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    La Taularde
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    3,1
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    140 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 313 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2016
    "La Taularde" n'arrive pas au niveau de certaines réalisations choc comme l'étaient "Un Prophète", "Dog Pound", "Les Poings contre les murs", ou bien encore pour ne pas l'oublier dans sa version féminine, le très beau "Ombline"...
    Son problème est de ne pas entrer dans la psychologie des personnages, mais de s'en servir comme des faire-valoir du domaine carcéral...
    Il n'est pas seulement suffisant de montrer les caractéristiques de cet univers violent par des clichés ou des idées toutes faites, encore faut-il sentir ce qui bouillonne sous ces têtes brisées, ou pour le moins mal en point !
    Sophie Marceau déjà, n'est pas le meilleur choix pour ce rôle, tant tout est lisse chez elle, de ses expressions alanguies, à sa posture trop dans l'œil du photographe.
    En effet, plus mannequin qu'actrice, cette remarque est ici encore plus nette et cruciale dans cette composition de prof de lettres incarcérée pour avoir contribuer à l'évasion de son mari. Car à aucun instant, on n'arrive à percevoir ni le fond de la pensée politique, ni la sensibilité et la curiosité d'une femme de lettres à travers son personnage, pour lequel une vraie crédibilité fait ainsi cruellement défaut...
    Et oui, Sophie pose, (re)pose et compose, et d'ailleurs la réalisatrice Audrey Estrougo la filme comme telle, gros plans et gros plans rapprochés sur le visage de la belle actrice, même si le maquillage est remplacé ici par quelques ecchymoses !
    Pour ce qui est des seconds rôles, on se retrouve également avec une galerie de stéréotypes beaucoup trop marqués dans leur code pour qu'on puisse s'intéresser au minimum à l'un d'entre eux.
    De ce fait, même l'univers de la prison arrive à sembler faux, à la limite quelquefois du carton pâte.
    Restent tout de même quelques scènes très fortes et poignantes, quand les détenues et le personnel surveillant sortent de leurs gonds, pour enfin nous remuer vraiment !
    Lors d'un autre rôle de femme dévastée, Sophie Marceau avait davantage brillé dans un duo, véritable huis-clos éprouvant et captivant "Arrêtez-moi", où Miou Miou lui donnait la réplique de manière saisissante...
    C'est certainement cette image qui m'avait fait espérer retrouver la même qualité de prestation cette fois !
    Dommage pour cette nouvelle tentative qui manque surtout et assurément d'une véritable profondeur des sentiments pour convaincre et émouvoir.
    Guiciné
    Guiciné

    127 abonnés 1 205 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 septembre 2016
    Un film où tout semble factice et sur joué, en plus du scénario qui me semble vraiment pas inspiré. Très décevant !
    Padami N.
    Padami N.

    59 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    film de genre huis clos de prison de femmes avec des clichés sans vrais réflexion. intrigue sur le personnage de S.Marceau est invraisemblable, seul quelques portraits de femmes sauvent le film
    Jack R.
    Jack R.

    14 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2016
    Un film sur les prisons pour femme. Rien a envier au nombreux films de prisons pour homme. Violence, haine, agressivité, conflits, etc. Sophie Marceau et les actrices jouent correctement. L'atmosphère est lourde avec quelques moments de détente permettant d'échapper à cet univers destructeur. Au delà de cette fiction, c'est une interrrogation sur le monde carcéral qui est en jeu à mon sens. Ces prisons sont-elles vraiment la solution aux problèmes de notre société qui tente de se protéger mais ne règle pas ses problèmes de fond. Comment la société peut elle traiter les problèmes liés aux crimes et à la délinquence ? Comment d'autres pays s'y prennent-ils ? comme la Norvège ou les prisonniers ont la clef de leur cellule...La prison devrait être un lieu qui amène les auteurs de crimes à s'interroger sur leurs actions et non pas un lieu où l'on s'exerce à la violence, à la manipulation, à la haine, à la logique des clans, etc...Bref, ce film, peut nous amener à méditer sur d'autres voies et d'autres manière de traiter les maux de notre société...
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    La première scène de « La taularde » prend aux tripes. Sophie Marceau, notre idole nationale, dont le sourire charmant, les yeux qui plissent et la bretelle qui glisse font chavirer le cœur des Français depuis plus de trente ans, est humiliée sous nos yeux choqués. Nue comme un ver – mais un meuble occulte son entrejambe – elle doit se soumettre à la palpation de sécurité qui accompagne sa mise sous écrou.

    Mathilde Leroy, son personnage, est en prison pour l’homme qu’elle aime, un Robin des bois qui vole les riches pour donner aux pauvres. Elle l’a aidé à s’évader et espère écoper d’une peine légère pour complicité. Mais l’évasion a mal tourné. Un otage a été tué. La peine légère risque de s’alourdir. Placée au silence, sans nouvelles de l’extérieur, Mathilde doute de la sincérité de son compagnon tandis qu’à l’intérieur, ses codétenues lui mènent la vie dure.

    Des films de prison, on en a vu treize à la douzaine. Le meilleur est sans conteste « Un prophète » de Jacques Audiard. Mais certains, passés inaperçus, sont de vraies réussites : « Dog Pound » (2010), « Ombline » (2012), « Les Poings contre les murs » (2013), « Éperdument » (2015) . Difficile de faire mieux ou même aussi bien. « La Taularde » n’y parvient pas même si l’idée de plonger une intello dans la jungle de la maison d’arrêt était bonne.

    Sophie Marceau est le principal atout et le principal handicap du film. Elle est remarquable dans ce rôle ingrat. Sale, sans maquillage, elle bout d’une rage impuissante. Mais Sophie Marceau ne réussit jamais à faire oublier qu’elle est Sophie Marceau. Idole nationale, elle est condamnée aux rôles que son statut appelle.
    El Chupacabron
    El Chupacabron

    21 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Film très réaliste. Situations crédibles. Excellente interprétation de Sophie Marceau, parfois physiquement méconnaissable. Un grand nombre de problèmatiques de l'univers carcéral est abordé ( manque de moyens, promiscuité, hygiène, personnel débordé voire dépassé par certaines situations, suicides, sexualité, etc...) Vraiment prenant.
    Note d'humeur: 14/20
    Cine vu
    Cine vu

    123 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    La Boum en prison

    1) Marceau joue les rebelles adolescentes
    2) Marceau n’est pas maquillée pour faire plus vrai
    3) Marceau joue faux
    4) Marceau, merci de retourner à tes comédies à l’eau de rose
    5) un film plein de bruit mais sans fureur
    6) la peine est longue
    7) le scénario est mal ficelé
    8) les dialogues sont pauvres
    9) déjà vu à la Télé juste avant « Mme Le Juge »
    10) une caricature scandaleuse des taulardes
    11) on a perdu 10 € et 1h50
    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Un film qui n'est pas sans en rappeler d'autres. Le travail de recherches et d'écoute d'Audrey Estrougo, jeune réalisatrice et scénariste, lui permet de livrer ce film, dur, incisif, féroce et sans concession sur l'univers carcéral féminin. Elle a déclaré : "La prison est un monde dans le monde, qui recrée le broyage social et la fracture de notre société." La mise en scène utilise cet enfermement avec une grande subtilité. La déprime, la colère, la manipulation, touchent avec la même violence surveillantes et détenues. La direction d'acteurs est d'une parfaite maîtrise et l'ensemble du casting particulièrement brillant. Avec, entre autres, la toujours convaincante Suzanne Clément, mais aussi Anne Le Ny, dans un rôle détestable, Carole Franck en matonne au grand cœur, ou Marie-Sohna Condé en "chef" implacable Alice Belaïdi en révoltée magnifique, ou encore Nailia Harzoune et toutes les autres comédiennes qui accentuent ce sentiment d'étouffement, de colère et d'écœurement. Sophie Marceau est remarquable. Dans un dénuement total, cette longue descente aux enfers et face à la caméra impitoyable, elle convainc et rayonne.
    Eponaa
    Eponaa

    178 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2016
    Sophie Marceau est impeccable, comme toujours, et l'univers carcéral semble bien campé (j'avoue ne pas être experte pour juger...). Néanmoins, il m'a manqué un petit quelque chose pour adhérer totalement au film, peut être la lenteur, je ne sais pas . Je ressors de la séance mitigée.
    Eve F
    Eve F

    25 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2016
    Un presque documentaire tourné dans une prison désaffectée de Rennes, extraordinaire de pertinence, de justesse et de sensibilité sur la dureté de la vie quotidienne en milieu carcéral.

    On a beaucoup vu d'histoires extraordinaires qui font sensation et qui gagnent en intensité parce qu'elles sont vécues derrière les murs, mais dans La Taularde le récit n'est pas destiné à faire sensation, car c'est inutile. Chaque réplique, chaque plan, chaque détail des mouvements “qui restent encore” à celles qui sont enfermées, parlent davantage que le ferait le scénario complexe d'un ultime polar qui a lieu en prison. La psychologie des matonnes et des détenues est peinte par petites touches, tout en finesse; sans jamais exploiter leur détresse, mais en ne soulignant que les difficultés inhérentes à la détention elle-même.

    Les douches, les parloirs, les coursives ou s'enfilent les cellules, les serrures immenses, mais surtout le bruit des portes, le vacarme permanent qui raconte que l’intimité a définitivement disparu. Chaque détail est d’un exactitude troublante.

    Le choix d’un récit qui table sur l’intégration d'une criminelle que sa vie ne condamnait pas d’emblée à le devenir, est judicieux. Il permet au spectateur lambda qui ignore les affres du Chtar, du Hebs, de la Zonzon, de s'identifier à l'impossible adaptation à laquelle l’héroïne doit faire face. Sophie Marceau joue parfaitement sa partition, entre «fausse gloire», courage forcené, obstination, colère, et enfin acceptation de la sidération qui va avec cette condition sans nom.

    Aucun qualificatif ne saurait dire cette humiliation, aucun discours ne saurait analyser jusqu’où l’enfermement prive l’âme de liberté, mais ces images et la justesse de ces dialogues disent enfin l'indicible du milieu carcéral quand il se conjugue au féminin. L’angle spécifique du département des femmes, a toute sa pertinence. Il est le théâtre d'une violence différente de celle que l'on trouve chez les hommes, mais elle n'est pas moins forte.

    L’enfermement au féminin exacerbe les enjeux affectifs qui existent aussi chez les hommes, mais qui sont souvent éclipsés par ceux de la réussite, des ambitions déçues, et de la domination très schématique des uns par les autres.

    Rappelons qu'en France les femmes ne représentent que 2% de la population carcérale, mais elles sont indiscutablement le paradigme des enjeux qui concernent l’ensemble des détenus. Il y a bien davantage de crimes de sang chez les femmes que chez les hommes (50% contre 10%), et de ce fait, leur détention -même si très minoritaire- exprime l’extrême dérive de l’humanité. Au plus profond de la déchéance, le “peu” de femmes enfermées disent davantage la perdition de l’individu, que tout ce qui se joue massivement dans les délits et les divers «brigandage» qui remplissent les faits divers du quotidien.

    Si la population masculine qui sur-peuple les cellules délabrées des prisons dit l’état de la société, les femmes exacerbent le tragique de la détresse psychologique à son extrême, et donc de la condition humaine.

    Un film simple, puissant de justesse, toujours pertinent et intelligent. Un récit qui s'efface au profit d'un propos qui tient à tout moment le cap dans l'essentiel de ce qu'il véhicule.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2016
    Sophie Marceau est un problème à elle toute seule puisqu’un catalogue d’idées reçues a pu la cantonner dans des rôles de bêtasses ou d’écervelées. Ici le problème est qu’il est difficile d’oublier qui elle est, et qu’elle est en prison, bien que son jeu incline vers une dimension humaine très forte. Mais le principal écueil du film est son genre, très ciblé et qu’il arrive bien tard après tous ces films sur la prison dont le summum aura été atteint par « Le prophète » de Jacques Audiard. On n’en demandait pas tant à Audrey Estrougo, la réalisatrice d’« Une histoire banale » qui ne l’était pas et qui filme là assez banalement un univers carcéral complètement perverti par les clichés. Alors l’histoire de cette femme qui attend que son homme pour lequel est en prison vienne lui tendre la main, devient secondaire. Au début on y croit d’ailleurs à peine, et après plus du tout. Pour moi rien ou si peu ne fonctionne dans ce dédale de perdition où Sophie Marceau et toutes les autres (Marie-Sohna Condé, Marie Denarnaud, déjà à l’affiche de son précédent film, mais aussi Carole Franck, Pauline Burlet, Suzanne Clément…) donnent tout ce qu’elles peuvent. Mais en vain...
    Pour en savoir plus
    virnoni
    virnoni

    93 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2016
    Bon huis clos carcéral mais je suis freinée par les nombreuses incohérences et facilités qui font de La Taularde un petit film sans plus (parmi tant de prisonnières, pas de bol, Sophie Marceau se tape tjs la "vilaine qui lui en veut" dans sa cellule, personnages féminins "faciles" dans la présentation de leur histoire et donc caricaturaux, Sophie Marceau habillée plus que salement, comme s'il est était nécessaire qu'elle soit "crade" jusqu'au bout alors qu'elle est tout de même enseignante).
    Réglons déjà le cas "Sophie Marceau" car dès la sortie d'un de ses films, tout doit être dit à son sujet. Quel drôle de rôle elle prend alors dans la vie et le coeur des français! Elle joue bien la plupart du temps (comme si après toutes ses années, son jeu devait tjs être remis en question...la faute à la Boum qui la aussi cantonnée à un style ?). Mais il est vrai qu'elle surjoue également et fait retomber à certain moment l'intensité qui serait pourtant bien nécessaire. Dans certaines autres scènes, elle est au contraire bouleversante spoiler: (1ère scène totalement nue -et magnifique ! - scène implacable, quand elle regarde une femme se faire agresser sous ses yeux, quand elle doit "camoufler" le portable transmis par son fils)
    .
    Mais ces erreurs sont aussi dues à une direction d'actrices parfois hasardeuses, car le reste du casting n'est pas exempt de faute de jeu (comme Naidra Ayadi qui joue la surveillante arabe. Elle brillait tant dans Police, ici, elle aligne les erreurs) ! La faute aussi a un style visuel trop accentué. La réalisatrice semble vouloir trop appuyer son discours et démontrer qu'elle sait filmer. Parfois, l'effet est bon et subtil (notamment la sensation d'étouffement des cellules), souvent, c'est lourd comme un pachyderme !
    Il y a un manque également de moyens car on a la sensation qu'elles sont souvent 15 maxi dans le prison (voire la scène d'émeute finale où ça ne semble pas s'affoler de partout non plus ?!).
    Reste un ensemble prenant et souvent âpre. Le sujet semble bien traité avec une vision globale intéressante (sans savoir si elle est juste). La réalisatrice n'oublie pas pour autant de montrer la vision des surveillantes, pas "méchantes" par plaisir mais prises aussi dans le jeu de ses femmes emprisonnées (par la vie!) et devant exécuter un travail plus que violent et non voulu.
    En tout cas, Sophie reste Marceau : on la suivra et l'aimera toujours et encore. Elle ne sait pas tout jouer mais elle est vraiment naturelle, entière et passionnée.
    Christine G
    Christine G

    13 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 septembre 2016
    Plus nul tu meurs plein de clichés ce film s'efforce de nous montrer sophie marceau sous tous ses angles donc aucun intérêt que de montrer des hystériques qui se bagarrent à l'intérieur
    TchoSensei97
    TchoSensei97

    36 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2016
    Le problème du film, c'est qu'il est beaucoup trop unidimensionnel. Il met en scène l'enfer des milieux carcéraux avec pas mal d'efficacité, mais n'explore rien d'autre au-delà de ça. Heureusement, c'est quand-même plutôt bien fait, et les scènes fortes sont de plus en plus intenses et assez captivante. On peut avoir également du mal à s'attacher au personnage de Sophie Marceau, qui reste un cliché de la femme incarcérée différentes des autres détenues à cause de son certain niveau social. Elle n'a pas vraiment de personnalité qui lui est propre, et le sa propre histoire est assez mal exploitée. Il aurait sans-doute fallu un bon flash-back poignant, pour nous permettre de nous sentir totalement impliqué dans l'histoire du personnage. Malgré tout, le film est assez réussi dans le sens où l'on ne s'ennuie jamais et où certaines scènes nous accrochent vraiment bien.
    Serge V
    Serge V

    82 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 septembre 2016
    sophie marceau interprète une prof de lettres se retrouvant en prison pour avoir permis l' évasion de son aimé un " robin des bois moderne " , déjà là on a du mal à y croire, un nombre de clichés va suivre bien sûr sophie marceau va se retrouver dans la même geôle que la plus déjantée , la plus violente des codétenues ,bien sûr les taulardes sont hystériques , hurlantes ,violentes , bien sûr les gardiennes sont dures , insensibles ou dépassées ,une d'elles est au contraire amicale , elle souhaite une bonne journée aux taulardes au réveil et une bonne nuit évidemment le soir !!!! l'interprétation est bonne mais l'erreur vient du choix de sophie marceau , on ne voit pas une taularde , on voit sophie marceau , sans mettre son talent en doute !
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