Mon compte
    Tout est pardonné
    Note moyenne
    2,6
    294 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Tout est pardonné ?

    61 critiques spectateurs

    5
    14 critiques
    4
    8 critiques
    3
    3 critiques
    2
    19 critiques
    1
    10 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 730 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2022
    Une chronique touchante et lumineuse sur la réconciliation entre un père et sa fille, portée par une interprétation pleine de justesse.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 283 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2021
    L’action de "Tout est pardonné" se déroule en trois parties différentes dans le temps et dans l’espace. Elle commence à Vienne où on découvre Victor (Paul Blain), Annette (Marie-Christine Friedrich) sa compagne autrichienne et Pamela leur petite fille de six ans. Ils forment une famille en apparence unie mais dont le bonheur semble menacé par d’insidieuses failles. Victor en effet est hanté par ses démons intérieurs. De retour à Paris, la famille éclate. Victor qui n’arrive pas à décrocher de la drogue abandonne le domicile conjugal, vit un temps avec une junkie, ne laissant à Annette d’autre alternative que la fuite avec sa fille.
    Onze ans passent. Pamela devient une gracile lycéenne. Grâce à Martine (Carole Franck), la sœur de Victor, elle retrouve son père et essaie de rattraper avec lui les années perdues.

    À vingt-six ans à peine, Mia Hansen-Løve signait en 2007 avec "Tout est pardonné" son premier film. Présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, il emporta le prix Louis-Delluc – ex aequo avec "La Naissance des pieuvres" de Cécile Sciamma, une réalisatrice elle aussi promise à un bel avenir. Pas moins de sept autres films allaient lui succéder dans les années suivantes, les deux derniers attendant encore leur sortie en salles. Sur la lente reconstruction d’une quinquagénaire abandonnée par son époux, j’ai vu "L’Avenir" début 2016 – et ai cru y reconnaître la même colline creusoise qu’on voit à la fin de "Tout est pardonné" – qui ne m’avait pas emballé par la faute de Isabelle Huppert dont vous savez, lecteur fidèle, l’épidermique antipathie qu’elle me cause. Sur la toute aussi lente reconstruction d’un photographe enlevé en Syrie, j’ai vu "Maya" début 2019 qui m’avait déjà plus convaincu.

    Découvrir, treize ans après sa sortie, le premier film de cette réalisatrice éclaire son œuvre d’un jour nouveau. On en comprend l’intelligence, la délicatesse. On est aussi bluffé par la maîtrise dont elle sait faire preuve à son âge pour son tout premier film – qui lui avait valu de la part de Jacques Mandelbaum dans les colonnes du "Monde" une critique hagiographique.

    Pour autant, on peut légitimement y trouver à redire. La direction d’acteurs est inégale : si la jeune Constance Rousseau – qu’on voit sur l’affiche – avec sa carnation de porcelaine est une révélation, le jeu calamiteux de Paul Blain (quasi sosie de Pierre Cosso, le héros de "La Boum 2") plombe le film. Plus grave encore : on peut reprocher à Mia Hansen-Løve, dans son film comme dans les suivants, une artificialité un peu hautaine dont portent la trace des dialogues trop écrits et des ellipses trop brutales qui peinent à masquer la banalité d’un scénario languissant.
    Mélany T
    Mélany T

    26 abonnés 477 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2021
    L'ensemble bourgeois et parisien et les acteurs manièrés agacent par instants mais l'émotion diffuse, le naturalisme et le récit doux et bien mené convainquent.
    Harnoismonique
    Harnoismonique

    11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2020
    film en demi teinte , on manque d' éléments pour arriver à comprendre l' état psychique de victor qui passe d' un professeur en université à junkie , et cette fin d' histoire , pamela retrouve son père est alors !!!!!
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    215 abonnés 2 849 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2019
    Mouais.... bof bof ! Ce film est bien étrange. Il laisse de marbre sans pourtant être totalement dénué d'intérêt. Le problème c'est que je l'ai trouvé inconstant car on passe de moments intéressants à des moments totalement rasoirs et c'est pénible. En plus l'acteur principal est complètement nul et ne fait passer aucune émotion et moi ça m'a gêné. Les autres acteurs sont bons mais Paul Blain lui n'est pas crédible et pas très juste et c'est fort dommage. Au final je n'ai pas détesté ce film mais je me suis ennuyé à mourir devant tout de même et il me laissera une drôle d'impression.
    ghjughju
    ghjughju

    13 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Je me demande encore l’intérêt de ce film, il ne raconte rien, aucune émotion. La comédienne qui joue Pamela est très bien. Mais Victor est insupportable. Non vraiment grosse déception
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2017
    A toutes celles et tous ceux qui ont une obsession du point de vue, à tout celà, "Tout est pardonnè" ne doit pas être dèdiè! Soit on est emportè par l'histoire, soit on ne l'est pas! Car le seul vrai point de vue, c'est celui de l'auteur! Quand Mia Hansen-Løve a ècrit son premier court-mètrage et ensuite ce premier long-mètrage, elle a eu l'impression - à tort ou à raison - d'arriver enfin à trouver la forme d'expression qui coïncidait exactement avec le sentiment, l'idèe et la source! Une chose extrêmement libèratrice pour cette jeune rèalisatrice qui intègre ses propres thèmatiques et des donnèes essentielles de son univers dont le titre du film èvoque une expression poètique d'un amour un peu viscèral entre une mère et sa fille! On tourne autour d'un personnage principal (Victor) qui, finalement, disparaît pour laisser place à une jeune adolescente (Pamela) qui devient l'hèroïne! Du coup, l'idèe de la transmission s'exprime en premier dans la structure même du mètrage. Dèroutant ? Peut-être! Mais au moins Mia Hansen-Løve dèfend et argumente son point de vue sans pour autant mettre la forme en avant [...] Constance Rousseau est une actrice à suivre! Et ça, Guillaume Brac l'a parfaitement compris! On notera que "Tout est pardonnè" a reçu le Prix Louis-Delluc 2007 (ex-aequo avec "Naissance des pieuvres"), ce qui n'est pas rien même si ce premier essai n'est pas le meilleur film de sa rèalisatrice...
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juin 2016
    Premier film de Mia Hansen Love dont j'attendais beaucoup par rapport aux bonnes critiques presses et à sa présentation à la Quinzaine des Réalisateurs présentée à Cannes en 2007. Rien de spécial à reprocher à la mise en scène qui est assez simple finalement mais ce qui m'a empêché d'accrocher à l'histoire et surtout de m'attacher aux personnages c'est l'interprétation plus que moyenne des acteurs : particulièrement celle de P.Blain et M.C. Friedrich (qui forment le couple du début du film et qui sonne carrément faux!) et celle de Constance Rousseau qui malgré sa belle frimousse, ne m'a pas convaincu. Sans émotion ni un minimum d'attachement aux personnages, difficile d'apprécier le film que j'ai malgré tout réussi à regarder jusqu'au bout mais avec un profond ennui... Pas de rythme, manque de conviction, interprétation moyenne etc... Une déception quoi ! Mais biensûr cela ne tient qu'à moi, à chacun de juger !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 avril 2016
    Une histoire simple mais assez touchante. Juste dommage que le jeu des acteurs soit si monotone. Puis les 15/20 premières minutes où ça parle allemand saoulent un peu aussi.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    16 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 octobre 2013
    Un film simple, brute avec peu de moyen qui se laisse suivre avec un scénario cohérent mais ans plus!!
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    Est-ce moi qui suis en ce moment d'une humeur maussade, ou bien la critique est-elle particulièrement complaisante ces temps-ci ? Après son enthousiasme pour "Charly" et "La Question humaine", qui m'ont valu 4 heures d'ennui profond, nouvel emballement du Landerneau parisien pour ce premier film : Le Monde parle de "la stupéfiante justesse de la mise en scène, aussi précise, sensible et fulgurante qu'un rayon laser", Les Inrocks de "premier film bouleversant à la clarté magique", et Libé affirme que "Comme film, il est à son tour irréprochable".

    Diantre. Voilà qui est alléchant, et le fait que la réalisatrice soit une ex-consœur, qui plus est des Cahiers du Cinéma, ne rentre certainement pas en ligne de compte dans ce dithyrambe... Jugeons donc sur pièce. Côté mise en scène au laser, rien de bien original, juste ce qui est dans l'air du temps, côté Garrel ou Assayas, une caméra un peu parkinsonienne, un montage cut, des faux raccords signifiant "je connais les codes mais je m'en émancipe pour me rapprocher de la vraie vie".

    Côté clarté magique, je dois être un peu moldu, car j'ai trouvé que la narration embrouillait à dessein une intrigue bourrée de clichés : les scènes délibérément inachevées, les ellipses impromptues avec un brouillage intentionnel des repères temporels ne permettent pas de dissimuler l'essentiel, à savoir la succession d'événements attendus et leur traitement encore plus prévisible : la violence conjugale due à l'alcool, l'overdose, l'écrivain maudit et son angoisse de la page blanche.

    Mais le pire est sans doute du côté des dialogues et de la direction d'acteurs (adultes). Il y a un aspect terriblement désuet dans certaines scènes, très littéraire, quelque chose qui rappelle Truffaut sans sa légèreté grave. Comme Isild Le Besco nous exhumant Paul Wedekind, Mia Hansen-Løve nous sort Georg Trakl et Joseph Von Eichendorff, références pesantes à l'homme qui aimait les livres.

    Et puis les acteurs, surtout masculins, ont un jeu à la Jean-Pierre Léaud, et le "Tu m'as humilié !" de Paul Blain (fils de Gérard Blain, acteur fétiche de la Nouvelle Vague) lors de sa dispute avec Annette sonne aussi faux que les premiers essais de l'atelier théâtre de la 3° B. Quant à Pascal Bongard, lorsqu'il explique à sa belle-fille Paméla qu'il y a un virus terrible qui attaque les ordinateurs, on se demande si l'impression de gêne que l'on ressent est due à son jeu ou à la dissonance du dialogue qu'il est obligé d'ânonner.

    Heureusement, il y a les sœurs Rousseau, Victoire (qui joue Paméla à 6 ans) et Constance (qui joue Paméla à 17 ans). L'idée de confier les rôles d'un personnage à deux moments de sa vie à deux sœurs donne une vraisemblance que l'on ne retrouve pas quand le casting n'a été fait que sur des critères de ressemblance morphologique. Et puis toutes deux jouent étonnamment juste, et entraînent leurs partenaires adultes dans cette authenticité. Quand Paméla retrouve Martine, puis Victor, l'intensité de sa présence, reposant sur un port de tête aérien et un regard étrangement mobile parvient enfin à nous raccrocher à l'histoire et à nous émouvoir.

    Philippe Azoulay dans Libération évoque "Bergman, Garrel, Eustache, Doillon, Bresson, Blain. Comme chez eux, la maturité consiste ici à dire la fugue et ne lui faire aucun reproche". Tiens donc ; Victor est quand même un adulescent particulièrement agaçant, perpétuellement dans la négation, la fuite, l'esquive ; et si Paméla lui pardonne, tout à son contentement d'avoir retrouvé un père, je ne suis pas persuadé que la présentation qu'en a fait la réalisatrice était exempte de reproches.

    Espérons juste que Mia Hansen-Løve réussisse à se débarrasser à l'avenir de ses citations indigestes et de ses poncifs narratifs, et qu'elle sache prolonger la grâce de certains passages, comme la conversation sur les ponts viennois entre Victor et Paméla à 6 ans, ou la façon que la même Paméla adolescente a de parler de "son frère par alliance". Espérons pour cela qu'elle ne prenne pas trop les critiques pour argent comptant.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 septembre 2009
    Eh bien moi je ne lui pardonne rien à cette pseudo-cinéaste nombriliste, et surtout pas ce temps qu'elle m'a fait perdre à nous montrer comme sa comédienne principale est belle et combien elle-même n'a rien à dire.
    Voyage au bout de l'ennui.
    Arthurlamouche
    Arthurlamouche

    14 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2009
    Histoire, incroyablement banale, par les temps qui courts d'une jeune fille qui retrouve son père après s'être perdu de vue pendant plus de 10 ans. Mais le pardon n'est pas aussi simple que ça, pas aussi utopique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 juin 2008
    Ce film m'a énormément déçu. Tout d'abord, le visiblement non-acteur qui interprète le rôle du père joue et même "dit" son texte d'une façon assez effroyablement fausse et plate, par ailleurs son interprétation ne laisse ressentir absolument aucune différence entre son état avant et après sevrage...étonnante façon d'interpréter un rôle que celui de ne rien interprété du tout, du coup on peut le créditer à tout le moins d'une grande subtilité...à comparer avec le jeu d'un immense acteur comme Jesper Christensen dans "The bench" de Per Fly, sur un scénario présentant quelques similitudes.
    Le reste est tout aussi dépourvu de quelconque force dramatique, alors bien évidemment on peut parler de "subtilité", reste qu'en ne montrant rien du tout et en ne disant rien du tout on doit certainement être d'une subtilité décoiffante...alors, "Tout est pardonné", mais, faire ce genre de travail, non, cela n'est pas pardonnable!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 novembre 2012
    La presse a hurlé au chef d'oeuvre, et bien évidemment ils n'ont pas forcément raison. Un film courageux et inégal.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top