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    L'Homme invisible
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    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 897 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2023
    Avec ce personnage détestable, difficile de s'identifier à l'hommage invisible. James Whale adapte le bouquin de H.G. Wells, que je trouve déjà pas si génial et le film ne m'a pas fait changer d'avis. J'ai même préféré sa revisite SF signée Paul Verhoven (Hollow Man) Néanmoins le film réussi là où est attendue, nous livrant une vraie leçon philosophique sur les penchants de l'être humain.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    222 abonnés 2 865 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mai 2023
    Pffff... quelle barbe ! Autant Dr Jekyll & Mr Hyde était passé autant là c'est beaucoup... En fait ce que je n'ai pas aimé dans ce film c'est qu'on prend Mr Griffin une fois qu'il est déjà invisible... aucune trace de ses expériences, de sa métamorphose physique & morale... et du coup j'ai trouvé ça inintéressant de le voir arriver à l'hotel déjà enrubanné ! En prime ses envies des vengeance sont pénibles & son agressivité n'apporte pas grand chose au film... bref un raté ! Dommage car ca aurait pu etre vraiment bien si on avait suivi son histoire du début...
    Rony Bass
    Rony Bass

    6 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2023
    Si l'histoire n'a rien d'extraordinaire, voire même certaines situations, j'ai été impressionné par la qualité des effets spéciaux et de la photographie. Le film se fend même d'une petite morale finale. Un bon moment et une bonne surprise.
    Sosa
    Sosa

    7 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 février 2023
    Rendu impeccable.
    La femme au bar est hystérique, c'est pas possible pousse des cris sans arrêt.
    L'homme invisible est tete.
    tisma
    tisma

    258 abonnés 1 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2022
    L'homme invisible est une belle prouesse pour l'époque, les effets spéciaux marchent toujours pour aujourd'hui et permettent vraiment d'être emporté et subjugué par cette œuvre !
    Napoléon
    Napoléon

    117 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 octobre 2021
    Un film n'ayant pas grand chose de spécial. Après reste de bons effets spéciaux pour l'époque et des situations comiques assez drôles. Sans oublier des dialogues assez recherchés.
    Run
    Run

    3 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2021
    LA version de L'Homme Invisible. Tout le début à l'auberge par une tempête de neige est une réussite avec une aubergiste hystérique, son mari trouillard et L'homme Invisible qui les rend fous et sombre lui-même dans la folie. Les SFX sont réussis. Avec ses bandelettes, il a un sacré charisme qui accompagne bien ses délires de domination du monde et de toute puissance. La deuxième moitié tire un peu en longueur ce qui rend son revisionnage difficile. Un grand film.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    78 abonnés 1 522 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    "L'homme invisible" s'inscrit dans la période bénie durant laquelle Carl Laemmle Jr. a impulsé les changements au sein des Universal Monsters.

    On retrouve ce qui fait le charme de ces oeuvres sorties durant la Grande Dépression : un rythme rapide, un monstre marquant, des effets spéciaux très efficaces et une belle maîtrise de la lumière.

    Mais là où "L'homme invisible" se différencie un peu, c'est dans ses personnages secondaires, quasiment tous transparents (sans mauvais jeu de mot). Je n'en ai trouvé qu'un seul d'intéressant : le docteur Kemp.

    Même l'homme invisible semble un peu trop manichéen.

    Cela dit, on passe malgré tout un bon moment et je n'ai toujours pas compris comment ils avaient réussi de tels effets spéciaux dans les années 30 !
    Fabien S.
    Fabien S.

    459 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Un chef d'oeuvre. Un très bon film fantastique inspiré du roman de H.G.Wells. Claude Rains incarne à merveille le docteur Griffin.
    pentarou
    pentarou

    1 abonné 142 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2020
    Décidément les monstres classic de la Universal ne sont pas tant des monstres que ça.
    Aucun des films n'est un film d'horreur.
    Et les monstres ne sont vraiment pas si terrible que ça, bien qu'ici on ait affaire au pire.
    Oui oui, bien plus un monstre que Dracula, la creature de Frankenstein ou la momie.
    C'est le plus humain mais aussi le plus cruel.
    Sa méchanceté est expliqué par l'expérience qu'il s'est auto-infligé, du coup il est presque plus traité comme une victime que comme un monstre sur la fin du film.
    On y voit plus un homme aimant sa femme qui veut tout faire pour redevenir comme avant et enrage de ne pas y arriver.
    Le produit qu'il s'est injecté le rend néanmoins violent et n'hésite donc pas à tuer pour le plaisir.
    Concernant le reste du film, on est toujours dans les années 30 donc du surjeu de partout, la palmé revenant à la femme de l'auberge.
    Un film à voir une fois mais franchement ces classics m'ont pour le moment déçu.
    Eric G.
    Eric G.

    9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2020
    Tout simplement un chef d'oeuvre réalisé par un maître du film fantastique de l'époque.
    Certes les trucages de ce film peuvent paraître pour certains, désuets. Mais ce film réalisé au début des années 30, faisait preuve d'audace et d'inventivité. J'imagine que ce film a du donné quelques frissons d'angoisse aux spectateurs comme nous en donne aujourd'hui certains blockbusters.
    Cette atmosphère anglaise et fantastique est d'autant plus palpable par sa pellicule noir et blanc et le côté quelque peu théatral, mais au combien succulent du jeu d'actrice de la femme aubergiste (un régal).
    Subséquement, un film presque de court métrage (moins de 1h15), mais ô combien passionnant et attachant.
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    12 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    Le mythe de l’invisibilité est quelque chose qui a toujours fasciné l’être humain. En effet, le fait de n’être vu par personne permettrait selon beaucoup une plus grande impunité dans nos gestes, aussi bien positifs que négatifs. On regorge ainsi de nombreuses variations de cette croyance mise en valeur par Platon avec l’anneau de Gygès. Tout le monde connaît l’effet de l’anneau unique dans « Le Seigneur des Anneaux » et le « Hollow man » de Paul Verhoeven se forge au fur et à mesure des années une meilleure réputation qu’à sa sortie. Mais le film abordé aujourd’hui est également une excellente variation de ce thème et sera réapproprié dans quelques années par son studio original dans son nouvel univers partagé.

    Un scientifique dénommé Jack Griffin arrive à créer un sérum d’invisibilité. Malheureusement, il n’arrive pas à en inverser les effets. Cela va le conduire à adopter un comportement des plus violents…

    On parle bien moins de ce film dans la filmographie de James Whale par rapport à son cultissime « Frankenstein », mais cela ne l’empêche guère d’être une remarquable réussite. En seulement 70 minutes, il arrive à aborder pleinement son sujet en le traitant comme un pur film de monstres avec les interrogations morales s’accrochant à ce thème. En effet, la disparition physique semble provoquer une disparition morale, comme si ne plus se sentir rattaché visuellement à notre société autorisait à une déchéance idéologique. Ainsi (comme dans de nombreux films de monstres d’Universal), être exclu de la société et de ses « valeurs » conduit à la destruction desdites valeurs.

    Ce qui est encore plus intéressant en comparaison de ses congénères « Universaliens », c’est que Jack Griffin est un être humain et non une créature née avec des aptitudes physiques le rejetant en dehors du monde. C’est par la science que Griffin s’est créé et a muté vers un « monstre » qui commettra notamment des actes de terreur. De quoi rappeler le basculement moral dans lequel chaque être humain peut plonger à tout moment. En effet, on aime parler des personnes qui nous effraient mais il est encore plus effrayant de constater que celles-ci étaient des êtres normaux qui n’étaient pas prédestinées à tuer et semer la panique. C’est quelque chose qui est régulièrement oublié de nos jours : personne n’est voué à devenir un meurtrier ou un terroriste, qu’importe ses origines, sa religion ou son milieu social. Il y a toujours un moyen d’échapper aux facteurs sociaux que l’on juge inévitables de par nos actes. Ce qui est donc un message à la fois effrayant (on ne peut prévoir qui sera un monstre) et rassurant (on peut néanmoins tout faire pour être une personne admirable).

    Emballé dans une mise en scène classieuse de la part de Whale et des effets toujours aussi efficaces plus de 80 ans après sa sortie, « L’homme invisible » est donc un classique du cinéma de genre qui se doit d’être vu et revu, que ce soit par son divertissement intemporel ou bien par les réflexions thématiques passionnantes offertes par la manière dont l’intrigue est abordée. Et après, certains diront encore que voir des « vieux » films ne sert à rien…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2019
    Le vieux chef-d’œuvre de l’invisibilité toujours pour le cinéaste de « Frankenstein » et « sa fiancée », grâce à la grande histoire littéraire de la science-fiction fantastique, dont il s’est inspiré en l’adaptant dans cette mise en scène. Rien de comparatif avec l’idée saugrenue de monsieur Verhoeven de rendre son personnage invisible tel un pervers sadique violeur, j’en suis estomaqué par la digestion trop moderne sortie en 2000 que par la maîtrise pas vraiment génial de son scénario. Le transit intestinal passe mieux ici, d’après les propos de la version en langue originale, dont j’apprends les cours d’anglais au fur et à mesure, les aliments ingurgités dans l’estomac ensuite éliminés, sont visibles derrière ses vêtements, bon appétit « Breakfast and Lunch » Sir ! Ce qui rend sa part d’humanité, le besoin d’assouvir sa survie après l’expérimentation scientifique irréversible, malgré ses intentions malintentionnées d’effrayer les villageois et ces alentours. Une raison frustrante le submerge d’esprit vu l’état de sa condition qu’il n’aurait jamais pu prévoir. Le « Dark Lord » est un malicieux frôlant la folie, ce côté burlesque sifflotant des chansonnettes populaires apportant sa sympathie, commentant des méfaits hors-la-loi et pour autant, profite de reprendre le rôle laissé vacant par « Robin des bois ». La banque bousculée par son pouvoir invisible plus fort qu’elle, sera en alerte maximale, la Police du pays en état d’urgence. Une superbe prestation d’acteur qui se fraye ce chemin transparent derrière son bandage effet d’optique raisonnable datant de 1933, bien meilleur que le Bacon 🥓de « Hollow Man » sans l’ombre d’un homme douteux en chair et en os.🦴Quand viendra le tour cinématographique de la femme déjà par-faite, elle se transformera en Fanta-Jessica Alba.
    Cinememories
    Cinememories

    442 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    Après « Les Anges de l’Enfer », James Whale passe très vite dans le côté sombre des genres horrifiques, préférant les contes gothiques et autres influences. Il débuta avec « Frankenstein » qui s’ajoute à l’Universal Monsters et poursuit sur « La Maison de la Mort » avant de poursuivre dans la lignée des monstres. Il y développe les vices d’un homme sans ombre, invisible aux yeux de tous, bien qu’il admette des faiblesses.

    Le Docteur Jack Griffin a percé un secret qui le contraint à rester ainsi, afin qu’il paye pour ses ambitions démesurées. Le cas du savant fou est réutilisé à maintes reprises, mais c’est ce qui souligne ce genre de récit qui tend à se justifier scientifiquement. Claude Rains lui prête une gestuelle de qualité, en plus de dialogues pétrifiants. Sa performance est toujours aussi bluffante, sachant en plus que les effets associés ne lui rendent pas tout à fait justice. Sans visage, sans expressions, nous devinons tout de même les traits de cet homme qui convoite un pouvoir divin. La folie s’empare de lui, comme le burlesque qui l’accompagne souvent dans sa manœuvre d’effrayer la population qui l’entoure.

    Le mal ou la force invisible constitue alors une véritable métaphore de ce qui ronge les sociétés à travers le temps et les époques. Attaquant sans raison, avec un mépris gratuit et parfois sans fondement, des images peuvent choquer par leur brutalité et la radicalité d’un discours qui vise le monde entier. L’intrigue se concentre ainsi sur ce qui est visible et palpable à l’écran, avant de mesurer le fantastique et l’incompris de l’histoire. La foule qui s’entasse sur l’individu est caricaturée pour la compréhension globale. La confusion est l’indice qui conduira les victimes à se révolter et à s’unir pour vaincre ce qui doit être arrêté à tout prix. Le hors champ et le jeu d’acteurs insistent sur la menace réelle d’un personnage qui repose sur la peur avant même d’évoquer la violence qui finira par traverser les villages, l’un après l’autre.

    Ainsi, la mégalomanie de « L’Homme Invisible » aura raison de toutes les époques grâce à un discours universel, mêlant toutefois la petite pincée de rationalité qui conduit à la lecture de la conscience humaine à différents niveaux. Les effets visuels bluffent encore aujourd’hui, car l’atmosphère cynique règne et s’installe à chaque prise de parole de Griffin. Il semble omniscient et parvient à semer la terreur par là où il passe et par là où on ne l’attend pas. S’inscrivant dans une noble lignée de l’horreur fantastique, cette créature du mal est voilée par des ambitions humaines trop prétentieuses pour prétendre au rang divin qu’il convoite et la tragédie n’est jamais loin de son sillage.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    585 abonnés 2 756 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 août 2018
    Ce qui heurte lorsque l’on visionne L’Homme Invisible, c’est la fascination qu’exerce l’œuvre de 1933 sur un spectateur pourtant habitué aux effets spéciaux et aux récits de transformation. Subtile adaptation de l’œuvre de Wells qui privilégie l’action – ayant ici une forte dimension psychologique, grâce notamment à la puissance visuelle déployée – et réduit judicieusement les scènes de purs dialogues, le film mêle avec finesse épouvante, mystère et humour (le film est très drôle) au service d’une mise en scène dynamique qui va crescendo, traduisant l’entrée en folie de son protagoniste principal. Une date dans l’histoire du cinéma fantastique et, plus largement, dans l’histoire du cinéma. Chef-d’œuvre.
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