Privilégiant les rapports humains aux scènes d'action, ce film d'animation brillamment réalisé se présente, comme toute bonne œuvre de science-fiction, comme une allégorie qui nous renvoie au réchauffement climatique et autres crises actuelles.
Aussi engageant soit-il, le casting ne parvient pas à faire passer un scénario trop scolaire dans son développement comme dans le traitement des personnages.
Ce film s'avère scolaire dans l'énumération des faits et porté par une actrice qui minaude un peu. Mais il surprend en consacrant une grande partie de son récit au lien qu'entretenait Amy avec Blake Fielder-Civil.
Entourée de l'efficace Wagner Moura et de la nouvelle étoile Calee Spaeny, Kirsten Dunst brille sous les traits d'une photographe expérimentée détruite par l'horreur de la guerre. Le résultat manque cependant de fond pour vraiment marquer les esprits.
Film d'époque à la mise en scène sage, Rosalie détonne par l'invraisemblable progression de son personnage singulier (...). On se laisse toutefois charmer par l'interprétation solaire de Nadia Tereszkiewicz.
Si le metteur en scène assure niveau muscles et tension tout au long des péripéties du trajet de la "nitro", la longue introduction de ce nouveau Salaire paraît assez peu utile et éloigne le spectateur des sentiers poussiéreux ou boueux qui font tout le sel du film...
Coquin, marrant en diable et psychédélique, ce plaisir de cinéma part un peu dans tous les sens, mais a le mérite d'être court et de faire mouche à chaque scène.