Un prince viking voit son père se faire tuer par son usurpateur d'oncle. Des années plus tard, brutalement formé à la guerre, il va chercher vengeance. Voilà, il n'y rien de bien original dans l'intrigue de The Northman, mais il ne manque pas de muscles, ni surtout de visions affolantes orchestrées par son réalisateur.
L'ultime film du réalisateur de Coup de foudre à Notting Hill raconte une histoire rocambolesque, inspirée d'un fait divers, avec un sens du rythme jamais pris en défaut.
Entre explosions et courses-poursuites, le film lorgne sur les productions américaines façon Michael Bay, mais se consomme surtout comme un bon “buddy movie” (film de potes).
Un film d’une heure trente tourné sans jamais arrêter la caméra. C’est le pari fou et réussi d’Années 20, plan séquence unique réalisé sur six kilomètres, avec vingt-quatre comédiens dans Paris, un soir d’été de 2020.