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Synopsis
Après les cours, Anouk (Isild Le Besco ; Les filles ne savent pas nager), une adolescente de seize ans, suit Laurel (Emmanuel Faventines ; Qui sait), un jeune homme qui part de son travail. Un soir, ce dernier se dirige vers l'aéroport le plus proche et quitte la France sur un coup de tête. Destination Salvador de Bahia. Hantée par le désir de voyage dont Laurel est le symbole, Anouk tente d'en savoir plus sur son départ mystérieux tout en menant sa vie de lycéenne mouvementée. Tourné en numérique, Adieu Babylone est le premier long métrage de Raphaël Frydman en tant que réalisateur. Il a été auparavant assistant de Benoît Jacquot sur L'école de la chair.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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3413 abonnés
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1,0
Publiée le 18 mars 2014
Comme un symbole, le générique de fin d' « Adieu Babylone » est chanté par le Saïan Supa Crew. C'est dire comme aujourd'hui ce film datant de seulement onze ans paraît daté. Pourtant le voyage, l'amour irréfléchi sont toujours des thèmes intéressants à développer, et on ne peut enlever à l'œuvre d'être éprise de liberté. Hélas, encore faudrait-il une qualité que Raphaël Frydman n'a pas : le talent. Alors c'est vrai, ...
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SpiderBaby
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30 abonnés
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0,5
Publiée le 26 avril 2007
Film "carte-postale" sans intérêt. Le film de vacances de mon oncle Bubu au mexique, présente plus de qualités cinématographique. La naissance de sa petite fille Lulu aussi. Comment un déchet pareil a t'il pu être financé et distribué?
soliloo
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6 abonnés
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2,5
Publiée le 6 juillet 2010
Un OVNI cinématographique, avec une esthétique documentaire et en même temps une mise en scène visible. Le réalisme est de rigueur, et en même temps rien n'est vraiment vraisemblable dans cette histoire. C'est le film de tous les paradoxes, porté par Isild Le Besco touchante de naturel. Un voyage prenant à travers des paysages divers, ou comment partir avec rien, sans projet, sans but, pour arriver à autre chose que la vie banale à ...
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Au cours du tournage, Raphaël Frydman a accumulé plus d'une centaine d'heures de rushes. De retour en France, il s'est attelé à la tache. Livré à lui-même, il a visionné chaque cassette avec son caméscope, opéré des choix et effectué un premier montage. Puis, aidé d'une équipe technique solide (monteur image, monteur son, mixeur…), il a effectué le travail de post-production, primordial dans ce genre de projet. Entre la fin du tournage au montage...
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Frydman découvre Godard et le cinéma
« Adolescent, je n'étais pas cinéphile. J'ai commencé à regarder beaucoup de films lorsque j'ai décidé d'en faire mon métier, vers 16 ans. On m'avait conseillé d'acheter Les Cahiers du Cinéma pour savoir ce qu'il fallait voir. La couverture, c'était Hélas pour moi de Godard. Je rentre donc dans une salle de cinéma pour voir ce film, mais, à l'époque, je ne connaissais pas grand chose de Godard. Devant cet ovni je reste très troublé. Et, le soir m...
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Raphaël Frydman et le numérique
Le cinéaste a réalisé Adieu Bablone en caméra DV. Raphaël Frydman justifie le recours au numérique par deux raisons principales, «d'abord, coût, et puis la souplesse». Il développe sa réponse. «Pouvoir être très mobile, éviter certaines lourdeurs relatives au tournage d'un film. On peut refaire énormément de prises, on a un temps d'enregistrement infini. Ce qui représente aussi un énorme danger car il faut savoir ramener une tension que le défile...
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