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    Krystyna Janda

    Actrice

    Année Titre Rôle Note spectateurs
    2021 Comment je suis tombée amoureuse d'un gangster Rita
    3,2
    2019 Un soir en Toscane Maria
    2,7
    2015 Monsieur Dulsky et Madame Dulska Aniela Dulska
    3,0
    2012 Elles -
    2,1
    2009 Sweet Rush Marta / elle-même
    2,9
    2009 Tribulations d'une amoureuse sous Staline La mère
    3,4
    2000 La vie comme maladie sexuellement transmissible -
    3,0
    1997 Un air si pur -
    2,2
    1989 L'Interrogatoire Tonia
    3,3
    1988 Tu ne tueras point Dorota
    3,6
    1988 Sur le globe d'argent The Actress
    3,8
    1987 Le Décalogue 2, tu ne commettras point de parjure -
    3,7
    1987 Le Décalogue Dorota Geller
    4,3
    1985 Vertiges Maria
    3,1
    1984 Eine blassblaue Frauenschrift Amélie Tachezy -
    1982 Ce fut un bel été Wanda -
    1981 Mephisto Barbara Bruckner
    3,6
    1981 Espion, lève-toi Anna Gretz
    3,3
    1981 L'Homme de fer Agnieszka
    3,3
    1980 Golem -
    3,0
    1980 Le Chef d'orchestre Marta
    2,6
    1977 L'Homme de marbre Agnieszka
    3,9
    1977 Sans anesthésie - -
    Commentaires
    • AMCHI
      [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Suite de L'Homme de marbre L'Homme de fer s'il est moins réussi dans sa mise en scène et peut-être son histoire il n'en reste pas moins passionnant pour découvrir la portée qu'a eu Solidarnosc (Lech Walesa y joue son propre rôle) en Pologne ; les près de 2h30 de L'Homme de fer se suivent avec beaucoup d'intérêt et ce film permet aussi de savoir ce qui est arrivé aux protagonistes de L'Homme de marbre. Quelques scènes choquantes qui montrent l'absurdité et l'intolérance des dictatures comme celle empêchant Maciek Tomczyk de poursuivre ses ambitions artistiques, de l'émotion aussi. Un bon rendu aussi du journaliste qui mène l'enquête et qui est très partagé entre son bien-être et l'enthousiasme pour une nouvelle ère. Du cinéma intelligent.4 étoiles
    • AMCHI
      [img]http://www.afcinema.com/IMG/jp...[/img] Magnifique film polonais de Wajda qui bien que les cocos étaient toujours au pouvoir semble avoir bénéficié d'un instant de liberté lui permettant de réaliser un film très critique sur le pouvoir en Pologne. Une histoire édifiante et passionnante qui se suit sans un seul instant d'ennui (je rappelle que L'Homme de marbre dure près de 2h30), L'Homme de marbre est construit comme une enquête pas dénué d'un certain suspense, un film au ton moderne comme sa musique. On s'attache aussi très fort aux personnages que ce soit Agnieszka et bien sur Mateusz Birkut, un homme naïf mais bon et qui est parfait pour servir le régime ; on a de la peine pour lui qui se rend compte que ce régime est loin d'être idéaliste. Des moments forts comme celle de l'incident de la brique brûlante. L'Homme de marbre devrait être diffusé dans les écoles. 4.5 étoiles
    • AMCHI
      [img]http://www.rosesetpoireau.fr/m...[/img]
    • AMCHI
      [img]http://laternamagika.files.wor...[/img] Si Wajda n'a pas raté son film on ne peut dire non plus que Tatarak soit une réussite, Tatarak raconte 2 histoires celle d'une belle femme mûre de l'après-guerre souffrant d'un cancer et éprouvant une attirance pour un jeune homme ayant l'âge de son fils disparu mais cette histoire est ponctuée par celle de l'actrice Krystyna Janda (vu aussi dans le remarquable L'Homme de marbre du même réalisateur) qui nous raconte comment se sont passés les derniers jours de son mari. Fiction et réalité se mêlent mais dans un film durant seulement 1h20 (en comptant le générique), personnellement j'aurais préféré que Wajda se consacre uniquement à la fiction qui offre les meilleures parties de Tatarak et laissait entrevoir un très beau film. 3 étoiles
    • Plume231
      Le Décalogue 2 : Tu ne commettras point de parjure (1987) de Krzysztof Kieslowski [img]http://img.ozap.com/0254018F00...[/img] Synopsis : Le mari de Dorota est gravement malade. Elle attend un enfant d’un autre, et ne sait pas si elle doit se faire avorter… Critique : De prime abord, cette épisode a un grand intérêt pour moi la présence du seul visage familier de toute la série, celui de la comédienne Krystyna Janda que j'avais déjà vu chez Andrzej Wajda dans "L'Homme de marbre" et sa suite "L'Homme de fer". Le comédien qui joue le rôle du médecin s'avère en plus un excellent partenaire. Reste que le peu que j'ai compris s'avère embarassant car j'ai l'impression (c'est peut-être moi qui n'est pas capable de voir plus loin que mon nez!!!) que le "parjure" en question est assimilé à l'avortement que souhaite le personnage principal si son mari ne venait pas à mourir. Voilà ma grande réserve sur cette épisode de la série. Note : 8/20 (**)
    • Plume231
      Mephisto (1981) d'István Szabó [img]http://www.staff.u-szeged.hu/~...[/img] Synopsis : Dans les années 20 en Allemagne. Hendrik Höfgen est un comédien ambitieux, prêt à tout pour réussir, y compris fermer les yeux sur l'ascension des Nazis dans son pays... [img]http://t0.gstatic.com/images?q...[/img] Critique : Adaptation d'un roman de Klaus Mann que je n'ai pas lu (comme ça c'est clair!) et biopic à peine voilé du comédien Gustaf Gründgens (pour ceux qui ont la flemme de chercher sur Google c'est celui qui joue le chef de la Pègre dans "M le Maudit"!). Alors c'est l'histoire d'un acteur qui atteint de façon inespérée les sommets, mais à quel prix. Car s'il est Mephisto sur scène, côté coulisse il est plutôt Faust et le Diable quelque chose d'encore pire puisque c'est le Nazisme. Le pire n'étant pas que le bougre deviennent un bouffon sur l'autel du National-socialisme mais qu'il s'en rend parfaitement compte et ceux au mépris de ses propres convictions. Inutile de dire, je pense, que la métaphore qui donne son nom au film est très habilement utilisé et que c'est ça qui fait l'essence même de l'oeuvre. Bon passons maintenant à la séance de chipotage. On peut regretter que la partie qui se déroule à Paris fasse un peu carte postale (oh la Tour Eiffel, oh Notre-Dame,... tu montres la Tour Eiffel point barre et tu sais que tu es à Paris!). Séance de chipotage terminée. Sans atteindre les sommets d'un Bertolucci ou d'un Visconti, le film niveau reconstitution se démerde très bien et Klaus Maria Brandauer est ahurissant. En plus, le cinéaste István Szabó, dont je fais la connaissance par ce film, sait ce qu'est la densité (traduction : les deux heures trente filent très vite!). Donc c'est tout bénef car de plus en croyant regarder un film allemand, je me suis aperçu que c'était hongrois, mon premier de cette nationalité (oui, je suis à la bourre!). Excellent. Note : 16/20 (****) [img]http://pixhost.info/avaxhome/2...[/img]
    • Plume231
      L'Homme de fer (1981) d'Andrzej Wajda [img]http://www.videocritiques.com/...[/img] Synopsis : Pendant les grèves des chantiers navals de Gdańsk au début des années 80, Maciej Tomczyk, un ouvrier marqué par la mort de son père, milite en faveur des droits sociaux. Le gouvernement communiste charge alors Winkel, un employé de la télévision d'État, d'infiltrer le mouvement et d'enquêter sur Maciek afin de le discréditer aux yeux de l'opinion publique. Au cours de son investigation, Winkel réalise qu'il est victime d'une manipulation... [img]http://img377.imageshack.us/im...[/img] Critique : Suite de l'excellent "L'Homme de marbre", à l'instar d'un Roberto Rossellini avec "Rome, ville ouverte" Andrzej Wajda s'attaque ici à une actualité plus que brûlante désirant en faire le véritable témoignage d'un tournant historique pour son pays et pour le Monde, et d'en retranscrire l'état d'esprit. Il est donc déplorable que dans la première heure et quart, l'ensemble vire dans l'académisme le plus plat, loin de la souplesse du précédent volet, et s'englue dans des tas de scènes inutiles qui donnent l'impression que le cinéaste ne sait pas où il va. Il est difficile de ne pas piquer du nez devant. Un sursaut survient heureusement au début de la deuxième moitié quand Wajda revient sur les terres de "L'Homme de marbre" avec la réapparition de l'énergique Krystyna Janda. Là on retrouve ce qui manquait cruellement au début à savoir la passion. L'ensemble arrive enfin à se faire captivant, fort et émouvant, avec en prime une apparition dans son propre rôle de Lech Wałęsa himself. L'esprit de solidarité des combattants de l'oppression communiste ne peut qu'ici toucher et fait de "L'Homme de fer" un très beau témoignage du début de la fin d'une époque. Note : 14/20 [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img]
    • Plume231
      test
    • Plume231
      L'Homme de marbre (1980) d'Andrzej Wajda [img]http://www.cinaff.com/affiches...[/img] Synopsis : Agnieszka, vingt ans, choisit, comme exercice de fin d'études cinématographiques : le portrait documentaire d'un travailleur, ayant eu son heure de gloire dans les années 1950, Mateusz Birkut. Ce désir lui vient après qu'elle ait filmé clandestinement, dans une remise cadenassée, d'un coin oublié du musée, une immense statue de marbre à la gloire de cet homme dont elle se propose de reconstituer la destinée. Agnieszka commence par interroger les images. Des chutes de films, lambeaux d'une époque maintenant taboue, elle apprend que Birkut, jeune paysan des environs de Cracovie, a participé, en tant que maçon, à la construction d'une immense fonderie à Nowa Huta. Puis il est devenu un héros en posant, avec cinq hommes, plus de trente mille briques en une seule journée. Birkut n'a pas voulu croire la justice populaire qui voyait dans son ami Witek, ancien des brigades internationales, un agent de l'étranger... [img]http://www.100latpolskiegofilm...[/img] Critique : Le grand mystère de ce film c'est comment une aussi forte critique anticommuniste a pu exister alors qu'à l'époque la dictature socialiste était toujours au pouvoir. En tous les cas, voilà une oeuvre très audacieuse de la part d'Andrzej Wajda. Mais c'est très loin d'être son seul mérite. La structure narrative fait fortement penser à "Citizen Kane" dans sa façon de raconter l'histoire de cette victime de la bêtise communiste. La caméra est souple, la reconstitution impeccable (tout juste peut-on déplorer que le noir et blanc des actualités est trop propre pour entièrement convaincre!), la musique dynamique, le jeu de la comédienne Krystyna Janda énergique et celui de Jerzy Radziwilowicz intense. Le film dure 160 minutes et pourtant on peut s'y plonger sans risque car l'ensemble est tellement bien raconté et est très dense que le temps passe très vite. Une très grande réussite. Note : 17/20 (****) [img]http://i146.photobucket.com/al...[/img]
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