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Synopsis & Info
De la veille de l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir le 10 mai 1981 à l’adoption de la loi Taubira sur le mariage promulguée le 18 mai 2013 et votée le 23 avril, Fiertés s'intéresse à une histoire d’amour, et plus largement, la vie d’une famille et des combats menés par les homosexuels autour du Pacs, du mariage et de l’adoption.
Un sujet très bien traité avec un écriture fine et un casting bien choisi. Je recommande ce programme d'utilité publique pour faire changer les mentalités.
Maryane75
13 abonnés
420 critiques
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4,0
Publiée le 7 mai 2018
Philippe Faucon et Niels Rahou ont fait du bon boulot et le sujet est bien traité. En 1981, j''étais dans la manifestation organisée par le CUARH et force est de constater que les choses ont quand même considérablement évoluées, même si la France a toujours 3 ou 4 métros de retard.
Un visiteur
3,5
Publiée le 9 mai 2018
Une série en trois épisodes très soignée. L’intérêt est certes de suivre le combat de Victor contre le rejet et l’homophobie mais plus encore il est passionnant de suivre l’évolution du contexte sociétal liée à l’avancée des droits des personnes de toute orientation sexuelle. Un film nécessaire.
Pierre E.
6 critiques
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4,5
Publiée le 3 juin 2018
Juste ce qu'il faut dans une série à trois assez courts épisodes aborder divers sujets. On montrer régulièrement.
CINETIM
70 abonnés
914 critiques
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3,5
Publiée le 16 novembre 2021
Une mini-série plus tôt pas mal qui nous plonge dans les débuts de la communauté LGBT de la fin des années 70 jusqu'au vote de la loi pour le mariage gay. Très bien réalisé et bien construite, les épisodes se regardent facilement et sont de bonne qualité pour un programme télévisé. On regrettera cependant pas mal de temps mort et des interprètes moins bons en ce qui concerne le personnage principal surtout quand il a était tenu par ...
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13 Critiques Spectateurs
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La réaction des fans
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Fa F
Une mini série de 3 épisodes qui se déroule sur 3 décennies et traite des thématiques de société autour de l'homosexualité mais pas seulement : acceptation et regard des autres, rapports familiaux, revendication et droits, adoption, sida... Une évocation authentique, simple, très concrète, donc utile, parfois au détriment de l'émotion...
Supr4
je sais pas ce que cette personne à dit mais vu que sa simple opinion à provoquer un tel vomis de haine, il devait surement raison.
singeou7
Crever dans son coin, comme tous les autres ?Et que ce soit le cas ou pas, personnellement je n'y crois pas, le film n'appuie jamais cette dite fatalité à agir comme tel (qui est assez horrible). Tout le monde est pour Mitterand, tout le monde est pour le PACS, tout le monde est pour la loi Taubira, tout le monde va à la gay pride, tout le monde va dans les associations comme s'il passait chez l'épicier : à un moment c'est débile.
Henri Mesquida
Mais dans notre vie de gay on ne nous a pas donné le choix que de voir par ce prisme ou crever dans notre coin.
Henri Mesquida
Trois épisodes, trois moments de grande tension : 1981 et la dépénalisation de l’homosexualité après l’élection de François Mitterrand, 1999 et le passage de la loi sur le pacs, 2013 et l’adoption de la loi sur le mariage pour tous. Mais contrairement à ce que le titre pourrait laisser attendre de tonitruant, Philippe Faucon l’a fait à sa manière, en s’attachant à l’intime, laissant s’épanouir ses personnages en enregistrant les plus fines modulations de leurs désirs, leurs prises de conscience, leur manière d’assumer (ou non) ce qu’ils sont et veulent au quotidien, plus qu’en composant une grande fresque du militantisme politique.Exemplarité.Si le cadre de Fiertés est bien celui de la lutte pour l’égalité des droits, la série est avant tout l’histoire d’un homme et d’une famille où cette lutte a résonné de manière emblématique. Le regard rétrospectif rappelle le chemin parcouru (et l’on partait de loin, Fiertés le rappelle), et la réduction des problématiques à l’essentiel (comment ai-je envie de vivre ? comment transmettre, poursuivre une filiation ?) souligne que l’on s’intéresse ici à des droits évidents et essentiels.Sur une idée des scénaristes José Caltagirone et Niels Rahou, qui ont coécrit avec Philippe Faucon sur la base d’un synopsis de douze pages, l’intrigue s’attache à trois âges de la vie de Victor, que l’on rencontre à 17 ans et que l’on suivra dans l’affirmation de son identité, sa relation amoureuse avec un homme plus âgé, puis ses démarches pour adopter un enfant et l’élever. Un parcours qui n’a volontairement rien d’édifiant, jalonné de doutes, d’hésitations quant à son degré d’implication dans les luttes collectives.Victor est joué à 17 ans par Benjamin Voisin, à vif et hérissé d’intelligence, et par Samuel Theis (Party Girl), avec une grande finesse, dans les deux épisodes suivants - son partenaire (Serge) empruntant les traits de l’homme de théâtre Stanislas Nordey. Si Philippe Faucon a su, par le passé, composer des portraits de femmes d’une incroyable densité, l’univers de Fiertés est davantage masculin.Pour que ce parcours individuel atteigne la valeur d’exemplarité à laquelle la série aspire, chaque épisode est divisé en une série de moments précis, dont les dates s’affichent à l’écran, et qui sont autant de micro-événements à même d’avoir jalonné la vie d’un homme homosexuel durant les quelque trente-cinq dernières années en France. Premiers émois, coming out très mal vécu par les siens (notamment par un père plus à l’aise dans son rôle de chef de chantier éclairé, incitant ses employés à voter Mitterrand), découverte de l’amour, du militantisme, du sida, parcours du combattant du candidat gay à l’adoption… Et persistance des préjugés, le déferlement de haine à quoi s’est résumée la Manif pour tous ne déboulant pas de nulle part mais d’une aversion tenace qui s’était manifestée lors de conquêtes précédentes.Légèreté.Listées ainsi, ces étapes pourraient avoir quelque chose de mécanique. Mais un faisceau d’éléments leur permet au contraire de s’incarner de plus en plus profondément, créant un attachement dont la vigueur se perçoit par la hâte que l’on a de retrouver Victor, Serge et leur entourage d’épisode en épisode. La première raison en est l’extraordinaire direction d’acteurs, qui leste chaque geste, chaque coup d’œil attrapé au vol, chaque échange d’un surcroît de signification. Par exemple, l’entretien d’habilitation à l’adoption qui, sans avoir rien de caricatural, chaque partie étant dans son rôle défendable, n’en est pas moins une petite danse de non-dits réciproques, exécutée au pied du mur, disant sobrement toute l’impasse où se débat le demandeur homosexuel. Il faut reconnaître que Philippe Faucon s’est particulièrement bien entouré : en plus des déjà cités Nordey, Voisin et Theis, on compte aussi au casting Chiara Mastroianni, Jérémie Elkaïm, Frédéric Pierrot, Nicolas Cazalé ou encore Rebecca Marder, tous observés dans leur rôle avec cette sobre absence de jugement qui caractérise Faucon.La deuxième raison de notre attachement tient sans doute à l’utilisation habile de l’ellipse qui, tout en permettant de brosser un temps long sur une durée brève, apporte aussi de la légèreté, une part d’implicite à un ensemble qui, sinon, serait menacé par la capacité de tous les personnages à exprimer si clairement et posément ce qu’ils ressentent et désirent, qu’ils soient pétris de contradictions d’un autre âge (le père de Victor, dans le premier épisode) ou au contraire admirables de compréhension et de courage politique (Serge, qui semble n’avoir jamais le moindre mouvement d’humeur). Avec pour résultat que l’on croit à tout ce qu’ils sont, que l’on absorbe les chocs qu’ils rencontrent avec une proximité d’autant plus sincère que rien n’a été mis en place pour exiger notre empathie (libération)
singeou7
Ça a quand même eu la Palme d'Or La Vie d'Adèle, c'est pas si clandestin que ça. Pareil pour 120 battements par minutes dans une moindre mesure j'oserai dire. Bon alors pourquoi monsieur Faucon vous nous faites un truc avec pas moins de cinq années de retard ? Et qu'en plus d'être en retard , votre truc c'est pas bon : c'est baveux. Que vous ayez des opinions je m'en fiche mais là c'est grossier et tenter de faire culpabiliser et de désigner votre spectateur comme responsable de quoi que ce soit, j'ai envie de vous rire au nez. Donnez des arguments et faites les vivre cinématographiquement plutôt que les dire, j'ai pas envie de lire un tract avec vos conclusions et revendications... Du vu et revu, bienvenu sur l'autoroute et le cahier des charges de la fiction gaie (avec comme par hasard la caméra qui tourne quand ces situations arrivent), vos personnages n'en existent pas et il ne leur arrive rien. Il y a une différence entre voir les choses à travers un prisme et penser toutes les deux secondes au coming-out, à l'interdiction du mariage et de l'adoption, à l'homophobie. Les combats au sein de la communauté homosexuelle ne sont pas les mêmes et ne devraient pas l'être.
elriad
la dignité a déserté le 7e art, tu appelles ça s'exprimer le plus simplement du monde ? heu...... comment dire....
elriad
salut frustré, va déverser ta bile vomitive ailleurs, elle pollue ce site...
Charlie Pi
Ce sont plutôt tes paroles qui te déshonorent
Narlak
Je regarde beaucoup de séries et film dont certains avec pour acteur principaux des homosexuels, comme here and now par exemple et ça ne m'empêche pas d’apprécier l’œuvre. Ici en regardant le synopsis et le trailer, j'ai eut une sensation de gêne , et je l'ai exprimé le plus simplement du monde, on est encore sensé être dans un pays libre.. Maintenant appeler à l'homophobie c'est facile et puéril , mais c'est la mode en ce moment on jette des épouvantails pour clore le dialogue : homophobe antisémite raciste , sexiste.
Goldenclaw_
La dignité a surtout déserté ta personne. Tes propos homophobes te rabaissent.
Narlak
Le mariage pour tous présenté comme une victoire épique, avec en tête d'affiches des petits garçons qui s'embrassent.. La dignité à déserté le 7e art et j'ai l'impression que ce n'est que le début..