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Synopsis
La fille unique d'un modeste violoniste de l'orchestre du petit théâtre de Vienne suit l'une de ses amies dans les soirées mondaines de la ville, et s’éprend d'un officier de la garde impériale qui, lui, mène une passion houleuse avec une femme du monde.
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3,5
Publiée le 2 septembre 2014
Pour mon premier Ophuls j'ai choisi celui qui l'a fait connaitre. Celui qui est considéré comme son meilleur film allemand avant qu'il ne fuie l'année suivante le nazisme au pouvoir.Disons le tout de suite, ce film fut un moment agréable. Pendant 45min un mot venait à l’esprit pour qualifier Libelei : charmant. Charmant et léger tout comme le jeune couple qui se forme sous nos yeux et comme ce moment, cette valse où le sentiment amoureux ...
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gimliamideselfes
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4,5
Publiée le 21 octobre 2010
C'est son seul film allemand que j'ai eu l'honneur de voir, et quel film, alors c'est pas encore aussi maîtrisé que la ronde ou bien Madame de… (et tous ses autres films que j'ai pu voir) mais tout de même, on a déjà tout ce qui sera les caractéristiques de son cinéma, une obsession pour les escaliers, une fausse légèreté, on évite le mélodrame pur et dur pour avoir quelque chose de tellement plus subtil et déjà en 1932, faudrait ...
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chrischambers86
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3,0
Publiée le 12 avril 2011
Nous sommes ici en 1932 et dans le dèbut de carrière de Max Ophüls dans sa pèriode allemande! C'est seulement son quatrième long-mètrage en tant que cinèaste et beaucoup d'historiens considèrent ce "Liebelei" comme ètant son meilleur film dans cette pèriode là! Ce mètrage comporte dèjà quelques thèmes chers au cinèaste: la puretè des femmes ou leur candeur, la violence des hommes mais aussi la fatalitè de leur cruautè, la ...
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Flavien Poncet
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2,5
Publiée le 12 avril 2009
Des cercles, des tours et des rondes, le cinéma de Max Ophüls ne répond qu’à l’affirmation de ses formes, que ce soit afin d’exprimer la mélancolie ou l’euphorie. Ophüls laisse circuler sa caméra pour mieux discerner l’espace et pour mieux exprimer, par le mouvement, l’irréductibilité du temps. De «Liebelei» (Allemagne, 1933), il me reste à l’esprit un plan où une salle de fête, vide après qu'ait eu lieu un drame, est ...
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