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    Toutes les critiques de Première
    Monkey Man
    Première
    3,0
    Presse
    3,0
    Infusée des arômes du thriller coréen, d’un stoïcisme johnwickien et même d’un peu du glauque de Jordan Peel (qui produit le film), Monkey Man, c’est un film somme, témoin de la cinéphilie toute adolescente d’un fils d’immigrés qui rêvait de voir des héros qui lui ressemblent, et qui, à défaut d’en avoir trouvés, a pris les choses en mains. Ou plutôt, aux poings.
    Ici et là-bas
    Première
    2,0
    Presse
    2,8
    A l’image du titre, il y a deux films dans Ici et là-bas. Le meilleur ? Le buddy movie qui confronte le jeune noir français, parfaitement intégré, mais constamment ramené à sa couleur de peau à l’adulescent blanc qui se vit sénégalais. Le moins bon ? Un tour de France des régions qui déroule les stéréotypes (...).
    L'Homme Aux Mille Visages
    Première
    3,0
    Presse
    3,9
    De cette histoire qui a touché une de ses amies, Sonia Kronlund a d’abord fait un podcast puis un livre et ce docu (où la fiction surgit quand des actrices jouent certaines femmes réellement abusées), fruit d’un travail de 7 ans avec un détective privé. Le résultat séduit par son climat de thriller, teinté d’une irrésistible malice.
    Resilient Man

    Resilient Man

    Titre original A resilient man
    Première
    3,0
    Presse
    3,6
    Au plus près de son sujet dans les moments d’abattement comme dans ceux où l’espoir renaît, Stéphane Carrel signe un documentaire viscéral capable de parler aux spécialistes comme aux profanes. Il y a du Rocky dans ce Resilient man.
    L’Île
    Première
    3,0
    Presse
    3,6
    En 2022, Damien Manivel a réuni en Bretagne sept ados pour répéter un film traitant du basculement à l’âge adulte, le temps d’une dernière soirée d’été avant que la vie ne les éloigne. Ce projet prévu sous la forme d’un plan séquence n’a jamais vu le jour. Mais il a eu la belle idée de transformer ces répétitions en film qui épouse, plus qu’une pure fiction, le bouillonnement de cet âge combiné à celui de ses jeunes comédiens avides de création.
    SPY x FAMILY CODE: White

    SPY x FAMILY CODE: White

    Titre original Gekijoban Spy x Family Code: White
    Première
    3,0
    Presse
    3,4
    En moins de deux heures, le film raconte une intrigue complètement délirante (à base de concours de cuisine, de la recette d’un dessert mythique et de guerre entre deux nations) avec des passages très drôles et spectaculaires, d’autres moins inspirés, et ça finit sur un tunnel scato assez surprenant. C’est difficile à résumer, tout ça, mais plutôt très sympathique à regarder.
    Amal - Un esprit libre

    Amal - Un esprit libre

    Titre original Amal
    Première
    3,0
    Presse
    3,1
    Et ce thriller haletant, réalisé par un ancien journaliste, de s’avérer encore plus dévastateur et tragique que les films récents sur le sujet.
    Knit’s Island, L’Île sans fin

    Knit’s Island, L’Île sans fin

    Titre original Knit's Island
    Première
    3,0
    Presse
    3,8
    Si leurs témoignages racontent avec pertinence ce besoin de recréer autrement un lien social désormais aux abonnés absents, c’est par sa mise en scène, cette manière de faire du cinéma avec les codes du jeu vidéo que ce documentaire impressionne.
    Hopeless

    Hopeless

    Titre original Hwaran
    Première
    3,0
    Presse
    3,1
    Et grâce à son fascinant et sensuel duo de comédiens, Hong Xa-bin et Song Joong-ki, cette sombre épopée criminelle – souffrant de quelques longueurs - finit paradoxalement par émouvoir.
    Marin des montagnes

    Marin des montagnes

    Titre original Marinheiro das Montanhas
    Première
    4,0
    Presse
    3,6
    Une œuvre puissamment élégiaque et romanesque, sur laquelle plane à chaque instant l’ombre aimante et aimée de sa mère disparue. Un bijou.
    LaRoy

    LaRoy

    Titre original LaRoy, Texas
    Première
    3,0
    Presse
    3,5
    John Magaro fait très bien le William H. Macy de poche, Steve Zahn s’éclate en détective à Stetson et bolo tie trop heureux d’être tombé sur l’enquête de sa vie, et Dylan Baker (le pédophile de Happiness) se venge de tous les rôles de sale type qu’il aurait pu jouer chez les Coen si Steve Buscemi ne lui avait pas grillé la politesse.
    Borgo
    Première
    4,0
    Presse
    3,8
    Faisant un sort aux clichés habituels sur la Corse, Stéphane Demoustier signe un film à la tension sourde où il rend sans cesse crédible et prenante la lente descente aux enfers de cette matonne, peu à peu dépassée par les services de plus en plus importants qu’on lui demande.
    Le Jour où j'ai rencontré ma mère
    Première
    3,0
    Presse
    3,4
    Derrière ses airs mélancoliques, Le jour où j’ai rencontré ma mère est un splendide feu de joie.
    Riddle of Fire
    Première
    3,0
    Presse
    3,5
    Certains artifices sont parfois un peu lourds - à l’instar de cette musique celtique qui nous accompagne pendant la moitié du film -, réjouissants le plus souvent. Ici, la moindre liste de course devient une grande aventure faîte de farfadets et de fées des bois. Autant de périples à hauteur d’enfants qui font la magie du cinéma.
    La Machine à écrire et autres sources de tracas
    Première
    4,0
    Presse
    4,0
    Nicolas Philibert clôt ici en beauté une trilogie qui restera un marqueur dans sa carrière.
    Civil War
    Première
    5,0
    Presse
    3,7
    Si ces vignettes remplie de fureur et de chaos sonnent si justes, c’est parce que Civil War a été véritablement conçu comme une sorte de blockbuster pour adultes et qu’il réactive un format de production hollywoodienne à la saveur oubliée, et qu’on pourrait appeler « film du milieu ».
    Par-delà les montagnes

    Par-delà les montagnes

    Titre original Oura el Jebel
    Première
    2,0
    Presse
    2,9
    Par-delà les montagnes intrigue d’abord (dans quel film est-on exactement ?), puis se pose pour se terrer dans une maison (prise d’otages à rallonge), là où l’on aurait voulu que ce drame fantastique décolle enfin pour de bon.
    Rosalie
    Première
    3,0
    Presse
    3,2
    Les interprétations de Nadia Tereszkiewicz, exceptionnelle de délicatesse dans le rôle de la femme à barbe, et de Benoît Magimel, parfait en époux angoissé, s’avèrent à ce titre remarquables. Le film se fait par contre plus prévisible au niveau des seconds rôles et de la description des réactions hostiles de la foule.
    La Malédiction : l'origine

    La Malédiction : l'origine

    Titre original The First Omen
    Première
    3,0
    Presse
    3,5
    C’est parfois très efficace mais souvent prévisible, sans exploiter les moments les plus troubles que capte la réalisatrice Arkasha Stevenson (par exemple l’attirance soudaine de l’héroïne pour sa coloc’) dont c’est le premier film.
    Le Mal n'existe pas

    Le Mal n'existe pas

    Titre original Aku wa sonzai shinai
    Première
    5,0
    Presse
    4,5
    Le voyage sera aussi sublime qu’intriguant de bout en bout.
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