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    Vinyl
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    43 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 25 avril 2016
    « Vinyl » est une claque. Une belle torgnole que l’on reçoit avec plaisir en pleine face. Visuellement, c’est parfait. L’ambiance sex, drogues et rock & roll de cette époque folle où l’excès prédomine sur la raison est un régal.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 8 mars 2016
    Une vraie claque auditive et visuelle. Un rythme des plus agréables, une bouffée d'air frais parmi toutes les séries que l'on peut voir en ce moment. Je me suis laissée bercer et entraîner dans un récit aussi doux que rock'n'roll, aussi rêveur que désillusionné.
    Regarder Vinyl c'est s'imaginer refaire le monde en savourant un cigare à bord d'une croisière parfois agitée mais surtout revigorante.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Vinyl ! What the fucking hell is that tv-show ?! (sorry, après avoir vu cette série j'ai été bouleversé, notamment niveau du langage...)
    Impressionnante sur toute sa longueur! Elle réussit un pari des plus fous: recracher la fureur rock’n’roll des seventies! Le rythme est intense, chaque épisode pourrait être diffusé dans un cinéma tellement l’image est parfaitement bien cadrée et les travellings toujours utilisés aux bons moments. Les acteurs se déchaînent se défoule, Richie Finestra (par Bobby Cannavale, magistral) notre grand héros vrille su la musique et la drogue, descend bas, très bas au fond de ses soucis familiaux et sa crise de la quarantaine. Malgré toutes ses erreurs notamment vis-à-vis de sa femme interprétée par Olivia Wilde, époustouflante, on ne peut que le prendre en sympathie. Lui il n’essaye que de gérer sa maison de disque, on compatit, son geste est beau au service de la musique. Le rock se perd tout comme lui à cette époque, mais de nouvelles têtes prometteuses arrivent, la jeune Juno temple ou James Jagger (fils de Mick Jagger justement) avec son groupe les Nasty beats, ils sont cette nouvelle génération qui se cherche! La musique est omniprésente, le silence est rare, les morceaux ne s’arrête quasiment jamais, ils s’enchaînent telles les séquences que l’on voit, tout défile en accéléré, on arrête de respirer, on met le bras au cœur du vinyle. Les images tournent la musique s’envoie, et la série nous échappe.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 23 avril 2016
    Phénomène série de ce début d’année, Vinyl est le tout dernier produit HBO (The Sopranos, The Wire, Game Of Thrones, True Detective) avec à la baguette Martin Scorsese, épaulé par Mick Jagger, Rich Coen et Terrence Winter. Alors quand on a tout ce beau monde réuni, qu’on ajoute du bon rock des 70’s et un casting quasi parfait, le résultat est forcément très attendu.

    Martin Scorsese nous fait rentrer dans l’industrie du rock des années 70, via son (anti)héros Richie Finestra (Bobby Canavale), producteur de musique à NY tentant de sauver American Century Records son label en pleine crise.
    Le metteur en scène américain, producteur de la série, passe aussi derrière la caméra pour réaliser le pilote. Et quel pilote ! Un premier épisode d’1h50 (soit la durée d’un long métrage) de pur bonheur visuel et auditif, une immersion totale entre rail de coke et concert des New York Dolls : tout simplement un film de Scorsese !
    Après ce pilote, « Marty » passe la main à des réalisateurs plus spécialisés pour les séries TV et beaucoup moins connus, tels que S.J. Clarkson (Dexter, Heroes) ou Allen Coulter (The Sopranos, House of Cards). La différence est nette avec une mise en scène plus « petit écran », les successeurs de Scorsese arrivent à calmer le jeu après un premier épisode épique. Si l’action est toujours centrée sur Richie Finestra, on laisse place maintenant à de (nombreux) nouveaux personnages et on continue notre avancée dans l’industrie musicale des Seventies. Et c’est là la force de Vinyl : arriver à immerger et faire voyager le spectateur dans les backstages de ce secteur si fermé.

    Si Vinyl brille, c’est notamment grâce à la performance de Bobby Canavale. Excellent à chaque seconde des 10 épisodes, l’ancien acteur de Boardwalk Empire est à l’image du casting : très bon ! Mais bon casting ne veut pas dire bon traitement des personnages. Et c’est là où la série se perd : elle introduit beaucoup trop de personnages. Certains sont bien traités, comme l’ancien bluesman Lester Grimes (Ato Essandoh) ou le leader des Nasty Bits Kip Stevens (joué par James Jagger, le fils de Mick). D’autres beaucoup moins, notamment pour les personnages féminins comme la femme de Richie Devon Finestra (Olivia Wilde) ou Jamie Vine (Juno Temple), qui se font éclipser assez rapidement de leur rôle de « femme forte ».

    Malgré ce petit faux pas, Vinyl nous entraîne grâce à une BO parfaite (signée Randall Poster), du générique (Suggar Daddy par Sturgill Simpson) aux dernières secondes de chaque épisode. Des Who à Otis Redding en passant par Lou Reed, la bande originale est un véritable plaisir pour tout fan de musique, que ce soit de rock, de pop, de jazz, de blues. Nostalgie assurée pour les passionnés grâce à la musique, mais aussi avec l’apparition des icônes de ces années-là.

    Vous pouvez trouver cette critique sur La Tribune Citoyenne
    Allez faire un tour sur le site, c'est sympa ;)
    Eselce
    Eselce

    1 283 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 20 janvier 2017
    Soigné pour ce qui est de la déco, des costumes, des accessoires... Il y a de nombreux décors et tout est là pour faire du grandiose mais non... Les groupes écoutés sont rarement bons et quand ils le sont, c'est pour une fraction de secondes, parfois des "bouts" de refrains coupés de manière brutale ! Les dialogues sont chiants, le personnage principal ne vaut rien et il y a une surenchère injustifiée de drogues, clopes, personnages, jurons et de zapping des scènes. Bref, on sature sans accrocher. On ne ressent rien, la série veut tellement en montrer qu'elle ne montre rien et là où on commence à ressentir les bienfaits des tubes des années 70, la musique se coupe et la scène change !. Il n'y a que des claquements de doigts de bonnes choses mais aucune scène digne qui dure plus de 10 secondes là où elles devraient durer au moins quelques minutes ! Je suis juste écœuré du gâchis car le premier épisode a de bons titres, il en pullule mais ils sont massacrés, tous sans exception. Je ne suis pas surpris que la série ait été annulée, elle zappe tout ce qui est bon et s'attarde sur le médiocre dès le premier épisode. Trop peu de bonnes scènes et un personnage principal qu'on n'arrive pas à apprécié. Perso, je l'ai trouvé insupportable et sa colère a déteint sur moi, je n'ai pas du tout aimé la série.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 27 mars 2016
    J'ai vu les 6 premiers épisodes et voilà que je suis en manque
    C'est brut, c'est sauvage, c'est fort, c'est nouveau, c'est génial !!!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 7 mai 2016
    Avec Jagger pour le côté rock et Scorcese pour le côté glauque et mafieux, on pouvait difficilement faire mieux pour cette série "sex and drugs and rock'n' roll " . Cette série est un petit bijou de l'histoire du Rock des seventies , de l'arrivée du Punk, du disco et du Hip Hop. J'en dévoilerai pas plus, mais il s'agit d'un must incontournable pour pour les fans de musique. (La vraie, pas la soupe d'aujourd'hui qui passe à la tv)
    wiix75
    wiix75

    5 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 21 mars 2016
    Une étoile pour l'épisode 1, les belles images et quelques bons passages musicaux. Pour le reste, la série ronronne assez vite et est complètement gâchée par l'acteur principal, Bobby Cannavale, au jeu sans finesse. Autre mauvais point, le son très mauvais (vu en VO, US+24 sur OCS), un comble pour une série sur la musique, on est obligé de jouer sans cesse avec le volume de la télécommande.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 16 février 2016
    La série nous plonge dans les années 70, une époque marginale,rock'n'roll et tous ce qui va avec.Ca raconte surtout la vie de finestra producteur de musique et qui au fil du premier épisode à une descente aux enfer....mais malgré la musique si on aime les années 70 bien sûr,la série ne parvient à faire monter la sauce,je la trouve très bien réaliser avec des bon acteurs mais j'ai eu du mal à accrocher.Je ne pense pas que je continuerai à la regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 30 mars 2016
    superbe série avec un très bon jeux d'acteurs, dès que je fini 1 épisode, il me tarde le suivant, je scotch grave
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 764 abonnés 12 273 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Voici l'histoire marquèe par la perte de neurones! L'autoglorification et l'esbroufe! Mettez un disque, posez le diamant et envoyez le son! Bienvenue chez « American Century » ! Entubage garanti! Pourtant sur le papier, Richie Finestra a rèussi! il a un palace dans le Connecticut, une belle femme et des enfants magnifiques! De toute èvidence, ce patron d'un label new yorkais est plein aux as! Sauf que Richie a perdu de vue pourquoi il a voulu bosser dans la musique! il s'apprête à vendre sa boîte! Se retrouver en coulisses rèveille des èmotions en lui! C'est ce qu'il ressentait et qu'il va abandonner en laissant ça derrière lui [...] Excellemment menè par Bobby Cannavale, "Vinyl" prend place parmi les meilleurs sèries du moment en èchappant aux normes du genre, avec en plus les effets de la cocaïne, de la foule, de cette èlectricitè, avenir du rock and roll! Pour le reste du casting, c'est un sans faute : Olivia Wilde, James Jagger, Annie Parisse...et Juno Temple (sublime) qui sait ce qu'elle veut et comment l'obtenir! Le genre de sèrie où l'on èvacue son agressivitè en frappant un pauvre coussin à coups de raquette de tennis! Dètendez vous et profitez, "Vinyl" n'est qu'une sèrie avec clins d'oeil et anecdotes à la pelle! Mais pas n'importe laquelle puisque les crèateurs se nomment Martin Scorsese & Mick Jagger qui nous gratifient au passage d'une B.O explosive! Sur le plan purement technique, l'èpisode pilote mèrite par contre une mention spèciale tant la mise en scène est virtuose et frènètique! Croisons les doigts pour une èventuelle saison 2...
    Lubiie
    Lubiie

    42 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 14 février 2016
    Un scénario bien construit, une réalisation remarquable (du moins pour le pilote réalisé par Martin Scorcese) et du bon son ! La promesse sexe, drogues et Rock'n'Roll est assurée. Bobby Cannavale propose une performance époustouflante et on s'attache toute de suite à son personnage Richie Finestra. Un plaisir pour les oreilles et pour les yeux.
    cylon86
    cylon86

    2 368 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 17 août 2016
    Après la réussite de "Boardwalk Empire", Terence Winter, Martin Scorsese et HBO lançaient avec "Vinyl" leur nouvelle série, résultat d'un projet de longue date entre Scorsese et Mick Jagger qui rêvaient de faire un film sur New York, le rock et les années 70. Si la série a été lancée en grande pompe avec un pilote de près de deux heures réalisé par Scorsese en personne, la chute est vite arrivée. Des audiences faibles, des différends créatifs ayant précipité le départ de Terence Winter en tant que showrunner, un coût assez élevé et HBO n'aura pas donné le feu vert pour une seconde saison. Un grand gâchis. Car sans être la série de l'année, brassant des thèmes très "scorsesiens" au sein d'un univers familier avec des personnages qui le sont autant, "Vinyl" ne manque pas de qualité. Dès le début, on sent que la même équipe responsable de "Boardwalk Empire" est derrière le projet : la réalisation a de la gueule (le pilote est, forcément, ébouriffant bien que boursouflé), l'écriture est (presque) sans surprises mais archi-bien construite, les acteurs sont en grande forme (reverra-t-on Bobby Cannavale aussi charismatique ?), la bande-son déménage et la reconstitution pullule de détails et d'anecdotes. Difficile de ne pas succomber au charme rock'n'roll de l'ensemble, mêlant le monde de la musique (on y croise Alice Cooper, David Bowie, Elvis Presley ou encore John Lennon), le monde criminel (forcément on y croise des mafieux et un meurtre plutôt brutal arrive dès le premier épisode) et une multitude de thématiques que l'on sait chères à Scorsese. Car le cinéaste a beau être seulement derrière la caméra du pilote, le personnage principal et ses galères rappellent tous les anti-héros scorsesiens que l'on a appris à aimer au fil des ans. C'est vrai, nous sommes ici en terrain connu, rien de bien nouveau dans ce que nous propose "Vinyl". Et alors ? La série prend le temps de construire une histoire solide, s'attarde sur ses personnages (pas tous réussis, on vous l'accorde), soigne son casting (en plus de Cannavale, Ray Romano est très bon, Olivia Wilde et Juno Temple se découvrent toujours avec autant de plaisir) et nous accroche avec son univers trépidant. Réclamer plus de la part d'une série ouvertement vintage serait un outrage, déplorer l'arrêt brutal de celle-ci après une première saison bourrée de promesses est, cependant, largement encouragé.
    brianpatrick
    brianpatrick

    78 abonnés 1 570 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 12 mai 2018
    C'est une très bonne série avec un très bon jeu d'acteurs l'acteur principal est très doué. Il y a une bonne ambiance et une bonne atmosphère. On ne voit jamais l'extérieur. C'est du magnifique low cost, ils causent tout le temps et cela passe. Par contre c'est dommage les chansons n'arrivent jamais au bout.
    dagrey1
    dagrey1

    90 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 22 avril 2016
    "Vinyl" est la toute dernière saison gros calibre pilotée par HBO. Aux commandes Martin Scorcese et Terence Winter qui avaient collaboré avec bonheur sur Boardwalk Empire. En tant que co producteur, Mick Jagger, figure charismatique du rock. Au casting, on retrouve également Bobby Carnavale dans le rôle principal et Juno Temple notamment.

    Sur le papier, tout était réuni pour un gros carton.....

    Le bilan de cette première saison est cependant mitigée.

    Coté points forts, les amateurs de rock devraient s'y retrouver quand même. Au fil des épisodes, on croise des doublures de Led Zeppelin, les New York Dolls, Alice Cooper, David Bowie, Alice Cooper, le velvet underground et Andy Warhol, Elvis Presley ...Tous ces artistes évoluent dans le circuit "drugs et rock'n roll et coups tordus du rock coté maisons de production bien évidemment.

    L'intrigue repose essentiellement sur les difficultés de la maison de production gérée par Richie Finestra en 1973, ce qui m'a semblé un peu longuet sur 10 épisodes d'une heure. Viennent se greffer sur cette intrigue les difficultés conjugales du même Richie Finestra et de sa femme Devon interprétée par Olivia Wilde.
    Personnellement, j'ai trouvé que la fin de saison sauvait "vinyl" d'un naufrage certain, l'irruption du "milieu" dans la vie des protagonistes donnant un peu de saveur à l'ensemble de l'intrigue. De même les rivalités entre les personnages principaux (notamment entre Finestra et l'un de ses associés Zak Yankovich) ont également apporté un peu d'intérêt à une série qui ronronnait doucement.

    Coté points faibles, la série manque clairement de rythme et l'intrigue évolue très lentement.

    La principale curiosité de la série est la présence d'un groupe fictionnel, les Nasty Bits, sorte de précurseur du mouvement punk, pure création sortie de l'imagination des scénaristes.

    Aux dernières nouvelles et en dépit d'un certain succès d'estime, cette création d'HBO constituerait quand même un bide pour la maison de production.
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