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Synopsis & Info
Mathieu Stannis, réalisateur aigri et frustré de films d'action à succès sans âme, est kidnappé par les agents d’une dictature asiatique. Le leader de ce pays est un grand amateur de 7ème art, excédé par la nullité des productions cinématographiques locales, qui va exiger de Mathieu qu'il mette en scène une nouvelle adaptation de King Kong, dont il a personnellement écrit le scénario et qui vise à chanter les louanges de sa patrie.
La 8ème édition du festival Séries Mania, pleine de belles découvertes, s'est achevée hier. L'occasion de faire le bilan...
5 news sur cette série
Critiques Spectateurs
Julien B.
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4 abonnés
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4,0
Publiée le 15 septembre 2017
Une mini-série qui colle au contexte mondiale. Tout en sous-entendu, elle fait mouche à chaque fois. Un peu de comédie, de drame, de tension... C'est superbement fimé et Jonathan Lambert est parfait.
ptitmayo
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14 abonnés
Lire ses 969 critiques
3,0
Publiée le 20 décembre 2017
À la vue du premier épisode, Kim Kong est une série sympathique et divertissante qui n'en fait pas des caisses. Le pitch de départ amusant se déroule sans grandes surprises mais offre de bons moments d'humour spoiler: (le scénario avec King Kong et Trump, le langage coréen, le premier jour désastreux de tournage, l'accumulation de proverbes, le tir de missile raté, l'amusant Commandeur)
et sait rire de tout le monde ...
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SociN
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4 abonnés
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4,0
Publiée le 27 septembre 2017
Une mini série drôle et très bien écrite.
À la critique acerbe d'un régime autocratique (fortement inspiré de la Corée du Nord), se mêle une vraie leçon de cinéma.
Jonathan Lambert révèle tout son talent de comédien et le reste de la distribution (Frédéric Chau en tête) a du bien rire à prendre de faux accents asiatiques.
Le temps passe très vite et on est surpris quand arrive déjà la fin de l'épisode.
drinette23
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4,0
Publiée le 23 septembre 2018
Excellente série mêlant drame et comédie tant au niveau de l'écriture, des dialogues qu'en ce qui concerne le casting.
Pour ceux que le sujet intéresse, je vous suggère de regarder la version long métrage avec le film "Lost in Karastan" interprété par le toujours splendide Matthew MacFadyen.
Jean Marc F.
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Lire ses 4 critiques
2,0
Publiée le 19 septembre 2017
Super coup double pour une « sériette » qui tape dur sur la Corée et la Chine avec l’air de ne pas y toucher ! Presque une propagande dangereuse … espérons que nos amis Chinois et Coréens, sauront apprécier l’arrogance de cet humour « Franco français ». Hormis l’aspect géopolitique du scénario, avec un peu de patience cela se laisse, les acteurs sont attachants et certaines répliques très drôles, pire elles pourraient même devenir cultes.
9 Critiques Spectateurs
Secrets de tournage
Du polar à Kim Kong...
C’est une des particularités des créateurs de Kim Kong. Avant de se lancer dans l’écriture de la série d’Arte, Alexis Le Sec et Simon Jablonka se sont d’abord faits connaître des téléspectateurs français en écrivant essentiellement des séries policières. Le premier est le créateur de Caïn et a travaillé sur Diane, femme flic. Le second a écrit des épisodes d’Engrenages, Flics, Section de recherches ou encore Julie Lescaut.
Une première pour Stephen Cafiero
Réalisateur de Kim Kong, Stephen Cafiero n’avait, avant cela, jamais travaillé sur une série au format 52 minutes avant de diriger la minisérie d’Arte. Il avait cependant réalisé les épisodes de deux autres programmes télé pour OCS : Templeton et Irresponsable. Auparavant, dans le courant des années 2000, il a dirigé un long-métrage pour le cinéma : Les dents de la nuit, avec Patrick Mille et Frédérique Bel au générique.
Jonathan Lambert et la télévision
Interprète de Mathieu Stannis, Jonathan Lambert décroche avec Kim Kong son premier grand rôle dans une série télé. Avant cela, l'humoriste aperçu notamment dans On n’est pas couché a tenu un second rôle dans Peplum, Fais pas ci Fais pas ça et dans Hero Corp. Contrairement à son personnage dans le programme d’Arte, Lambert n’a jamais été réalisateur de films ou de séries… mais il était un des auteurs du programme La grosse émission en 20...
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