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Naïm Laouadi
1 critique
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0,5
Publiée le 1 décembre 2022
Je ne sais pas combien de temps dure le film mais j'espere ne pas en voir la fin Si vous connaissez l'interet d'un tel film merci de me l'expliquer Je plains ceux qui se sont déplacé en famille au cinéma pour y passer une bonne soirée Et qui sont ressorti dans les 15 minutes suivante Les images sont belle même si cela relève de l'abus spoiler: J'aime le principe d'épluchage et les animaux sont mignons (lol je ne parle pas des bébés) Si vous regardez ou avez regardé ce film bon courage pour la suite :)
Les 4 bébés de 4 cultures assez différentes sont les véritables acteurs de ce film et on peut vraiment les observer et les voir évoluer sans ou avec assez peu de la débilité et vanité des adultes. Des contrastes qui se dévoilent mais surtout un vrai film qui n'est pas gâché par une quelconque idéologie. Super idée très bien réalisée.
Entre le chiant et le touchant. Bébés assez pauvre et ne permet pas d'aller plus loin que l'évidence : nous sommes tous à la fois tellement identiques et tellement différents. Le documentaire permet également de prouver le caractère monstrueux de ce qu'est un enfant en bas-âge : un tyran qui cherche à contrôler et soumettre son environnement : les camarades et animaux martyrisés pendant ce tournage vous le confirmeront.
Voir grandir des bébés aux quatre coins du monde. Mignon et un brin instructif. Ca donne conscience du monde dans lequel les enfants grandissent et comme quoi, ils ne naissent pas tous égaux, loin de là.
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12 157 critiques
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3,5
Publiée le 6 mars 2019
Quatre nouveaux nès aux quatre coins du monde dans leur première annèe : Bayanchandmani (Mongolie), Tokyo (Japon), Opuwo (Namibie) et San Francisco (U.S.A). Sur une idèe originale d'Alain Chabat qui produit ègalement le film, ce très joli documentaire rappellera forcèment de beaux souvenirs aux parents! On oublie rapidement le rôle que jouent les diffèrences de culture car le public comprend que chaque bambin s'èveille à la vie en passant par les mêmes ètapes! il y a dans "Bèbès", quelques scènes merveilleuses qui prouvent l'importance d'une maman et de son enfant! Sur le peu d'images où l'on voit les pères, on a quand même l'impression qu'ils sont moins fusionnels avec leur enfant! Est-ce une gènèralitè ? En fait cela dèpend des individus car pour ma part je suis très tactile et complice avec ma fille! Aucune des familles que l'on regarde attentivement dans "Bèbès" ne parle pour autre chose que elle-même! Et ça Thomas Balmès nous le fait savoir au centuple! Le rèsultat est indiscutablement assez extraordinaire : l'impression de vèritè qui naît de ce document est vèritablement ètonnante (la relation aux animaux) et convaincante (la relation à la nature). Un vrai plaisir...
On ne peut que repenser au film « Le Premier Cri », sorti 3 ans auparavant, en voyant « Bébés ». En effet, ce film est bâti sur le même procédé de l’observation en parallèle de scènes identiques aux 4 coins du Monde mais avec les bébés en lieu et place des accouchements. Bébés est quand même moins prenant que son prédécesseur. On passe quand même un bon moment même si le rythme est très lent et qu’on éprouve à un certain moment un sentiment de lassitude. Sur le fond, je pense que même si on a peur pour le bébé namibien quand il approche de sa bouche tout et n’importe quoi récupéré par terre, c’est celui qui a la plus belle vie puisque totalement libre en terme de mouvements (pas de cadre restrictif ni dans le territoire à explorer ni dans les vêtements à supporter).
Intéressant d'un point de vue culturel, soulève des questions du genre: "ne nous-sommes nous pas un peu éloignés du naturel dans nos grandes sociétés occidentales?", un brin contemplatif... Pas mal car fait réfléchir, mais pas une révolution non plus.
Génial ! Franchement une super idée, merci Chabat ! C'est craquant, marrant, intéressant aussi dans la mesure où le choix s'est fixé sur les 2 pays les plus industrialisés et à l'opposé sur 2 peuples autochtones. Inoubliable !
Même une personne qui n'aime pas trop les enfants va être charmer , c'est adorable , et au delà de voir les étapes que ces enfants fournissent , on voit différentes cultures et donc différentes manière d'éduquer ses enfants , un seul petit regret, le film est un peu cour quand même , je pense que le réalisateur aurait pu nous montrer d'autres moments...
C beau , c attendrissant , on prend le spectateur pour un débile mais désolé j n'ai pas ressenti de l'émotion . Dommage .... Idée originale mais on s'ennuie on nous montre des bébés et alors . Et alors on apprend rien .
Tellement émouvant et drôle à la fois. Thomas Balmès nous fait découvrir des cultures totalement opposés qui ont chacune une manière différente d'élever les enfants sans nous faire tomber dans la monotonie. Très beau documentaire.
Un doc mignon tout plein, autant que son idée de départ. Des très jolies images, même si elles sont un peu répétitives au bout d'un moment, mais on peut imaginer le boulot de l'équipe pour capter ces moments attendrissants aux quatre coins du monde. Des tribus Himbas de Namibie aux suburbs de San Francisco, autant de manières différentes d'acceuillir un enfant, mais parfois le manque de voix off se fait un peu sentir et un commentaire discret mais subtil aurait été sympa pour nous permettre de remarquer telle ou telle différence entre les manières de s'occuper de l'enfant. Il faut beaucoup se concentrer sur les images et ne pas en perdre une miette pour comprendre ou le doc veut en venir et être captivé non stop. Mais quand-même, c'est très joli, une bien bonne idée d'Alain Chabat.
Dès les premières minutes, le bébé namibien Ponijao m’impressionnait par son habileté à taper sur son gros caillou sans frapper son pouce ! Puis les séquences qui illustraient les tout premiers jours de la naissance, je me suis dit que tous les bébés du monde et peu importe l’environnement où ils naissent se ressemblent. J’irais presque à dire : nous sommes égaux devant la mort, il en est de même devant la naissance. Les mêmes mimiques, les mêmes petits sourires esquissés, les mêmes petits gestes saccadés. Alors, il est vrai, quelques jours plus tard, le bébé se forme, se construit et il se différencie d’un autre. La caméra se met à leur hauteur, comme à la manière d’un film animalier, (ce n’est point offensant puisque l’Homme appartient au monde animal) le réalisateur n’intervient pas ; il filme, et nous observons et peu importe que le bébé de Mongolie ou de Namibie tombe, suce un os découvert sous terre, ou boit de l’eau boueuse. Et ce qui est instructif, on le savait tous, c’est ce contraste entre l’éducation namibienne par exemple et l’éducation à « l’occidentale ». On peut sourire des ateliers à Tokyo ou à San Francisco où des parents avec leur progéniture s’éveillent à la nature alors qu’en Namibie ou dans les steppes de Mongolie, bébé s’éveille de lui-même dans la nature, dans une nature hostile. Les parents ne sont pas aussi protecteurs que ceux du monde occidental, ils prennent moins de gants, n’aseptisent pas l’environnement pour leur bébé. Ici, il n’est pas question de juger qui que ce soit. On peut s’interroger parfois sur le futile et on a le droit d’être surpris. Voilà un film sans voix off à porté universelle et terriblement captivant.