AvecMark Boone Junior,
Michael Harney,
Jason Cerbone
Titre original
Shade
Vernon est l'un des meilleurs joueurs de cartes de Los Angeles. Miller et la jolie Tiffany ne sont pas non plus des débutants. Ces trois joueurs s'associent pour faire la peau au maître, The Dean. Personne ne lui a jamais rien pris sur un tapis vert.
Joe Young est un gorille géant, qui vit au coeur des montagnes Pangani d'Afrique centrale. Orphelin, il a reporté toute son affection sur l'intrépide Jill Young, dont la mère est tombée avec la sienne sous les balles des braconniers...
Griffin Mill est un responsable de production dans une Major d'Hollywood. Arrogant et cynique, il va en une journée se disculper d'un meurtre qu'il a commis, se débarrasser d'un collègue dangereux pour sa carrière et séduire la femme de sa victime.
Issu de la riche bourgeoisie américaine, Tim Gerrity, honnête et fidèle, fiancé à la fille d'un sénateur, est promis à un brillant avenir. Peter, quant à lui, est cynique et arriviste...
Rien ne va plus au Country Club de Bushwood ! Après qu'on lui en ait refusé l'accès, Jack, un nouveau riche, met tout en œuvre pour transformer le golf en un centre de loisirs qui lui ressemble. Mais les membres du club n'ont pas l'intention de le laisser faire...
Un sous-marin américain doit récupérer dans une île des soldats coupés de leur unité. Petit détail, ces soldats sont des femmes. Le retour sera, évidemment, des plus mouvementés.
Il faut marier papa (1963) de Vincente Minnelli
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Synopsis : Veuf et inconsolable, Tom Corbett élève seul son fils de sept ans, Eddie. Ce dernier, à qui sa mère a demandé avant de mourir de veiller sur son père, voudrait le voir se remarier au plus vite. Le garçon jette son dévolu sur leur voisine, Elizabeth Marten, infirmière et divorcée, qui se comporte comme une véritable mère pour lui. Mais Tom, reprenant goût aux choses de la vie, s'intéresse plutôt à Rita Behrens, une femme de la haute société qu'Eddie déteste d'emblée...
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Critique : Le canevas est un peu trop mince mais le talent de Minnelli a su y broder des personnages qui sonnent totalement justes dénués de mièvrerie. Inévitablement l'intérêt du film passe donc par ses personnages et bien évidemment par ses acteurs. Le talent et la présence solides de Gleen Ford est un très grand plus et il est entouré de trois belles partenaires à savoir Shirley Jones, Stella Stevens (absolument délicieuse en rousse et à qui on doit les plus belles scènes du film!) et Dina Merrill. Mais le plus étonnant réside dans l'interprétation du très jeune Ronny Howard (eh oui, le futur Richie de "Happy Days" et ensuite le cinéaste que l'on connaît!) dont la spontaneïté donne certainement une des plus grandes interprétations au cinéma pour un enfant. La photo subtilement colorée et le sens du cadre font le reste. A défaut d'un grand, on a un bon Minnelli bien inspiré.
Note : 13/20 (***)
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