed B.
Le film est ce qu'il est mais il est d'une justesse absolue...Et la zik, tellement vrai et top!
Aurelien F.
Film Plat ! Les 2h sont longues...à part peut être pour une sieste.Dommage car le sujet principal du film est intéressant, la musique électronique et surtout le milieu du Djing qui est un sujet peut traité au cinéma. La réalisation est vraiment moyenne, les personnages ne sont pas du tout convaincants et pleins de scènes inutiles.Un seul point positif : la B.O. du film (garage house).
Siegfreed G.
Robert Creeley,"the rythm"It is all a rhythm,from the shutting door, to the windowopening,the seasons, the sun's light, the moon,the oceans, thegrowing of things,the mind in menpersonal, recurringin them again,thinking the endis not the end, thetime returning,themselves dead butsomeone else coming.If in death I am dead,then in life alsodying, dying...And the women cry and die.The little childrengrown only to old men.The grass dries,the force goes.But is met by anotherreturning, oh not mine,not mine, andin turn dies.The rhythm which projectsfrom itself continuitybending all to its forcefrom window to door,from ceiling to floor,light at the opening,dark at the closing.
zvock083
La réalisatrice a tenté de retracer la création de ce style musical à travers plusieurs tranches de vie ce qui pouvait être pas mal pour constater l'évolution avec les années seulement, elle oublie l'essentiel qui est la création musicale... Dans ce film, on apprend rien, je n'attendais pas quelque chose de pointu, mais quand même, je trouve dommage de passer à côté de ce point qui à mes yeux était essentiel, car bon, la vie privée des personnages n'est pas franchement intéressante, les voir se droguer à longueur de temps, c'est un peu lassant tout comme le film qui manque finalement d'enjeux pour réussir à être captivant du début à la fin. Heureusement, il reste une incroyable bande son totalement entraînante qui m'a empêché de sombrer totalement dans l'ennui. 2/5
daftpunk2014
quelqu'un sait quand sortira le film en dvd ?
Marine T.
Bonjour, quelqu'un se souvient-il du nom du poète qui a écrit le poème final ? Merci.
MON CINEMATOGRAPHE
Le néant cinématographique a désormais un nom : Mia Hansen-Love.
Michel M.
Du bon et du moins bon ! Trop de 'blanche' parfois pas un manque d'implication des acteurs, mais de belles scènes intimes. Je n'ai pas noté le nom du magnifique auteur du poème de la fin du film.
isagoudig
sans aucun interet...sortie de la salle depuis 3H j'attends encore encore que le film commence...je perd espoir !!! lol
L?o D2
Genial ? D'un ennui... Et tellement "cheap" de bout en bout...
This is J.R.
Pourtant la musique est bonne ..
Jeanluc.M
Etiez vous "léthargiques et vides" AVANT l'entrée en salle peut-être ? ;-)
Jeanluc.M
Ok, tu as l'air enthousiaste :=) mais qu'est ce qui t'a plu dans cette histoire ?
Longbye90
ABSOLUMENT GÉNIAL !!!! A ne louper sous aucun prétexte.
MickDenfer
pas assez travaillé. Manque de budget ?
Alexandre C.
Vu en avant première. Film profondément ennuyeux, pas de scénario, pas d'histoire, pas de direction d'acteur, pas de dialogue, montage insignifiant. Pas la moindre énergie malgré le thème. Nous n'avions qu'une envie : fuir de la salle ! Et ce n'est pas dans nos habitudes de faire des critiques si cinglantes mais nous sommes revenus chez nous léthargiques et vides.
beubeu891
Entrainé par un fan de French T. , bon ; après tout ; pourquoi pas. Bah j'en suis ressorti déçu. Et ceux même si pour la musique elle touche bien cette "époque", cette "gégénération" ou ce style à débarqué. Pour l'histoire, elle se veut bien fade et n'a pas de réel intrigue. Les tribulations amoureuses d'un qui passe de fille en fille... Et tout ce qui va avec, lors des soirées. Rien de nouveau, mais rien de vraiment interessant si ce n'est quelques moments musicaux (mais bon, on ne vas pas spécialement au ciné pour entendre des sounds^^). L'histoire est donc là, histoire de dire ; mais ne présente rien de concret. LEs personnages sont pourtant pour certains, plus ou moins attachant. Mais cela ne vas pas assez loin. Les fans absolu y trouveront peut être quelques choses d'interessant ; mais pour les autres je doute que le film touche un large public. JE me suis presque ; enfin je me suis ennuyé puisque même l'humour (qui aurait pu être présent au détriment des rebondissements...) n'ait pas vraiment là. Un film qui passera sans doute vite inaperçu. Vu en AVP. Et bien je ne retournerais pas le voir et je doute que ce film connaisse un franc succès...
LBDC
(...) Ah ! EDEN … Annoncé depuis un moment, le nouveau film de Mia Hansen-Løve (Un amour de jeunesse et Le Père de mes enfants) sort ces jours-ci. Et ce n’est pas n’importe quel film. Oh non ! Mais dès maintenant, rétablissons la vérité. EDEN n’est pas un film sur les Daft Punk. Oui, ils sont incarnés, mais le film n’est pas à propos d’eux, ne tourne pas autour d’eux, n’est pas un biopic qui leur est consacré. Du coup, de quoi traite EDEN ? Eh bien si vous avez bien lu le synopsis plus haut, vous avez déjà compris qu’Eden a pour ambition de dépeindre la French Touch, de proposer un portrait fidèle d’une génération de DJs qui a fait danser toute la planète et à qui Air, Brodinski, David Guetta, Gesaffelstein ou encore Phoenix doivent beaucoup – si ce n’est tout. Mais c’est un débat que l’on aura une autre fois.Divisé en deux parties, le film se consacre avec beaucoup de minutie à présenter tous les protagonistes de cette French Touch, les rapports qu’ils entretiennent, les coutumes qu’ils adoptent, les lieux qu’ils fréquentent, leurs méthodes de travail. En bref, leur quotidien. Si dit comme cela, on pourrait s’attendre à un véritable film-chorale un peu foutraque, je vous rassure, il n’en est rien. Assez vite, on comprend que le film va tourner autour du destin de Paul (alias Félix de Givry, Après mai), la moitié de Cheers et donc de la représentation cinématographique de Sven Hansen-Løve, frère de la réalisatrice et co-scénariste du film. Ici, le mot « destin » est peut-être un peu fort. Parlons donc de chemin, puisque Mia Hansen-Løve nous dévoile le quotidien romancé de la vie de son frère sur deux décennies. Des décennies cruciales.Entre ses rêves de gloire, ses histoires d’amour un peu foireuses, son addiction à la drogue et sa tentative de grandir, rien ne nous est épargné. Et j’insiste sur le mot « tentative » car EDEN nous montre clairement que dans les années 1990, comme aujourd’hui, assumer ses choix, définir un plan de carrière et s’y tenir sont des choses bien compliquées. Surtout lorsque l’on semble vivre avec un voire deux trains de retard comme Paul. Gros enjeu d’ EDEN, sa personnalité définit le rythme du film, sa cadence. Ainsi, lorsque tout va bien pour lui, les fêtes s’enchaînent, les sauteries, les moments de sincère communion avec ses amis. Et à l’inverse, lorsqu’un problème survient, ce sont les lignes de cocaïne sniffées qui s’enchaînent. Plus vite que la musique. (...) WYZMANRetrouvez l'intégralité de notre avis à propos d' EDEN sur Le Blog du Cinéma