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    King of California
    Note moyenne
    2,5
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    119 critiques spectateurs

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    Gregg S.
    Gregg S.

    15 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2022
    Un beau portrait de famille décalé avec un Mickael Douglas au top de sa forme dans le rôle d'un père maboule. Cette comédie sans prétention est simple, touchante, et particulièrement réussie.
    bug bunny
    bug bunny

    39 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 février 2021
    Un film moyen dans l ensemble et j ai pas adhéré ah ceux concept d histoire franchement je me suis ennuyer
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2016
    De l'éminemment poétique dans un registre américain moderne très classique. Finalement, ce film a une recette très simple mais particulière : elle associe les très lumineuses images californiennes (au sens propre), ce qui va dans le sens des idées reçues occidentales pour ne pas prendre le spectateur à rebrousse-poil, avec un jeu d'acteur simple pour un personnage frappadingue. Rien de compliqué, il suffit ensuite de placer des flash-backs clairs et pertinents pour ajouter le piment d'une nostalgie sans profondeur mais que le spectateur conçoit sans avoir le repère du temps passé à part les rares et courts flash-backs puissants de sens qui y font allusion. Le client satisfait n'a plus qu'à se faire arracher le coeur par la fin du film, tandis que le sceptique, celui qui a eu l'impression de se faire berner par un scénario tortueux et sans débouché, la considérera avec l'indulgence de celui qui reconnait de vraies émotions de l'autre côté de la caméra, et pas seulement un sentimentalisme bêta.
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2015
    Une gentille petite fable avec un Michael Douglas dans un registre qu'on lui connait peu : la comédie.
    Les personnages sont touchant, le père devant se débrouiller avec sa maladie, est constamment sur la brèche entre réalité et fantasme et sa fille essaye de ne pas le braquer en l'accompagnant dans son délire.
    Au final un bon moment à passer en famille devant ce conte moderne
    Shephard69
    Shephard69

    279 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    A défaut d'être une comédie inoubliable, une fable pleine de poésie entre délires d'un vieux fou et une réflexion sur le sens de la vie. Quelques scènes assez sympas, des temps moins palpitants, des idées sans issue mais ce qui vaut le détour dans ce film c'est la prestation exceptionnelle de Michael Douglas, juste parfait dans son rôle. Frais, divertissant mais un peu léger.
    Alexandre N.
    Alexandre N.

    42 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Film déjanté, pas sérieux du tout, avec un Michael Douglas en contre-emploi complet. Mais une belle histoire d'amour entre un père et sa fille, et une vraie sensibilité qui se dégage de ce long métrage aux allures burlesques dans les faits, mais finalement très réaliste du point de vue humain.
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2015
    "King of California" est une comédie gentillette sans prétention aucune. Le divertissement n’est pas exceptionnel, aussi je vais coller parfaitement à sa moyenne actuelle qui est de 2,5/5. Ici est traité le sujet du maniaco-dépressif qui sort de l’hôpital psychiatrique, avec une idée bien en tête. Michael Douglas y est excellent dans la peau de ce personnage, et brille de talent avec ces petits moments de regards d’halluciné complet. Le scénario tient relativement bien le suspense quant à la tournure des événements, mais il est gâché par beaucoup trop de raccourcis faciles, alors que de subtiles contradictions ont été mises en place spoiler: comme quoi Charlie était soigné pour arrêter de réfléchir avant que sa fille ne lui reproche de ne jamais réfléchir…
    Personnellement, j’ai eu l’impression que des scènes manquaient, plus ou moins déjà agacé par une musique aussi déjantée que le personnage principal. Outre la performance de Michael Douglas, il n’y a donc pas grand-chose à retenir de ces 90 minutes, pas même la comédienne Evan Rachel Wood qui manque cruellement de charisme, mais dont la relative maturité colle bien au personnage qu’elle incarne, âgé de bientôt 17 ans. Sur un scénario relativement original spoiler: avec cette chasse au trésor qui finit sous un grand magasin de bricolage
    , je mets une option spéciale sur cet immense acteur qu’est Michael Douglas, et une toute petite sur la photographie qui offre parfois des clichés intéressants, qu’ils soient cocasses ou empreints de bienveillance.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2014
    Il y a l’océan infini. Il y a le vent qui souffle. Il y a l’immensité du ciel bleu. Il y a le bruit des vagues qui s’écrasent en rouleaux sur le sable blanc. Et quand on se retourne, on n’a derrière soi que le désert de Mojave. Cette sensation d’être au bout de la route. Au bout de toutes les routes.
    Que ressentit le premier explorateur qui foula les rivages inconnus de la Californie? Que pensa ce conquistador lorsqu’il se trouva confronté à l’ultime finisterre ? Eut-il la prescience de ce qui était vraiment en train de se passer ? Eut-il l’idée qu’au moment même où ses pieds alourdis s’enfonceraient en titubant dans l’eau du Pacifique, s’arrêterait la marche éternelle des Européens vers l’Ouest ? Eut-il l’intuition qu’il était en train de mettre un point final à la quête de l’homme blanc ?
    Car c’est peut-être à cet instant, cet instant où l’Occident s’achève, que l’histoire du monde se termine.

    Mais bien sûr, il y a une histoire après l’histoire. Même en Californie.

    En 2007 sortait, dans l'anonymat le plus complet, un film intitulé King of California, avec Michael Douglas et Evan Rachel Wood. Enfant mort-né, il sortit des salles obscures aussi discrètement qu’il y était entré.
    Ce film relate l’histoire de Charlie, sorti de l’asile psychiatrique après deux ans d’internement, et qui retrouve sa fille de dix-sept ans, Miranda, qui habite toujours, seule, au domicile familial. Charlie a une nouvelle idée fixe. Il est persuadé, après avoir compulsé à l’hôpital le journal du père Torrès, un religieux et explorateur espagnol dont l’expédition fut entièrement massacrée par les Indiens vers le milieu du dix-septième siècle, que ces pages contiennent des messages codés menant à un trésor constitué de doublons d’or espagnols, que Torrès aurait caché, quelque part en Californie, avant de se faire tuer.
    Après une vie entière ponctuée par toutes sortes de projets aussi farfelus que désastreux, l’ancien soixante-huitard qu’est Charlie, grand enfant perdu dans ses chimères, est cette fois persuadé que ses rêves vont enfin l’amener quelque part. D’abord confronté à l’agacement et à l’incrédulité de sa fille, qui endosse paradoxalement le rôle de l’adulte responsable du duo, il va finalement la décider à l'aider dans ses recherches, à travers une Californie dévastée par les autoroutes, les constructions immobilières anarchiques et les centres commerciaux.

    Qui est le scénariste et réalisateur Mike Cahill, dont c’est là le premier et – à ce jour- le dernier film ? Personne ne le sait exactement : un écrivain obscur qui a tellement d’homonymes qu’il est très difficile de retrouver sa trace sur le Net (un autre réalisateur, appelé également Mike Cahill, et beaucoup plus jeune, sévit également, et avec plus de bonheur, à Hollywood).
    A partir du même sujet, Cahill aurait surement pu faire un film « philosophique », un film « intellectuel », car lui-même est, assurément, un intellectuel. Il aurait pu commettre un film glauque et prétentieux, assuré d’être sélectionné au festival de Cannes. Il aurait pu aussi réaliser, au contraire, une petite comédie sans prétention, et la critique, se livrant à une lecture totalement superficielle de l’œuvre, l’a finalement jugée comme telle.

    Ni film précieux pour lettrés et bobos, ni fable philosophique (bien que cela soit sans doute le terme le moins impropre pour désigner cette oeuvre), ni « petite comédie », King of California ne peut même pas être classé dans les inclassables. Car il faudrait pour cela qu’il dégage une impression de bizarrerie, de distorsion, d’anormalité.
    film sur la filiation impossible entre un père autiste replié dans ses obsessions et sa fille désenchantée dont les rêves se limitent à l’acquisition d’un lave-vaisselle, film sur un présent gris et laid où les hommes trop nombreux ont tout envahi et tout souillé, et en même temps film léger, mystique, habité, visuellement extraordinaire (que de détails !), King of California est aussi une ode à la beauté, à l’imaginaire, à l’aventure, au monde tel qu’il fut, et à l’amour non-dit entre un père et sa fille, cet amour qui semble baigner cet univers atroce d’une lumière divine ; de la même façon que le fantôme de l’Amérique du Nord précolombienne, par le truchement des extraits du journal du père Torrès qui accompagnent le récit, semble illuminer ce paysage cauchemardesque d'autoroutes, de grandes surfaces, de chaînes de restaurants et de lotissements en construction.

    Même si l’expression a été tant de fois galvaudée, King of California est un vrai, un authentique OVNI. Une chasse au trésor au coin de la rue, une rébellion contre le monde moderne, une odyssée transcendée par la foi et par l’amour. Et, accessoirement, peut-être le plus grand rôle de Michael Douglas.

    Et ce trésor, dont Charlie, avec cette sorte de conviction et de détermination démente qui le caractérise, pense finalement déterminer l’emplacement exact au beau milieu d’un magasin de bricolage, sous une couche de plusieurs mètres de béton, s’avèrera peut-être une métaphore du destin du film de Michael Cahill. Du moins faut-il l’espérer.

    Qui ramènera King of California de l’Avallon des films morts avant d’avoir vécu ?
    Nicolas V
    Nicolas V

    64 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2014
    le film repose sur ses personnages, mais le probleme est qu'ils ne sont pas assez développés. le resultat est un ennui qui commence des les premieres minutes malgrè la presence de michael douglas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 février 2014
    Tendre et émouvant, "King Of California" est une petite perle colorée. Dans la veine de "Garden State" et autre "Sideways", la qualité du récit doit beaucoup à ses situations improbables et ses personnages attachants.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 janvier 2014
    Énième comédie pseudo dramatique revisitée par un réalisateur totalement inconnu, Michael Douglas est de la partie, spécialisé depuis quelques années dans les films sans prétention mais sans grand intérêt non plus. Un père catastrophe transporte sa fille, embourbée dans un quotidien palpitant à McDo, dans une folle chasse au trésor. On sent les bonnes intentions, qu'elles soient du réalisateur, des comédiens ou même de la production à construire quelque chose de familial et bonne enfant à regarder le soir après le dîner pour s'échapper aux tâches journalières, cependant l'effet ne fait pas totalement mouche. Le scénario bien que drolatique est somme toute très classique et rien ne vient nous titiller la rétine, malgré les efforts fournis par Douglas et Rachel Wood.
    Un film sympathique, très conventionnel, n'espérez rien de mirobolant, ça se regarde.
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2013
    Ce film est génial ! On se demande un long moment où ça va nous mener et le résultat est franchement bien. C'est original, c'est joli, un peu poétique et déjanté, divertissant mais pas que. Michael Douglas est super dans ce genre de rôle, c'est là-dedans que je le préfère en tout cas, il se fait plaisir et le partage ! La bande son est parfaite également.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    220 abonnés 1 596 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2013
    On n'avait jamais vu Michael Douglas dans un tel rôle. Il est très étonnant avec sa barbe et son petit vélo dans la tête. L'histoire est sympathique et attachante, gentiment dingo, avec une pointe d'émotion à la fin. Bref, un joli petit film indépendant, inégal mais original.
    SociN
    SociN

    8 abonnés 530 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2012
    Une bonne comédie, surprenante, avec Mickaël Douglas dans un rôle à contre emploi. C'est également l'occasion de retrouver Evan Rachel Wood.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    156 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2012
    divertissant à défaut d'être drôle, Michael Douglas n'est pas dans son meilleur registre !!!!
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