Avis Feel Good

Jolie série singulière et qui traite de sujets importants mais qui fait souvent du sur place, dommage. 

Cet avis bref va être aussi bref que sa durée,  une série très courte, elle contient huit à six épisodes d'environ vingt-cinq minutes chacun par saison. À la distribution, on retrouve Lisa Kudrow (Phoebey de friends) dans un petit rôle, j'avoue que ça fait toujours plaisir de la voir, et ça même si son rôle est plutôt lourd. Après, j'ai apprécié l'une des protagonistes "Goerges", elle est bien plus mignonne et agréable que la principale concernée Mae.

La série est soit très feel good comme son titre l'indique. C'est une simple et banale, une mignonne petite comédie romantique avec un petit aspect de drame en rapport à la dépendance/toxicomanie, ce qui apporte son lot de dramaturgie. Une série qui se suit sans grand enthousiasme, elle est vraiment légère et simpliste, ni plus ni moins, c'est passable sans pour autant être marquant ou révolutionnaire.

Enfin bref, Feel good est série simple, correcte et très courte, une série Feel Good même si un peu déprimante de temps à autre.

Série super qui fait du bien et permet d’inclure une plus large représentation des personnes de la communauté LGBTQIA+. J’ai également apprécié comment l’addiction aux drogues était dépeinte dans cette série, son sens, les aides diverses qui font parties de la vie qui souffre d’addiction. Série originale, drôle, attendrissante, surprenante et émouvante. Jeu d’actrice excellent, bref beaucoup de plaisir à la regarder.

Cette jolie romance a des accents mélancoliques mais elle est aussi teintée d'un humour british cynique. Elle s'interroge sur le genre et sur la sexualité mais c'est avant tout une tendre histoire d'amour qui pourrait se voir contrarier par le passé de Mae et le retour de ses démons - ou bien par les rêves de Georgina, peuplés de princes charmants blonds et très masculins (plus d'infos : https://pamolico.wordpress.com/2020/12/26/feel-good-mae-martin-saison-1/)

Tout en finesse en justesse et en intensité.Subtil et poignant. Une belle découverte . Le regard sur l’addiction est nuancé, sans pathos et terriblement réaliste. Par ailleurs pour ma part un nouveau regard.sur la question du genre