Le réalisateur de 10 Cloverfield Lane revisite la saga avec autant d’intelligence que d’efficacité et donne une passionnante leçon d’Histoire par-dessus le marché.
Si les références au classique de Steven Spielberg sont nombreuses et savoureuses, les réalisateurs trouvent un ton très personnel pour faire vivre des personnages hauts en couleur.
La fantaisie qui a toujours fait le charme du cinéma de Pierre Salvadori depuis Cible émouvante, Les Apprentis, Comme elle respire ou Dans la cour est toujours l’atout majeur de cette Petite bande à laquelle le spectateur est ravi de se joindre le temps d’une projection.
Zar Amir Ebrahimi a séduit le jury présidé par Vincent Lindon et remporté le prix d’interprétation à Cannes cette année. Sa prestation dans Les Nuits de Mashhad d’Ali Abbasi est à couper le souffle.
Sans mièvrerie, ni violence, cet excellent film fait passer un incroyable souffle épique sur l’écran. L’animation n’a plus rien à envier aux prises de vues réelles en termes de divertissement. Tout le monde à bord !
Charge des frustrations d’une population mal dans sa peau qui se lâchent soudain sur fond de pandémie, The Sadness n’a pas pour vocation de donner dans la légèreté. Sa folie furieuse en fait une œuvre intense en même temps qu’une expérience de cinéma hors du commun.
Déjà épatant dans Seules les bêtes, Grâce à Dieu et Jusqu'à la garde, l’acteur atteint un palier supplémentaire en incarnant un cinéaste solitaire et tyrannique inspiré par Rainer Werner Fassbinder.
Guidés par une forte femme, nos héros deviennent de dignes émules de Bruce Lee et Jackie Chan affrontant dragons et figures de la mythologie chinoise. De quoi réjouir les fans de ces drôles de bonshommes devenus incontournables dans la culture populaire.