Derniers Avis sur Entre adultes

D'une banalité sans égales... rien ne ressort d'intéressant, ni le sujet, ni les acteurs, ni la réalisation.... rien rien RIEN !
Réellement 1h de perdue...

D'après Wikipedia, le gonzo est décrit par "Les caractéristiques premières du genre sont l'absence de scénario, de décors, de dialogues, l'emploi de la caméra portée avec un recours intense aux gros plan et un petit budget".
Le genre est adapté ici aux films d'auteur francais, avec panache.

Succession de scénettes autour de l'amour et du couple plus ou moins intéressantes et surtout: plus ou moins bien interprétées! Je tenais à voir ce que donnait l'un des premiers films de Stephane Brizé ... Et beh je constate qu'il a progressé le bonhomme parce qu'ici, niveau mise en scène: c'est qd même super simple.... un peu trop d'ailleurs ! Tellement que j'ai eu bcp de mal à m'intéresser à chacune des scènes... Et encore plus pour rentrer ds la scène suivante .... Ennuyeux.

Un film assez décevant. Les acteurs jouent très mal, les dialogues ne sont pas extraordinaires, la mise en scène non plus. L'affiche, très réussie, laissait pourtant augurer du meilleur !

Une chronique intéressante sur la vie amoureuse et sentimentale de français contemporains, au travers de l’histoire d’une douzaine de couples .Le principe est assez astucieux , des sketches s’enchainent les uns aux autres, à chaque fois un des personnages passe le relais et rencontre une personne du sexe opposé, au sketch suivant. Cela permet des dialogues originaux et assez bien vu , principalement sur l’usure du couple, sur les fantasmes, sur l’adultère , sur le besoin de mettre du piment dans sa vie, (ou pas ). Bien sûr , très souvent les hommes sont à la recherche d’un plaisir , plus instantané, plus immédiat, et les femmes , veulent souvent un peu plus qu’une satisfaction purement sexuelle. . Attention il n’ y a aucune sensualité, aucun corps dénudé, tout est cadré serré en plans américains, tout est dans les récits, donc amateurs d’érotisme pur s’abstenir, car ils pourraient être déçus, et d’ailleurs l’affiche est un peu trompeuse. Les dialogues sont très bien écrits et sonnent tout à fait juste, reflétant bien la réalité contemporaine . Les acteurs jouent tous très justes, professionnels, mais pas connus, Les scénettes sont parfois inégales, certaines sont plus intéressantes que d’autres. Celle sur le recrutement par un directeur de supermarché, d ‘une nouvelle employée, est énorme et bouleversante. Il lui fait subir un interrogatoire d’une « violence » extrême, avec des abus verbaux comme rarement montré au cinéma ( du 5 étoiles). L’avant dernière aussi , ou la JF fantasme sur son meilleur copain , faisant l’amour dans un lieu insolite, au cinéma, mais ils ne veulent pas passer à l’acte . C’est très bon. Le film est bien fait et sonne juste. Stéphane Brizé nous montre toute la délicatesse et la touche personnelle qu'il confirmera ensuite dans le très bon , "Mlle Chambon".

Après le succès de "Le bleu des villes" (1998) Stephane Brizé réalise une sorte de "Ronde" (1950 par Max Ophüls) version hyper réaliste et moderne. On voit 12 couples plus ou moins officiels pour des instantanées de leur quotidien intime. Le film est produit par Claude Lelouch en un mibimum de temps, avec un budget limité et avec de vrais comédiens mais débutant au cinéma. Malheureusement cet économie de moyens et l'ambition de cette expérience manque cruellement de chair. La mise en scène trop statique ajouté au jeu trop théâtral des comédiens donne la douloureuse sensation d'être en présence d'une répétition théâtrale. Les scènes se suivent comme autant d'actes sur la banalité des scènes, elles-mêmes pas aidées par des dialogues peu intéressants. Par contre, l'ensemble est un témoignage assez précis certe moins glamour mais plus ancré dans la réalité des choses. Bon point en tous cas pour l'improvisation "contrôlée" des interprètes. Une ambition louable que ce film, qui pourtant semble avoir eu le bénéfice d'une liberté totale pour le réalisateur (dixit Stepahne Brizé lui-même), mais qui ressemble surtout à un film d'étude de fin d'année d'une thèse sociologique.

Je suis tombé tout à fait par hasard sur ce petit film à sketches que j'ai trouvé assez original : au début un homme et une femme, tous deux mariés, chacun de son côté, couple "illégitime" donc, au lit dans une chambre d'hôtel. Elle se pose des questions et décide finalement de rompre cette liaison. Dans le sketche suivant, on le retrouve, lui, avec sa femme dans leur appartement. Elle se doute de quelque chose, mais il parvient à la persuader du contraire et c'est elle qui va finalement s'excuser d'avoir douté de lui. Chaque sketch se déroule ensuite avec un des protagonistes du sketch précédent et on passe en revue tout plein de thèmes sociétaux (chomage, prostitution, usure du couplle, séparation...) et de comportements (mensonge, harcèlement sexuel, infidélité, adultère, amitié, ennui...). Les hommes ne sont pas à la fête dans ce film : à part le dernier qui semble un peu plus "honnête" que les autres (et qu'on retrouve avec la femme du premier sketch -- la boucle est bouclée), tous sont de gros blaireaux menteurs et/ou tricheurs, avec leur "régulière" comme avec leur maîtresse. Les femmes, elles sont vues, peut-être de manière un peu trop caricaturale, comme des victimes de ces goujats. Ambiance assez sombre somme toute sur les relations de couple, et surtout absence d'amour, mais petite lueur d'espoir dans le dernier volet de ces 12 sketches. Les acteurs sont tous inconnus (de moi en tout cas) et jouent assez bien (on sent parfois un certain amateurisme dans certaines prestations), mais c'est plein de vérité et d'authenticité. Le film est court et c'est très bien ainsi, car c'est plutôt lent et il aurait êté fastidieux de prolonger... A voir pour prendre conscience de la misère humaine, mais je déconseille aux couples qui "battent de l'aile", à moins que ça ne leur donne un coup de fouet... Pas une once de sexe dans ce film.

On connait surtout Stèphane Brizè à travers deux chefs d'oeuvre: "Je ne suis pas là pour être aimè" et "Mademoiselle Chambon". Ce film court de 80 minutes, qui ne devait initialement pas sortir en salles, a ètè proposè en fait par la règion Centre au cinèaste! il devait monter une oeuvre en dix jours, avec deux camèras vidèo! Le tournage a, lui, durè quatre jours! Joliment interprètè par de jeunes comèdiens, "Entre adultes" est un film sans concession, tour à tour drôle (les confidences d'un rêve à un ami) et cruel (l'entretien à l'A.N.P.E), mais souvent bien vu , sur la passion et le dèsir! C'est parfois inègal mais l'ensemble, globalement, tient la route! A voir parce que le scènario est inspirè de la pièce "La ronde", d'Arthur Schnitzer, dèjà adaptèe en 1950 par un certain Max Ophüls...

Très bon film qui repose sur un procédé simple

alors oui effectivement quelques clichés mais c'est bien joué et on s'identifie facilement.
Par contre les mecs sont quasimenttous de gros connards dans ce films (même si le jugement de valeur n"a pas trop sa place dans ce film).

en tt cas perso jai vécu les 3 quarts des situations d'un coté ou de l'autre

Voila un film qui ne paye pas de mine mais qui se laisse tout à fait regarder et qui par son choix de mode narratif gagne considérablement en qualité. Raconté autrement, ce film n'aurait sans doute pas eu grand intérêt, mais c'est l'attention qui est portée à chaque personnage et ces interconnexion qui rendent l'œuvre appréciable. Pas du grand cinéma... du cinéma, tout simplement.

"Entre adultes" est évidemment un film très différent. Si on est passionné par les "rapports de couple", on prendra plaisir à voir cet enchaînement de mensonges et de tromperies, ou l'homme tient d'ailleurs systématiquement un bien mauvais rôle.
Le jeu des acteurs est souvent bon. Je m'interroge sur la part de "voyeur" de chacun de nous qui aime à voir et entendre ces femmes (car ce sont elles qui utilisent les rares mots crus du film) parler de sexe et se révéler un peu. C'est sans doute le fil conducteur du film, cette insertion dans la vie intime de gens dans des situations plus ou moins probables.
Du cinéma qui essaie, du cinéma qui interroge. Sans être un chef d'œuvre je dis : à voir !

Consentir, v. tr.: accepter qu'une chose se fasse.

Entre adultes consentants, tout s'entend.

Un film qui sonne très vrai, qui met souvent mal à l'aise. On dirait des vraies scènes de la vie de tous les jours de couples, d'hommes et de femmes qui ne vont pas bien L'ambiance assez lourde du film m'empêche de lui mettre 3, mais je trouve le film très réussi. Les acteurs ne sont pas connus mais jouent souvent très juste, à l'image de Dominique Coquelin (personnage de Patrick).

Film extrêmement surprenant et atypique : une bonne surprise.
Les acteurs respirent la sincérité, même si par moment j'ai eu comme la sensation qu'ils récitaient : c'est contradictoire me diriez-vous !
Les bouts d'histoires qui s'enchaînent sont celles de relations d'hommes et de femmes qui se cherchent, et parfois se mentent et se trompent : la vie en somme !
Drôle par moment, émouvant par d'autres, ce long-métrage mérite à être connu. Un autre bémol toutefois : l'épilogue, un peu abrupte mais terriblement prévisible (la boucle qui se referme) : une petite sensation d'inachevée... Le traitement aurait pu donc en somme être plus poussé...

genial ! ;meme s'il ya trop d'histoires et trop de couples qui parlent un peu trop de sexe ;le film decrit macabrement et sans fausse pudeur les problemes des couples legitimes et adulterins j'ai adore 02 scenes :la scene sadique du recrutement de caroline ;et la scene puerile et narcissique du faux cadeau d'anniversaire de jacques