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    Real Humans
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    294 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 20 avril 2014
    une fois n'est pas coutume le ciné suedois rivalise avec peu de moyen et une belle performance des acteurs, zvec les series US... à voir absoluement
    the Monster Joker
    the Monster Joker

    15 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Une bonne série Suédoise. Le concept est original, mais la série manque d'action dans certains épisode, bref une série à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 18 novembre 2014
    Pour une serie en dehors du lot US UK, la Suède à fait fort, de vrais personnages, une histoire avec une intrigue dingue, parfois un peu contradictoire mais très bien réalisé
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 30 juin 2014
    Pose un vrai problème de société. Le sujet est terriblement bien mené, et la série, dans son ensemble est un juste dosage d'action, réflexion, suspens, et philosophie. Une des meilleures séries, sinon la meilleure que j'ai eue le loisir de voir !
    OVNINANTES
    OVNINANTES

    7 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 avril 2015
    Superbe...série, intelligente, rusée et attachante
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 8 juillet 2015
    Série de très bonne facture malgré des moyens à l'évidence limités, scénario intéressant quoiqu'un peu long à se mettre en place, acteurs intéressants. La série est scandinave, ça se sent et ça fait du bien (à comparer avec le jeu stéréotypé des acteurs américains ). Par ailleurs, cette série m'a amené à me poser des questions d'ordre philosophique, ce qui n'est pas inintéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Dès le premier épisode, l'ambiance s'installe, doucement. On retrouve une ambiance froide et intrigante en découvrant ces machines automatisées, sans âme, obéissant à la moindre demande de son propriétaire. Nous comprenons donc tout de suite la base de l'histoire : l'Homme a voulu créer des robots d'apparence humaine afin de se débarrasser des corvées du quotidien comme le ménage, la vaisselle, la préparation du repas...

    Mais les humains tombent vite dans les travers de leurs prouesses techniques. En effet, des gangs créent des logiciels pour transformer les robots en objets sexuels, des accidents se produisent à cause de défauts techniques... mais le pire est que les hubots prennent le travail des Hommes, en raison de leur coût, largement plus intéressant. C'est ainsi que des clans se forment : les défenseurs des hubots contre ceux qui luttent contre eux, ceux qui les voient comme des simples objets face aux individus qui se battent pour que les robots aient plus de droits... Or, nous n'arrivons pas à défendre les valeurs d'un seul camp, tous ayant leur part de raison.

    "Je pense donc Je suis"

    Cette série nous fait intelligemment réfléchir sur les questions de la conscience. Peut-on vivre dans notre société sans avoir de conscience ? Apparemment pas. Les hubots vivent avec les hommes, tous les jours, communiquent avec eux, travaillent... Ainsi, on peut déceler chez certains hubots la naissance d'une conscience du monde qui les entourent : un regard sincère, des paroles vraies, des remarques, etc.

    Cet aspect est d'ailleurs très intéressant, car il est d'une violence rare : en tant que spectateur, ces robots font peur. L'idée qu'il existe une conscience collective entre les hubots laisse entrevoir une vengeance sur l'homme, comme si le progrès technique se retournait contre nous. Une ambiance de chaos donc, alimentée par des images aux couleurs froides (prédominance du bleu) dont seuls les pays nordiques ont la recette.

    Les pistes de réflexion de cette série sont donc très complexes. L'Homme ayant créé le hubot, il se doit d'être maître de celui-ci, avoir une domination sans limite. Mais le hubot est une machine bien trop proche de l'Homme. Il peut s'en rapprocher physiquement, mais aussi par la parole, qui sans vouloir entrer dans un débat philosophique, est un instrument d'unité sociale.
    Comment voulez-vous que l'on dise à un robot que ce n'est pas un humain alors qu'il s'en rapproche par tous les points ? La conscience étant acquise et non pas innée, l'Homme n'a pas pu la contrôler en créant le hubot.

    Avec une habileté rare, Real Humans jongle entre les différents personnages aux idéologies très contrastées et fait cohabiter hommes et androïdes. Le résultat est incroyable : avec un très petit budget, la série arrive à être d'un réalisme bluffant. Real Humans fascine, inquiète, interroge, alerte... Découverte sur Arte, cette œuvre m'avait tout de suite charmé, et me voilà maintenant en attente de la troisième saison. La deuxième sera diffusée à partir du 16 mai prochain sur Arte. En attendant, rattrapez votre retard, cette série méconnue en France vaut le détour !
    Robert Turel
    Robert Turel

    5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 25 février 2014
    Jamais je n'ai vu de série (mis à part The Wire et Oz) permettant une réflexion aussi riche sur notre société. Les histoires et les personnages (mêmes non humains) sont excellents et passionnants à suivre ; surtout que c'est vraiment original pour le coup !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 juin 2014
    Certains commentaires m'ont choqué par l'étendue magistrale de leur vacuité... Vous l'avez compris, je parle du commentaire de Prad12 et celui de b T. ...

    Pour b T. je ne peux trop rien dire tant son propos est succinct et illustre surtout un seul problème : voir du manichéisme où il n'y en a aucun, mais s'il n'a rien trouvé de mieux pour justifier sa colère contre cette série qui, à mon avis, doit toucher à quelque chose de plus profond en lui et qu'il ne révèle à aucun moment dans son commentaire, je peux développer sur le commentaire de Prad12 qui regorge de références bidons.

    Prad12, si tu me lis : je suis moi-même Juif et le Golem est une histoire que je connais bien qui n'émane absolument pas de la Bible comme tu le prétends. Il s'agit d'une légende juive d'Europe de l'est qui a été créée au 16è siècle (beaucoup plus tardivement que les temps bibliques, donc) par le Maaral de Prague, le rabbi Loew (Z"L) !

    Le récit de cette légende n'a ABSOLUMENT AUCUN RAPPORT avec le récit de la série Real Humans !

    La légende du Golem raconte la création d'un monstre à partir de la glaise. Le récit de la série parle d'une société où les cyborgs (appelés "hubots" - contraction de "humans" et "robots") sont introduits dans la société moderne (c'est ce qu'il est en train de se passer, Prad12, tu sembles l'ignorer... Des Japonais triment sur la création de ce type de machines et ont déjà réalisé quelques prototypes).

    J'aurais éventuellement un peu mieux compris si tu avais évoqué le lien avec les cyborgs de Terminator car dans une oeuvre comme dans l'autre, on y parle de cyborgs, mais la question est traitée de manière totalement différente, voire diamétralement opposée, donc même si tu avais choisi cet exemple, il n'aurait même pas été valable... Mais au moins, cela nous aurait permis de comprendre le parallèle que tu tentais d'établir parce que l'histoire n'a aucun rapport ni avec le Golem qui est créé à partir de glaise ni avec Frankenstein qui est élaboré à partir de morceaux de différents cadavres humains... Il s'agit ici de robots "déguisés" en humain... donc aucun rapport !

    Cette série est de portée philosophique et sociologique, elle questionne sur l'inhumanité de l'humanité. Les hubots sont une parabole pour illustrer toutes les catégories de populations habituellement discriminées (femmes, Juifs, homosexuels, Noirs, immigrés, etc...) et ce thème s'axant sur la philo-sociologie, l'humour et la science fiction, est un cocktail tout à fait nouveau !

    Je suppose que si tu vois une ressemblance, dans ta critique, entre le magasin de Hubots et Ikea, c'est peut-être parce qu'Ikea est un magasin suédois et que la série est suédoise, mais pour ma part, je n'ai pas vu la moindre ressemblance entre les deux enseignes, peut-être n'est-ce que dans ta tête...

    Tu t'es ennuyé avec cette série que tu as vue en VO ? Mais personne ne t'empêchait de la voir en VF... J'ai essayé un peu en VO mais le suédois n'est pas une langue très gracieuse à entendre et j'ai senti que ça allait être problématique, alors j'ai mis en VF ! Tu aurais pu faire pareil...

    Cerise sur le gâteau : tu accuses la série de manichéisme et affirmes que "les bons étant constitués des robots, des femmes et de suédois d'origines étrangères, les méchants étant constitués exclusivement d'homme blancs suédois.......", rien n'est plus faux ! Il y a des femmes dans le groupe qui s'appelle Real Humans, tous les suédois d'origine étrangère ne sont pas forcément bons et tous les robots ne sont pas bons... JUSTEMENT PAS !!! Si tu avais vu les 2 saisons comme tu le prétends, tu saurais tout cela... Mais ton propos me permet d'affirmer avec regret que tu ne sais pas du tout de quoi tu parles (peut-être n'as-tu jamais regardé cette série) et que tu ne connais rien des références que tu cites (le Golem, Frankenstein, la SF des années 20,...).

    Je peux comprendre que tout le monde ne puisse pas aimer la même série, encore faut-il pouvoir étayer la critique, avoir des références valides, et citer des exemples existants... Si ton commentaire ne réunit rien de tout cela, navré de te le dire aussi crûment mais sa place n'est pas ailleurs que dans une poubelle...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 9 mars 2014
    J’ai eu un gros coup de cœur récemment pour Real Humans , une série différente mais pas moins passionnante.
    Reals Humans est une série suédoise de science fiction qui situe l’action dans un monde parallèle Äkta Människor.
    Dans cette société, les robots dits 'hubots' vivent parmi les humains.
    A la fois consommables, objets utilitaires ou sexuels, ils sont totalement intégrés dans la société. Intégrés oui, mais pas acceptés par tout le monde...
    C'est là que Real Humans pose le problème de la place de cette technologie au sein des humains.
    Les Hubots sont parfaitement interprétés, leur peau lisse, leur manière de bouger, d'observer, de sourire ou pas et d’inquiéter parfois sont troublantes.
    Ils ont toutes les fonctions : ils peuvent faire le ménage, accomplir des tâches difficiles, aider les enfants à faire leurs devoirs ou être de dociles objets sexuels.
    Dès les premières minutes, on pense inévitablement à Blade Runner, d'autant plus que parmi les personnages principaux, il y a des policiers d'une section spéciale chargée des crimes commis par les machines.
    Là où la série devient vraiment géniale, c'est qu'en parlant des machines, elles traitent également des humains, de nous, de nos déviances.
    Ces robots ont été créés pour faciliter la vie des humains en accomplissant ce qu'ils ne veulent plus faire.
    Mais, ils ne font que révéler l’égoïsme, l’individualisme forcené de cette société.
    Se révèle rapidement au fil des épisodes des comportements humains négatifs, la jalousie, la xénophobie, la peur de la solitude, la vieillesse, enfin bref, ça parle de le plan de l’esthétisme, du scénario, cette série est une vraie réussite et change des séries américaines, certes de qualité, mais dont on pourrait presque finir par se lasser…
    Une série qui gagne à être connue.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 août 2015
    Excellente série, courte et bien remplie. L'anticipation est souvent très bien ressentie, les problématiques complexes, les ressorts psychologiques sont nombreux... Bref pas trivial. A voir en vo pour s'immerger dans la culture suédoise
    CpasDuCiné
    CpasDuCiné

    5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 13 juillet 2022
    Bonne surprise que cette série qui traite à la fois avec sérieux et humour le thème de la vie et de la conscience de soi au travers de robots humaniformes nommés hubots. Les personnages principaux de la série aussi bien les humains que les hubots sont traités pour certains avec profondeur pour d'autres avec beaucoup d'humour. Quelques robots truculents comme le premier robot assistant du grand-père puis sa nurse et le coach sportif qui ne va pas tarder à remplacer le mari.

    Pas de manichéisme ni de wokisme comme j'ai pu le lire dans quelques commentaires, les qualités, les défauts, les doutes, le ridicule étant répartis aussi bien chez les humains que chez les hubots.

    Bien sûr on retrouve des emprunts aux classiques du thème comme le robot tueur, des soupçons de planète des singes (le grand remplacement diront certains) mais ceux qui s'attendent à voir un reboot de Terminator seront décus (et passeront à côté du sujet)

    Au final, très plaisant à regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 avril 2013
    Superbe série. J'ai vu la saison 1 et j'ai été bluffé.
    Les points forts : ambiance magique (dérangeante au souhait mais dans le bon sens comme certains n'ont pas compris ici), esthétique impressionnante (l'image est presque en permanence empreint d'un magnifique bleu futuriste), situations réalistes de la vie quotidienne que pourrait représenter un futur proche faisant froid dans le dos.
    Les acteurs sont potables, tout comme la bande son et la réalisation.
    Très originale, saison 2 apparemment prévue, je conseille vivement cette série à tous les amateurs de science fiction et plus précisément des dystopies à la Philip K. Dick et à la Asimov.
    Arte diffuse depuis la semaine dernière la série, j'espère que cela va aider cette série à se montrer plus populaire, l'étant déjà à peine sur le net.
    5/5 pour l'originalité, le scénario et l'ambiance.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 août 2014
    Grand fan d'Isaac Asimov, je retrouve dans la série le traitement d'un quotidien extraordinaire dans un présent alternatif. Hyper addictif.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 15 juin 2014
    Bien qu'un peu légère, la première saison était une réelle surprise, un ton, un jeu d'acteur "humain" que je n'avais vu qu'avec Broadchurch. La deuxième est, selon moi, une rare réussite : image parfaite, personnage réalistes, des émotions pas téléphonées comme on peut en voir et surtout... des thèmes de science fiction qui sont traités jusqu'au bout.
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