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    Blanche
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    69 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Pourquoi ne peut-on pas noter zéro étoiles, car c'est assuremment la seule note que mérité ce film qui se moque des gens qui ont payé leur place... et ils ont osé l'éditer en DVD.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 101 abonnés 4 223 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2017
    Blanche c’est un film qui interpelle car on se demande comment avec un tel casting on peut avoir une telle catastrophe critique. Et finalement, quand on voit le carnage, on comprend mieux !
    Je ne sais pas ce qui est passé par la tête de Bonvoisin, mais ce métrage est consternant. L’histoire d’abord tient du n’importe quoi absolu. Piquant au western, au film de cape et d’épée, mâtinant son film de langage banlieusard, introduisant un anticléricalisme et une lourde caricature des puissants, je ne cite que ce qui me vient à l’esprit car on assiste véritablement à un gloubi-boulga foireux. Malgré la nervosité apparente le rythme est mou du genou, simplement car il n’y a pas réellement d’histoire, le film n’étant qu’une succession de séquences disparates à la relation plus d’une fois discutable. La fameuse poudre rouge par exemple dont on nous parle au début, curieusement elle disparait en cours de route, et Bonvoisin ne maitrise rien dans son propos. On dirait qu’il filme ce qui lui passe par la tête, nous assenant notamment les entractes « José Garcia » qui sont totalement inutiles à l’intrigue. C’est juste histoire de se faire plaisir en nous montrant des homos avec des perruques roses, José Garcia jouant du clavecin comme une patate devant des femmes conquises, bref, ce genre de chose !
    Consternant par le jmen’foutisme brouillon de son propos, Blanche est consternant par la débilité de ses acteurs ! Je dis pas qu’ils sont toujours mauvais, mais ici, dotés de personnages pathétiques, c’est la misère générale. Lou Doillon est particulièrement dans la dèche. La pauvre ! Déclamant son texte comme si elle se croyait dans une tragédie grecque, elle surjoue à mort et on a continuellement envie de lui mettre des claques tellement elle confond la rage qui l’anime et le cabotinage capricieux comme si on lui refusait un bonbon ! A ses côtés on va dire que Bouquet, Rochefort, Garcia ou De Caunes semblent s’amuser, mais soyons clair, entre l’inutilité de leurs personnages (Garcia, Depardieu), leurs dialogues ou les situations affligeantes dans lesquelles ils se trouvent (Rochefort et surtout Bouquet), ils paraissent outrageusement ridicules. Ils forcent même le trait, et franchement je ne sais pas si c’était judicieux. C’était déjà assez lourd comme ça ! Reste Roschdy Zem, qui comme souvent et le seul à surnager dans le carnage. Il reste assez sérieux et est presque crédible, mais n’apparait pas beaucoup, et soyons juste, c’est lui aussi qui a les scènes les moins grotesques !
    Quant à la forme, si les décors pouvaient faire illusions, Bonvoisin ruine tout sous une mise en scène pataude et pleine d’effets de style débilitants. C’est brouillon, sans souffle, et ça cherche à exister avec du racolage facile trop mal utilisé. Je ne parle même pas de la bouillie photographique, ni encore de cette musique ridicule dont le film est continuellement baigné. Principalement il s’agit d’une sorte de musique western avec de l’harmonica, mais ça c’est lorsqu’on a de la chance en fait !
    Clairement ce Blanche est un exercice de style de la part de Bonvoisin, qui cherche à échapper au film de cape et d’épée classique. Ben quand on voit le résultat, que j’assimile dans un autre genre au carnage de Donjons et Dragons, on peut se dire qu’il vaut mieux encore faire académique, mais faire digeste. 0.5
    Estonius
    Estonius

    2 533 abonnés 5 244 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 décembre 2012
    Un film de Bernie Bonvoisin (2002) avec Lou Doillon (insupportable), José Garcia, Jean Rochefort, Carole Bouquet. Une nullité à peine croyable. Tout est mauvais : les acteurs, les dialogues, la mise en scène, le montage, il n'y a rien à sauver, rien, rien du tout !
    Gigli
    Gigli

    24 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mars 2009
    Surement la pire chose filmée de l'histoire de l'univers, Blanche a définitivement grillé Bonvoisin du monde du cinéma aussi vite qu'il y est apparu. Et en voyant la bête on comprend comment cela est possible. En dépit de toute forme de respect narratif, les acteurs vont et viennent sans raisons apparentes (mention spéciale à Depardieu) au milieu d'un maelström de non-sens et de mauvais goût probablement dut à la cocaïnomanie du réalisateur et à ses mauvais souvenirs de cours d'histoires à l'école primaire. Alternant sans complaisance les scènes de mauvais gout avec les scènes de non-goût et les scènes de très mauvais goût (dans l'ordre : la pendaison de Dominique Besneard, toute les scènes de combat et toutes les scènes avec José Garcia), Bonvoisin a, semble-t-il, lancé un concours sur le tournage intitulé "Le cabotin de l'année". J'ignore exactement quel fût le premier prix mais c'était probablement une chose que Jean Rochefort et Carole Bouquet désiraient par dessus tout. Antoine de Caunes et Lou Doillon par contre étaient disqualifiés d'office des suite d'un jeu d'acteur proche d'une amibe qui discuterait avec une huitre morte. L'intrigue maintenant, il s'agit donc d'une fille tellement énervante qu'aucun adjectif qualificatif ne saurait la décrire, enamourée d'un Roshdy Zem tout en cuir, suivant des péripéties absconses qui mélangent pelle-mêle la fronde, l'esclavage, Louis XIV, la cocaïne, les identité cachées, le langage banlieusard de 1960, la sodomie, la traite des blanches, les sectes (?) et plein d'autre trucs qui vont pas ensemble. Blanche perd rapidement l'attention du spectateur qui ne se réveille que pour voir avec horreur ce machin s'enfoncer encore plus dans la fange de la nullité. Jusqu'au final, climax de la bêtise, le combat de la justice contre le mal : Lou Doillon Vs Jean Rochefort (putain ça en jette) et une conclusion tellement naze que je ne pourrais la décrire correctement même avec 10 000 mots. "Blanche ! Blanche ! Quel film à la con !"
    landofshit0
    landofshit0

    253 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2012
    Vouloir a tout prix de l'originalité de ton n'est pas une chose qu'il faut faire en forcement son écriture.Et ici tout est lamentablement écrit et mis en scène.Si le ridicule ne tue pas il peut stopper net une carrière.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 février 2007
    J'ai nettement préféré le .... "making of", tiens !
    D'accord : Jean Rochefort en "cardinal diabolique" (Récemment, chez Michel Drucker, Rochefort a dit que c'est cela qui l'avait attiré : jouer un cardinal, mais en pastiche, en carricature), Carole Bouquet (surtout elle, si lisse, si polissée : quel changement, très gai, à regarder) en "reine-pute-camée-vulgaire", José Garcia, expérimenté dans ces rôles, en "roi .... du bâtiment", tous déjantés, cela se regarde en passant (DVD) de l'une de leur scène à la suivante, en évitant soigneusement Lou ... comment ? Ah oui : Doilon ? à qui je demanderais bien de me rembourser, en "dommages et intérêts", la location du DVD. Comme beaucoups, paraît-il, je me suis laissé tenter par la bande annonce, très trompeuse.
    Au moment de gaspiller de la pellicule et du temps pour tourner "ça", tout le reste de la profession était en grève, ou quoi ? Pour que de tels excellents acteurs confirmés (Rochefort, Bouquet, Garcia : stop !) aillent se fourvoyer dans ce "machin" !
    Heureusement que lors de la sortie du film, je n'ai pas eu le temps d'aller le voir en salle : ouf ! Je l'ai regardé aujourd'hui parce que la météo était mauvaise.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 février 2014
    Mais enfin Bernie, Qu'est ce que t'as fait là ????? C'est indigne de toi !!!
    Cette Lou Doillon est exécrable, innommable, insupportable à déclamer son texte monocorde..... ! Pourquoi ne pas avoir donner le premier rôle à Bénédicte Loyen? Elle est mille fois plus talentueuse et 100.000 fois plus jolie.....!! Rien à retirer de cette bouffonnerie grotesque, sinon peut-être la bougie plantée dans notre fondement pour les quelques euros dilapidés pour voir ce guano putride......
    bsalvert
    bsalvert

    329 abonnés 3 471 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mai 2011
    Je suis allé le voir volontairement, ayant trouvé les deux premiers films de Bernie Bonvoisin excellents. Mais là, franchement, j'y réfléchirai à deux fois s'il arrive à en sortir un nouveau. Malgré d'excellents acteurs, les dialogues gâchent le film.
    Peichan2
    Peichan2

    50 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2011
    Un film historique raté. C'est même pas divertissant. Je cherche ce genre de film avec une héroine qui serait mieux que celui là mais en fait j'en voit pas un qui rattrape l'autre lol
    Carne
    Carne

    71 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Déjanté... Mais malheureusement trop hystérique.
    Dommage !!!
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 474 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2020
    J'ai regardé Blanche il y a quelques jours et il est difficile d'oublier ce film mais pour des mauvaises raisons. Ce film est censé être drôle ce n'est pas mais il n'y a pas un seul rire dans le film (peut-être pour José Garcia et Gérard Depardieu) et c'est ennuyeux mais ennuyeux. Il était même parfois difficile de comprendre ce qu'ils disaient. Ils parlent juste vite et n'ouvrent pas assez la bouche pour que nous comprenions. Je déteste dire cela étant donné que je pense que de bons films sont faits France. C'est mauvais pour les cinéphiles qui peuvent être perplexes et choqués en regardant de bons acteurs tels que Decaune, Zem ou Rochefort se débattre au milieu de cette farce burlesque criarde et kitch. Un film qui ne mérite malheureusement même pas une étoile...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juillet 2010
    Bernie Bonvoisin s’essaye au cinéma en cape et d’épées plongé dans une aventure au XVIIe siècle dans laquelle Blanche de Perrone va s’opposer à un Mazarin qui trempe dans un étrange trafic de poudre du diable avec le Vatican. Le décors est planté dans un monde où «la peine d’exister était si grande que la peine de punir était impitoyable», la comédie aventureuse égaye par ses sournoiseries et son aspect presque ubuesque où la couardise n’a pas lieu d’être et la fanfaronnade y est de mise pour pétiller de surprises. Dans une distribution hors pair où même Depardieu vient faire le d’Artagnan le temps d’une bagarre à la joute oratoire, certes moins élaborée que dans Cyrano de Bergerac, aux vulgarités incomparables dont on sait depuis que l’histoire en était pleine ; Bonvoisin se paye une tranche récréative dans un roman d’aventure quelque peu surréaliste. De l’auberge «Tracetarace» à la milice rapprochée de Mazarin – Jean Rochefort le joue, comme à l’accoutumée, dans une irréprochable vérité – chapeautée par un dénommé KKK, Antoine de Caunes pour le rôle au look de samouraï parachuté à la cour du roi ; l’histoire tient suffisamment en haleine par une ingénieuse succession des situations plus surprenantes les unes que les autres. Cape et d’épées, et de coups de boule faudrait-il rajouter, Sir !
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    255 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    En France, on compte un nombre impressionnant de comédies qui se ressemblent. Dans celles-ci, il y a les comédies d’action, un peu moins nombreuses. Et puis il y a Blanche de Bernie Bonvoisin.

    Blanche est un western de cape et d’épée à l’humour potache et noir constant, tourné par le chanteur du groupe Trust, qui y trouve un écrin parfait pour enchaîner les séquences toutes droit sorties de son esprit déjanté. Ainsi, on peut y voir Jean Rochefort faire des blagues sur les érections et les préférences sexuelles d’Antoine de Caunes, Marc Lavoine sniffer de la poudre rouge comme de la coke et une kyrielle d’acteurs venus rigoler un bon coup, comme Carole Bouquet, Roschdy Zem ou même Gérard Depardieu. Blanche est parfois furieusement drôle, jamais ennuyeux et constamment inventif. Malheureusement, tout n’est pas toujours très fin et près de deux heures avec des plans aussi peu travaillés, parfois d’une laideur infâme une musique aussi pénible et un amateurisme parfois criant, cela tourne très vite à vide. Clairement, la mise en scène de Bernie Bonvoisin est à mettre en cause, ne pouvant pas rendre hommage à son écriture, qui, elle, aurait pu tenir la route si elle avait été tronquée d’un petit quart d’heure.

    Blanche est très dur à juger, car si c’est un film particulièrement original, c’est aussi un vrai film loupé et Lou Doillon¸ aussi catastrophique qu’elle soit, ne peut être imputée de tous les défauts du film.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    92 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2019
    Depardieu aura fait son lot d’expérimental : il n’a pas un grand rôle ici mais on est dans le même genre de film épico-historique déjanté que Vidocq. Et comme Vidocq, c’est un film mal-aimé que j’ai envie de défendre. Pas pour les dialogues, même s’ils tiennent de ces textes intraduisibles dont la valeur s’adresse avant tout aux francophones, mais plutôt parce que Bernie Bonvoisin fait honneur à son nom bilingue de rockeur (presque aussi délirant que Bernie Laplante) en américanisant la France de Mazarin autant qu’il peut : musique dzoing dzoing de western, portes battantes de saloon et manières de cowboys seront les valeurs de ces bourgeois libidineux et paysans révoltés qui gouaillent dans la langue d’aujourd’hui.

    C’est donc un paysage hard rock et anachronique qui s’étend devant nous. Comme je me fais l’avocat du diable, je préfère placer ma concession tout de suite : Bonvoisin tente de reproduire son univers musical au septième art, et s’il est assez inspiré dans le traitement absurde et décalé qu’il en offre, il ne donne pas une seule seconde l’impression d’être à sa place. Les dialogues, d’abord étonnants, se révèlent répétitifs et fragiles sur le long cours. La critique sociétale est téléportée du temps du Roi-Soleil comme s’il voulait réécrire l’Histoire en fonction de ses vues actuelles. Enfin, l’histoire avec un petit h ne sait pas choisir entre des inserts humoristiques (et pas si mauvais) et une continuité pimpante qui, au final, brillera par son absence.

    Ceci étant, Bernard Goodneighbour crée un surréalisme qu’il n’a pas pu tirer seulement de son bagage musical, et rien que cela lui donne une bonne légitimité derrière la caméra. Caméra qui d’ailleurs semble dotée d’une personnalité, car elle s’accorde toujours avec le ton du discours : violente, nerveuse, curieuse, bref : elle n’est pas considérée comme un simple outil et ses propres mouvements jouent un rôle. Pour le reste, il doit beaucoup à un casting puissant qu’il était visiblement incapable de diriger mais qui délivre ses lignes avec le mélange de grande pompe et de hargne qui va parfaitement avec le mood parodique. José Garcia en Louis XIV maniéré, aussi encanaillé que le César de Serrault chez Jean Yanne, rivalise en cultissimité avec le Mazarin jurant et blasphémant de Rochefort.

    Le film de Boivoisin a surpris, je crois, parce que personne ne s’attendait à ce genre de résultat et qu’il est difficile d’accepter qu’une œuvre si objectivement médiocre arrive aux portes du film culte. Mais quant à le basher, il y a quand même un pas. Je vois des circonstances atténuantes dans quelques réussites qui compensent l’acinématographie, et l’effet de surprise ne s’allie pas mal avec une attitude régicide (du régisseur, donc) certes déplacée mais pas totalement ignorante.

    → https://septiemeartetdemi.com
    Roub E.
    Roub E.

    747 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 février 2016
    C est franchement loupé. Le côté anachronisme et la volonté de dépoussiérer les films de capes et d épées aurait pu être amusant, seulement comme c est mal fait c est tout L inverse qui se produit. Les duels à L épée mal filmé ressemble au sketch "Thierry la France" des inconnus. Seul Jean Rochefort arrive à être amusant avec des dialogues bien décalés pour un cardinal Mazarin trash ainsi que Carole Bouquet en reine. Pour le reste c est franchement décevant de la part de Bernie Bonvoisin bien plus en verve dans les Demons de Jésus.
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