Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Collider
par Kay B.
Lovecraft Country est à ne pas rater; c'est de la télévision qui creuse profondément afin de poser des questions complexes (...) qui offre à ses acteurs l'opportunité de raconter des histoires étranges, terrifiantes, tendres, cruelles, inattendues et douloureuses d'une manière unique et subtile.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Une série qui vous accroche très rapidement et sur laquelle il est quasiment impossible d'être mitigé (...) Un mixte audacieux et provocateur aussi divertissant qu'exigent.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Un mélange rythmé d'une spectaculaire efficacité. Chaque épisode semble exploser d'idées et d'événements, comme si la créatrice Misha Green voulait offrir le plus possible tant qu'elle en a l'opportunité. Il s'y passe tellement de choses qu'ils pourraient durer le double temps que ça ne serait pas trop.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Time
par Judy Berman
Une série intelligente, prenante et formidablement sauvage (...) Dire que Lovecraft Country est une sacrée série serait un euphémisme. En dehors du sang et des jump scares, les scripts sont remplis de numéros musicaux transcendants, de fêtes où les invités se succèdent, de sexe à la fois tendre et terrifiant, de courses-poursuites cinématographiques (...)
La critique complète est disponible sur le site Time
Slant Magazine
par Jake Cole
La série parvient à eclipser son matériel source pour capturer l'horreur universelle issue des fictions de Lovecraft tout en se confrontant à ses aspects les plus problématiques.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
TV Guide
par Candice Frederick
La série HBO ne sacrifie pas son discours sur le fait d'être noir tout en proposant aussi un récit riche et pertinent autout de l'horreur et du traumatisme dans la plus pure tradition (...) Ce qui la catapulte dans le genre, c'est ses éléments de folklores bibliques, de fantastique et ses monstres en effets-spéciaux.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Telegraph
par Ed Power
Lovecraft Country se devait d'être à la hauteur. Et elle parvient dès son démarrage à frapper les esprits avec exubérance et un mélange de frissons et de commentaire social incroyablement efficace.
La critique complète est disponible sur le site The Telegraph
USA Today
par Kelly Lawler
Les occasionels problèmes de rythme de la série ont peu d'importance au global, tant elle fait un bel usage de son excellente distribution, de ses scénarios malins et de ses visuels vibrants (...) Comme le film "Get Out" de Jordan Peele, elle réussit à user du fantastique et de l'horreur pour attirer le spectateur vers une histoire plus profonde et révélatrice.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
La série peut sembler parfois en surchauffe, confuse et sans nuances, et pas uniquement parce qu'absolument tous les personnages blancs sont mauvais, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, qu'ils soient de simpes benêts ou des monstres absolus. Sa puissance émotionnelle a tendance à noyer son humour.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Variety
par Daniel D'Addario
Bien que les acteurs soient très bons, leurs personnages sont confrontrés à des histoires horrifiques sans que l'on sache vraiment qui ils sont, pour ça il faut attendre le 5e épisode et c'est un peu tard (...) Le surréalisme est une bonne manière d'atteindre un sens plus profond, sans doute, mais cela requiert des portraits de personnages plus fins pour nous embarquer.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
L’action superpose une topographie imaginaire à une géographie réelle pour remonter aux racines de l’horreur américaine, qu’elle soit fictionnelle (fantômes, vampires et maléfices) ou historique (esclavage, ségrégation et racisme). C’est sur sa forme que "Lovecraft Country" convainc un peu moins, lorsqu’elle saupoudre ses péripéties de tubes anachroniques et de touches comiques hétérogènes, ou qu’elle s’abandonne à des élans gore ou grand-guignol flirtant avec la série B.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Collider
Lovecraft Country est à ne pas rater; c'est de la télévision qui creuse profondément afin de poser des questions complexes (...) qui offre à ses acteurs l'opportunité de raconter des histoires étranges, terrifiantes, tendres, cruelles, inattendues et douloureuses d'une manière unique et subtile.
Hollywood Reporter
Une série qui vous accroche très rapidement et sur laquelle il est quasiment impossible d'être mitigé (...) Un mixte audacieux et provocateur aussi divertissant qu'exigent.
Rolling Stone
Un mélange rythmé d'une spectaculaire efficacité. Chaque épisode semble exploser d'idées et d'événements, comme si la créatrice Misha Green voulait offrir le plus possible tant qu'elle en a l'opportunité. Il s'y passe tellement de choses qu'ils pourraient durer le double temps que ça ne serait pas trop.
Time
Une série intelligente, prenante et formidablement sauvage (...) Dire que Lovecraft Country est une sacrée série serait un euphémisme. En dehors du sang et des jump scares, les scripts sont remplis de numéros musicaux transcendants, de fêtes où les invités se succèdent, de sexe à la fois tendre et terrifiant, de courses-poursuites cinématographiques (...)
Slant Magazine
La série parvient à eclipser son matériel source pour capturer l'horreur universelle issue des fictions de Lovecraft tout en se confrontant à ses aspects les plus problématiques.
TV Guide
La série HBO ne sacrifie pas son discours sur le fait d'être noir tout en proposant aussi un récit riche et pertinent autout de l'horreur et du traumatisme dans la plus pure tradition (...) Ce qui la catapulte dans le genre, c'est ses éléments de folklores bibliques, de fantastique et ses monstres en effets-spéciaux.
The Telegraph
Lovecraft Country se devait d'être à la hauteur. Et elle parvient dès son démarrage à frapper les esprits avec exubérance et un mélange de frissons et de commentaire social incroyablement efficace.
USA Today
Les occasionels problèmes de rythme de la série ont peu d'importance au global, tant elle fait un bel usage de son excellente distribution, de ses scénarios malins et de ses visuels vibrants (...) Comme le film "Get Out" de Jordan Peele, elle réussit à user du fantastique et de l'horreur pour attirer le spectateur vers une histoire plus profonde et révélatrice.
Los Angeles Times
La série peut sembler parfois en surchauffe, confuse et sans nuances, et pas uniquement parce qu'absolument tous les personnages blancs sont mauvais, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, qu'ils soient de simpes benêts ou des monstres absolus. Sa puissance émotionnelle a tendance à noyer son humour.
Variety
Bien que les acteurs soient très bons, leurs personnages sont confrontrés à des histoires horrifiques sans que l'on sache vraiment qui ils sont, pour ça il faut attendre le 5e épisode et c'est un peu tard (...) Le surréalisme est une bonne manière d'atteindre un sens plus profond, sans doute, mais cela requiert des portraits de personnages plus fins pour nous embarquer.
Les Inrockuptibles
L’action superpose une topographie imaginaire à une géographie réelle pour remonter aux racines de l’horreur américaine, qu’elle soit fictionnelle (fantômes, vampires et maléfices) ou historique (esclavage, ségrégation et racisme). C’est sur sa forme que "Lovecraft Country" convainc un peu moins, lorsqu’elle saupoudre ses péripéties de tubes anachroniques et de touches comiques hétérogènes, ou qu’elle s’abandonne à des élans gore ou grand-guignol flirtant avec la série B.