L'Epee sauvage

Ouille ouille ouille. Dans la veine des films d'héroïc fantasy des années 80, en voici un qui le temps a marqué. Kitchouille à mort, quelques effets spéciaux tout de même corrects pour l'époque, mais surtout un jeu et des décors vraiment très moyens. Voyez plutôt "Le dragon du lac de feu", "Dar l'invincible" et consors pour avoir des série B héroïc fantasy de la grande époque de "Conan le barbare".

L'Epée sauvage surfe sur la vague héroic-fantasy sans jamais atteindre le niveau de Conan le barbare, film à petit budget qui ne fait pas totalement fauché mais qui n'offre aucun décors grandioses et manque de combats spectaculaires. C'est même un peu mou par moment mais ça se laisse regarder ; au niveau du casting on a droit à la présence de quelques vedettes du petit écran comme Lee Horsley, Simon McCorkindale ou encore Richard Lynch ...
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Fort du succès d’Excalibur (John Boorman, 1981), qui restaura le prestige du genre heroic fantasy sur fond de geste arthurienne, Hollywood multiplia les projets tantôt réussis – The Beastmaster réalisé en Don Coscarelli l’année suivante – tantôt minables, souvent encadrées par le producteur Roger Corman – pensons au nanardesque Sorceress (Jack Hill, 1982) avec ses deux sœurs athlétiques que l’on découvre entièrement nues ...
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Le film d'héroïc fantasy le plus nul de l'histoire du cinéma, et par conséquent, le plus drôle tant il est pathétique.