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Synopsis et détails
En Amérique Centrale, une compagnie pétrolière propose une grosse somme d'argent à qui acceptera de conduire deux camions chargés de nitroglycérine sur 500 kilomètres de pistes afin d'éteindre un incendie dans un puits de pétrole. Quatre aventuriers sont choisis et entament un voyage long et très dangereux...
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5,0
Publiée le 19 juin 2013
"Le Salaire de la peur" fut à l'èpoque l'un des films les plus chers du cinèma français! Grand Prix international du festival de Cannes 1953 et prix d'interprètation masculine pour Charles Vanel, ce terrible suspense retrace le pèriple infernal de quatre aventuriers à bord de deux camions remplis de nitroglycèrine! C'est aussi une rèflexion sur la dignitè du travail humain où Yves Montand et Charles Vanel se montrent extraordinaires ...
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gimliamideselfes
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4,5
Publiée le 19 janvier 2015
Eh ben... je joue souvent à un jeu avec des amis : "pour combien tu fais..." (remplacez les points de suspension par lécher une barre de métro, manger des matière fécale (avec distinctions selon la fraicheur et l'origine du donneur...) et d'autres choses bien trop choquantes, même pour internet). Cependant, conduire un camion plein de nitroglycérine n'a jamais été une question posée... et je pense que j'aurai demandé plusieurs millions ...
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L'homme le plus classe du monde
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5,0
Publiée le 13 avril 2013
Un film que j'ai vu pour la première fois tout petit, et qui m'avais profondément marqué à l'époque. Malgré une introduction un peu trop longue qui peine à rentrer dans le vif du sujet, "le salaire de la peur" nous tient en haleine tout au long du film grâce à un suspense quasi-insoutenable, qui commence dès que les protagonistes mettent un premier pied dans la camion et se termine seulement à la fin du film. On rentre tellement dans ...
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elbandito
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5,0
Publiée le 29 mars 2014
Classique du cinéma français, ce chef d’œuvre absolu a reçu la Palme d’Or du Festival de Cannes en 1953. Cette aventure humaine aux personnages complexes est dotée d’une puissance de jeu incroyable grâce à son quatuor d’acteurs. Tourné entre la Bambouseraie d’Anduze et la Camargue, Clouzot parvient à restituer l’atmosphère poisseuse et étouffante de l’Amérique Centrale, qui semble une prison à ciel ouvert pour ces ...
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Le film de Henri-Georges Clouzot reçut de nombreuses distinctions internationales : le BAFTA (les César anglais) du Meilleur film en 1955, l'Ours d'or au Festival de Berlin en 1953, le prix d'interprétation masculine pour Charles Vanel et le Grand Prix (équivalent de la Palme d'Or qui n'était pas encore créée à l'époque) du Festival de Cannes la même année.
Histoires de couple
Si Yves Montand rencontrait pour la première fois (et la dernière) l'univers de Henri-Georges Clouzot à l'occasion du tournage du Salaire de la peur (1953), ce fut au tour de sa femme, Simone Signoret, de jouer sous la direction du cinéaste français dès son film suivant, le thriller Les Diaboliques (1955). Une collaboration restée unique également.
Jean Gabin se rétracte
Henri-Georges Clouzot réussit à convaincre Yves Montand de jouer dans Le Salaire de la peur, notamment parce que Jean Gabin était initialement prévu dans le rôle de Jo. Mais après l'engagement de Montand, Gabin, persuadé qu'un role de lâche nuirait à sa carrière, se retira du projet. C'est finalement à Charles Vanel qu'il donnera la réplique.
Sur la route de mon cycle Cannes, dans la foulée de « Rashomôn » arrive l’explosif « Salaire de la peur » (sortie française : 1953) de Clouzot.Si l’on est balancé entre les tréfonds de l’âme humaine et sur une route de plusieurs centaines de kilomètres menant à une mort certaine(entre ponts foireux, rochers bloquant la route ou lac de pétrole déversé à même le sol), les frères scénaristes Henri-Georges et Jean Clouzot (crédité Jérôme Geromini au générique) bétonnent leur script en des aventures insurmontables par des personnages obscurs, orgueilleux et misérables incarnés par un excellentissime quatuor d’acteurs : Yves Montand (ici pour son septième film en tant que comédien, bien avant les Costa-Gavras, « I comme Icare »…)-Charles Vanel (Prix d’interprétation masculine à Cannes en 1953 pour son rôle de misérable)-Peter Van Eyck (débutant chez Dmytryk dans « Les enfants d’Hitler »)-Folco Lulli l’international (qui ajoué pour Jean Dréville, Thorpe, Monicelli, Carné, Sergio Corbucci…).Cette production française au tournage chaotique se vit ainsi décerné plusieurs récompenses (Ours d’Or 1953, Grand Prix du Festival de Cannes 1953 –ex-Palme d’Or- et Bafta du meilleur film en 1955) et reste aujourd’hui un modèle de genre mis en scène par le génial Henri-Georges Clouzot, le réalisateur des « Diaboliques ».Un thriller dramatique considéré comme un chef d’œuvre classique du cinéma français.Un Clouzot finalement organique, minéral et bestial dont la noirceur n’a d’égal que l’explosivité du métrage. Diabolique !Spectateurs en manque de nitroglycérine, foncez !A noter : « Sorcerer, le convoi de la peur », métrage d’un certain William Friedkin, est le remake américain du « Salaire de la peur ».Un coup de cœur absolu et qui me hantera toute ma vie.4 étoiles sur 4.
jamesgray33
toi tu aurais été un chaud avec elle
Frankie Machine
Charles Vanel quoi
Frankie Machine
c'étaient des hommes à l'époque
Vincenzo13
exact
allan-75
Très bon film , mais j'ai largement préfèré le remake de William Friedkin de ( The Sorcerer . 1977 ) Avec Roy Scheider et Bruno Cremer !!!
MGM-ranger
Elle est un peu pot de colle. ^^
MGM-ranger
Clouzot crée une mise en scène virtuose et contrôle ses acteurs à la perfection. Charles Vanel mérite emplement sont prix de la meilleur interprétation masculine à Cannes.
Guillaume182
Le seul truc qui est bizarre c'est Yves Montant qui traite Vera Crouzot comme une chienne dans le film alors qu'il se trouve dans un trou paumé et qu'elle est l'unique jolie femme. Moi comprend pas l'attitude du personnage.
Bub.... Allo, tante Alice ...
Ce film du grand Clouzot a pété la barre de l'angoisse, du suspens et du spectaculaire dans les années 1950. Aujourd'hui, quelques cinéphiles numérisés vont vous balancer que c'est une daube revue et re-revue, ce qu'ils sont incapables de piger c'est qu'il fut le premier de ce genre et qu'il à de 61 ans. De plus, rien qu'à la lecture du casting, on réalise que H.G. Clouzot était un génie du cinéma, il ne prenait pas n'importe qui pour interpréter ses personnages.
superboubouge
ma critique: http://blogaudessusducinema.ov...
JokerDreizen
Je l'avais vu en CM2, bah putain, c'était pas dur de deviner qu'à partir de la moitié toute notre classe de bambins était pétrifiée d'angoisse. J'aimerais vraiment le revoir !