Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ecran Large
par Arnold Petit
We Own This City ne pouvait pas être aussi riche et peaufinée que The Wire en seulement six épisodes, mais la mini-série de David Simon, Ed Burns et George Pelecanos explore avec brio les dérives de l'institution policière pour livrer un portrait cynique, brutal et désabusé d'un système brisé et d'une Amérique au bord de l'implosion.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Entertainment weekly
par Darren Franich
Vous ne regarderez plus jamais une autre série policière de la même manière.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Le Figaro
par Céline Fontana
La narration, éclatée, reconstitue le puzzle complexe, entre passé et présent, portée par la réalisation à la fois fluide et tendue de Reinaldo Marcus Green.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Audrey Fournier
We Own This City se donne pour ambition d’ajouter un chapitre aux cinq saisons de The Wire tout en en formulant la conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Yves Jaeglé
On ne peut pas comparer les 60 épisodes de « The Wire » aux six de « We Own This City », qui n’a forcément pas la même ampleur. Mais on n’oublie pas l’immense gâchis que David Simon nous oblige à regarder dans les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Sur fond de guerre contre la drogue, David Simon et ses coscénaristes George Pelecanos et Ed Burns décrivent par le menu les brutalités des forces de l'ordre, le racisme, la corruption ; et l'impuissance des institutions à les enrayer.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Benoît Franquebalme
Elle est comme l’écho lointain et désuet d’un âge d’or (les années 1990-2000) où les séries s’appréhendaient comme de vraies œuvres littéraires et auteuristes.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Eblouie par la performance nerveuse de Jon Bernthal et ancrée par un dialogue incroyablement intelligent, We Own This City est une mini-série remarquable dans l'une des périodes les plus fournies de "drames de prestige" depuis des années.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Time
par Judy Berman
Ce qui distingue la série de The Wire est son ancrage dans un milieu d'application de la loi contemporain qui réagit, de manière à la fois constructive et destructrice, au mouvement Black Lives Matter.
La critique complète est disponible sur le site Time
Télérama
par Pierre Langlais
Contrairement au relatif classicisme narratif des œuvres précédentes de Simon, We Own This City, dont tous les épisodes ont été réalisés par Reinaldo Marcus Green, avance pied au plancher, multipliant les scènes courtes et laissant donc peu d’espace aux personnages pour exister.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Vulture
par Jen Chaney
Une série vivante, richement détaillée, tournée avec un réalisme sans concession par le réalisateur Reinaldo Marcus Green (La Méthode Williams) et qui mérite d’être regardée pour une foule de raisons.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Ouest France
par Pascale Vergereau
Le sujet parle, l’image est léchée. On ne s’ennuie pas. Mais la narration est compliquée par le recours à d’incessants flash-back et scènes d’interrogatoires.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Washington Post
par Inkoo Kang
Les performances ici sont bonnes mais pas particulièrement remarquables, en raison du peu de temps d'écran alloué à chaque membre de l'énorme distribution.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Ecran Large
We Own This City ne pouvait pas être aussi riche et peaufinée que The Wire en seulement six épisodes, mais la mini-série de David Simon, Ed Burns et George Pelecanos explore avec brio les dérives de l'institution policière pour livrer un portrait cynique, brutal et désabusé d'un système brisé et d'une Amérique au bord de l'implosion.
Entertainment weekly
Vous ne regarderez plus jamais une autre série policière de la même manière.
Le Figaro
La narration, éclatée, reconstitue le puzzle complexe, entre passé et présent, portée par la réalisation à la fois fluide et tendue de Reinaldo Marcus Green.
Le Monde
We Own This City se donne pour ambition d’ajouter un chapitre aux cinq saisons de The Wire tout en en formulant la conclusion.
Le Parisien
On ne peut pas comparer les 60 épisodes de « The Wire » aux six de « We Own This City », qui n’a forcément pas la même ampleur. Mais on n’oublie pas l’immense gâchis que David Simon nous oblige à regarder dans les yeux.
Les Echos
Sur fond de guerre contre la drogue, David Simon et ses coscénaristes George Pelecanos et Ed Burns décrivent par le menu les brutalités des forces de l'ordre, le racisme, la corruption ; et l'impuissance des institutions à les enrayer.
Marianne
Elle est comme l’écho lointain et désuet d’un âge d’or (les années 1990-2000) où les séries s’appréhendaient comme de vraies œuvres littéraires et auteuristes.
RogerEbert.com
Eblouie par la performance nerveuse de Jon Bernthal et ancrée par un dialogue incroyablement intelligent, We Own This City est une mini-série remarquable dans l'une des périodes les plus fournies de "drames de prestige" depuis des années.
Time
Ce qui distingue la série de The Wire est son ancrage dans un milieu d'application de la loi contemporain qui réagit, de manière à la fois constructive et destructrice, au mouvement Black Lives Matter.
Télérama
Contrairement au relatif classicisme narratif des œuvres précédentes de Simon, We Own This City, dont tous les épisodes ont été réalisés par Reinaldo Marcus Green, avance pied au plancher, multipliant les scènes courtes et laissant donc peu d’espace aux personnages pour exister.
Vulture
Une série vivante, richement détaillée, tournée avec un réalisme sans concession par le réalisateur Reinaldo Marcus Green (La Méthode Williams) et qui mérite d’être regardée pour une foule de raisons.
Ouest France
Le sujet parle, l’image est léchée. On ne s’ennuie pas. Mais la narration est compliquée par le recours à d’incessants flash-back et scènes d’interrogatoires.
Washington Post
Les performances ici sont bonnes mais pas particulièrement remarquables, en raison du peu de temps d'écran alloué à chaque membre de l'énorme distribution.