Quinze potences pour un salopard

Je trouve le propos de départ assez intéressant : deux bandes de fripouilles qui vont être accusées d'un crime horrible et qui vont essayer de s'unir pour faire éclater la vérité. À partir de ce postulat, Nunzio Malasomma, le réalisateur, ne fait rien de son histoire. Et comme il ne se passe rien pour faire éclater la vérité, il se contente d'enfermer les malfrats dans un fort et d'attendre que cela se passe. Et comme il ne se passe ...
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Un sous Sergio Leone qui en reprend les codes mais avec une qualité vraiment médiocre. Une musique qui ressemble vaguement à du Ennio Morricone. Pour clôturer le tout, au début du film et cela pendant au moins 10 minutes, il y a une branche, brindille, câble, enfin je ne sais quoi, qui se balade en bas de la caméra. Je pense que la chance pour vous, contrairement à moi, c’est que vous ne ferez jamais l’erreur de regarder ce film.