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Synopsis
Quelques 6000 kilomètres séparent le point de départ depuis la côte Pacifique de la Sibérie jusqu’aux rives gelées du lac Baïkal, en passant par la Chine et la Mongolie. L’arrivée au lac Baïkal, où Nicolas Vanier s’était vu offrir Otchum, son premier chien de traîneau, voilà 30 ans, a eu lieu le 15 mars dernier après trois mois d’une aventure partagée avec ses dix chiens. Entre des changements d’itinéraire de dernière minute causés par le dérèglement climatique, des autorités parfois récalcitrantes, des blessures pour les chiens ou encore des erreurs de parcours, les difficultés ont été nombreuses. Un projet tout en démesure, marqué par des rencontres passionnantes avec des pêcheurs dans les villages le long du fleuve, des populations nomades dans les montagnes et des peuples éleveurs dans les steppes.
Nicolas est un merveilleux cinéaste du réel. Il pose sur pellicule les toutes dernières merveilles de la planète que les néolibéraux et les néoconservateurs sont en train d'anéantir par cupidité. Du Lac Baïkal aux rives du Fleuve Amour son film est un spectacle à regarder en se taisant et en rêvant sur un écran gigantesque. J'aimerai tant, s'il avait quelques jours de libres, qu'il vienne filmer avec moi mon fleuve Breton préféré ...
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Nicolas est un merveilleux cinéaste du réel. Il pose sur pellicule les toutes dernières merveilles de la planète que les néolibéraux et les néoconservateurs sont en train d'anéantir par cupidité. Du Lac Baïkal aux rives du Fleuve Amour son film est un spectacle à regarder en se taisant et en rêvant sur un écran gigantesque. J'aimerai tant, s'il avait quelques jours de libres, qu'il vienne filmer avec moi mon fleuve Breton préféré avant qu'il ne soit complétement pourri par la pollution.