Avis Neuf Mecs

Une série tout à fait étonnante de Emma de Caunes qui livre une fresque de personnages aussi loufoque qu'attachant. Les histoires racontés sont drôle et parfois même émouvante, on ressent pas mal de choses en 10 minutes. Je trouve que c'est une série très poétique car elle permet d'aborder des sujets sérieux de manière très belle, le deuil, la solitude, la différence etc... Je pense que c'est une série qu'il faut voir et j'espère une saison 2 aussi belle que la première.

Anémique comédie d Emma de Caunes, une bonne idée à la base, mais realisation et interprétation noient ce film dans l ennuie

Incroyable de vacuité et de nullité. Pas d'histoires, pas de scénarios, on a presque systématiquement envie de terminer chaque scènes par un "oui... Et ????". Ce n'est ni drôle, ni dérangeant, ni touchant, c'est.... rien. Le néant. Scénario poussif, dialogues plats, comédiens livrés à eux même... ça et à, des références à la déconstruction masculine, pour être en phase avec l'époque actuelle, mais aucun message de fond, aucune véritable intention.

Papa De Caunes a convaincu Canal de faire bosser sa fifille. Résultat très moyen, comme trop souvent avec les productions Canal, casting plutôt convainquant mais niveau écriture c'est bof...

Une étoile pour payer le régisseur. La direction des comédiens n’est pas maitrisée. Le rythme narratoire est poussif, l’émotion absente, le message brumeux, l’ennui infini. J’ai réussi l’exploit d’aller jusqu’au bout du deuxième épisode.

Bonne distribution, mais scenario poussif. je suis allé jusqu'au 9eme épisode pour voir et je suis vraiment déçu.

Série très inégale, et très centrée bobo parisien et deconstruction masculine. A la mode, quoi. Ce n'est pas inintéressant mais j'ai trop eu l'impression de voir neuf fois le même épisode.
Tout n'est pas à jeter mais ça ne laissera pas un souvenir impérissable. Je crois que la même série éxiste avec des filles. Je ne vais pas préjuger du résultat avant de la regarder. Juste un pronostic. 9 femmes maltraitées dans tous les domaines de la société. On verra si je me trompe