Avis Peaky Blinders S2

Bande-originale formidable, guest stars incroyables (Tom Hardy en tête), scénario en béton, et bien sûr, personnage principal charismatique hyper classe, font le sel de cette saison 2 se terminant en apothéose avec un dernier épisode haletant tendu jusqu'aux dernières minutes. Proprement génial !

La saison 2 est tout simplement meilleure que la première
Cillian Murphy est encore incroyable
Les personnages et le développement des perso est très bon
Le scénario est encore meilleur que la première
Il y a des enjeux de partout
Je mets la note de 20/20

Le retour de la famille Shelby est juste explosive car après avoir remis de l'ordre dans sa ville natale. Ils s'attaquent à Londres et veulent avoir la main mise sur toute la pègre.

Certes cette saison reprendre les mêmes éléments que la première saison mais repose sur un intérêt central qui est l'affrontement entre Cilian Murphy et Tom Hardy qui sont tous les deux impressionnants.
Stven Knight créateur de la série a trouvé une perle et il doit la garder pour longtemps

La classe… Oui c’est ça… S’il y a bien un mot qui peut décrire cette saison et plus généralement cette série, c’est la « classe ». Pour être entièrement honnête, j’avais même peur de m’aventurer dans cette seconde saison. C’est qu’en repensant à chaque fois à ces huit premiers épisodes de la série, je me disais quand même que beaucoup de mon plaisir avait reposé sur cette forme léchée, sur ces personnages marqués et marquants, sur cette atmosphère séduisante… Cette « classe » quoi… Or, moi, j’avoue que j’aime les univers évolutifs. Je n’aime pas la stagnation ou la dilution. Quitte à me replonger dans un univers que j’aime bien, je préfère encore revoir en boucle l’original plutôt que de me coltiner des suites qui n’apportent rien de neuf… Cette peur, je l’avais donc pour cette saison 2 de « Peaky Blinders », eh bien maintenant que je m’y suis risqué, je peux vous dire que j’ai été bien sot d’être ainsi effrayé. Ah ça ! Je l’aimais déjà beaucoup cette série, mais je pense qu’elle commence à gagner ses galons dans mon cœur. Personnages, univers, intrigues… Tout a changé de dimension dans cette saison 2. Alors après, certes, il faut attendre quelques épisodes pour que la machine se lance, mais une fois qu’elle est lancée, elle sait démontrer toute sa puissance et à quel point elle est bien huilée. D’ailleurs, c’est peu dire si cette saison 2 sait finir sur les chapeaux de roue car, me concernant, j’ai rarement un Grand final aussi rondement orchestré. Ce n’est pas compliqué : je trouve que cette conclusion de saison est peut-être l’une des plus abouties que j’ai pu voir jusqu’à présent. Ah ça, il n’y a pas à redire : ça dépote, c’est clair ! Mais en plus ça promet encore une montée en puissance dans la saison 3 ! Mais quel pied ! Moi je ne dis plus qu’une seule chose : « Vivement ! »

Fort d’une première saison remarquée, Outre-Manche, et pas que, la BBC Two remet le couvert avec ses gangsters de Birmingham, replongeant son public dans les années 20, dans une Angleterre mise à mal par la pègre, une industrialisation outrancière et des voisins républicains irlandais peu dociles. On retrouve donc notre clan Shelby, les Peaky Blinders, son leader charismatique, son univers malhonnête, son entourage troublant, deux ans après la conclusion de la première saison. Steven Knight, l’homme à la barre, ne s’embarrasse que peu d’une quelconque facilité dans la transition, nous immergeant d’emblée dans une continuité qui ne découle pas forcément d’une logique évidente pour celui qui aura laissé couler une année entre les saisons. Mais peu importe la facilité d’approche, l’ensemble tient parfaitement la route, se référant parfois aux épisodes passés pour mieux rebondir vers quelques autres trames narratives souvent audacieuses. Tout n’est finalement question que de deux choses dans cette série, jusque-là du moins, la soif insatiable d’extension du gangster et la rivalité haineuse entre ce même gangster, son clan, et un enquêteur peu farouche assoiffé d’autorité et de vengeance.

Cillian Murphy reprend les armes et la casquette, tout comme l’ensemble du casting, y compris, bien sûr et sans spoiler, Sam Neill. Alors que le milieu dans lequel évoluaient les personnages durant la première saison paraissait déjà suffisamment vaste pour un format six épisodes, voici que les scénaristes propulsent le gang de Birmingham à Londres, dans une quête effrénée de règne criminel. Mais là sont établis deux fortes têtes qui s’opposent, les italiens et leur patron sanguinaire et les juifs, dont le boss n’est autre que l’immense Tom Hardy. Le comédien, on se doute bien que pour sa participation au récent long-métrage de Steven Knight, il lui rend un service en jouant un psychopathe à fort potentiel culte dans sa série. Tant mieux pour nous. Et Tommy Shelby et ses Peaky là-dedans? Eh bien ils sèmeront le trouble, ils prendront les armes et les choses en mains. Là encore, voici l’histoire de l’Outsider voulant devenir champion.

Comme dans tout bon scénario de polar mafieux qui se respecte, on alterne entre trahisons, exécutions, violences et autres magouilles financières. Ajoutons ici la difficulté du maintien d’un noyau familial versatile, la conciliation entre amours et business et nous voici face à une série qui n’aura pas à rougir face à la concurrence américaine, je pense là à Boardwalk Empire. Steven Knight, par ailleurs, bénéficiant pour chaque épisode, le format six épisodes oblige, d’un budget intéressant, parvient à livrer de sublimes images via ses réalisateurs, en vérité souvent supérieures au standing de la télévision que l’on connaît. Soyons franc, Peaky Blinders, s’est beau, s’est esthétisé et les tronches castées sont parfaitement cinégéniques. Un vrai bonheur.

Voilà donc une bonne pioche pour remplir deux voire trois soirées, une bonne pioche qui n’est aucunement une surprise vu la qualité de la première saison. On passe simplement à un niveau supérieur, tout en douceur, dans l’extension criminelle de Tommy Shelby. 17/20

Une bonne 2ème saison avec une bonne intrigue, des rebondissements et pas mal de violences et une bonne BO !! Le casting est toujours aussi impeccable avec à sa tête Cillian Murphy parfait !!

Après une première saison de qualité, les Peaky Blinders reviennent dans une deuxième saison encore plus réussie. On retrouve avec grand plaisir notre gang de Birmingham qui, cette fois-ci, va tenter de s’étendre sur Londres. Pour cela il devra se frotter aux gangs italiens et juifs ainsi qu’à un vieil ami. La série est toujours aussi bien réalisée, écrite et mise en scène, Cillian Murphy est toujours aussi charismatique et la b.o est toujours aussi rock’n’roll. On retrouve avec grand plaisir tous les membres du gang (Polly, Arthur, John, Ada) et cette saison, la série accueille un invité de marque en la personne de Tom Hardy qui campe Alfie Solomons, le chef du gang juif. Et comme toujours, Tom Hardy est monstrueux de charisme malgré un rôle très secondaire. Voilà, si vous avez aimé la première saison, vous aimerez obligatoirement cette nouvelle salve d’épisodes et si vous n’avez toujours pas découvert Peaky Blinders, je vous le conseille fortement.

Quelques sérieux coups de mou dans les trois premiers épisodes, mais heureusement l'ensemble une fois bien lancé garde un très bon rythme et que l'intérêt est sans cesse relancé par l'apparition de nouveaux personnages et la réapparition de d'autres.
Le dernier épisode réserve même la séquence ou plutôt la suite de séquences la plus intense de toute la série à savoir celle...enfin celles qui se déroulent dans l'hippodrome et dans ses alentours... donc un dernier épisode dantesque qui donne vraiment envie de se plonger rapidement dans la saison 3 (beaucoup plus en tous les cas que le cliffhanger de la saison 1 qui est un peu trop facile !!!).

Cette deuxième saison se déroule en 1921, et voit la famille Shelby, désormais très puissante, tenter de conquérir l'univers du crime de Londres. Comme pour la première saison, on notera toujours un grand soin au niveau de la reconstitution historique : costumes, décors, paysages, photographies, accents, qui permettent de se plonger dans cette époque trouble. Côté scénario, paradoxalement la saison exploite moins de sujets que la précédente (le syndicalisme et les horreurs de la guerre passent à la trappe), mais se veut plus originale, avec des rebondissements intéressants, moins de coups de mou, et moins de de similitude avec la trilogie "Godfather". Les acteurs sont toujours en grande forme, avec Cillian Murphy, dont le personnage au sang froid et à l'intelligence acérée sont mise à rude épreuve, et Sam Neill, dont le rôle de policier sournois a évolué en un manipulateur sanguinaire, sadique, et lubrique, que l'on adore détester. On accueille également quelques nouveaux (Tom Hardy, Noah Taylor) qui valent le coup d’œil. La série parvient donc à se maintenir (voire s'améliorer), et demeure fine et pertinente.

Je commence tout juste à sentir les effets du virus ! J'ai pourtant eu bien du mal a entrée dans cette nouvelle saison mais à l'arrachée le truc c'est formé. Les personnages sont aussi un peu plus consistants, Thomas Shelby accapare toujours une grande place dans cette intrigue mais il laisse cette fois aux autres un peu plus d'espace. Celui-ci trouve dans cette suite une nouvelle armure, plus vulnérable, friable mais aussi encore plus pernicieuse et salutaire. Son intelligence remarquable est au cœur de l'histoire et bluffe de minute en minute avec force et précision. Les décors, costumes, musiques et autres artifices sont encore une fois dans le ton adéquat, l'ambiance est contaminé par tous ces éléments et trouve lors de cette seconde saison une justesse qui lui est propre. Me voici définitivement emballé, pourvu que la suite me sensibilise encore plus avec cette série.

J'attendais la suite de cette série, et je ne suis pas déçu par la réalisation qui reste parfaite pour nous montrer les cotés sombres mais aussi lumineux de nos peaky blinders.

Les personnages nous montre différentes facettes, plutôt bien joués par les acteurs , et surtout pour qu'on arrive à s'attacher à eux. C'est donc une réussite sur ce point là.

On peut reprocher certaines actions similaires à la saison 1 et l'histoire qui avance lentement sur certains points mais on reste intéressé par ces histoires d'argents, de gangs qui sont bien haletante.

Attendons la saison 3 ... je la suivrai tout autant.

Pour cette saison 2, "Peaky Blinders" monte en régime. Les intrigues se solidifient, les personnages gagnent en épaisseur, et PJ Harvey prend place dans la bande son... Et surtout l'univers créé par la série reste parfaitement cohérent.

Une saison très riche en actions diverses, en tensions extrêmes. La rivalité entre le major et Tommy arrive à son paroxysme. Très belle fin d'épisode.

Une deuxième saison encore plus violente et intense que la première, qui ne manquait déjà pas de souffle. L'entrée en scène de Tom Hardy est déterminante, l'acteur campant un personnage charismatique. Ainsi que l'arrivée d'un petit nouveau dans le clan. Jamais Tom Shelby ne s'est trouvé dans de telles difficultés, gérant avec aplomb les affaires familiales. Le plus formidable est que l'histoire gagne en intensité au fur et à mesure que la saison avance. Vivement la suite.

Vu Peaky Blinders saison 2 je l'ai trouvé un peu moins réussi que la 1ère saison mais sa reste tout de même bien réalisée et les Acteurs sont bons ⭐⭐⭐