Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
S-Kayp
127 abonnés
1 186 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 31 décembre 2022
Vu en avant première. Ce film est magnifique, surtout quand aime les animaux. C'est une belle complicité entre le bébé dromadaire orphelin et le garçon. On a là une belle aventure avec certains passages qui sont émouvants. On s'attache vite à ce bébé dromadaire car il est trop mignon. Sans oublié la B.O. qui est top et qui a été faite par Mika.
Zodi, c'est un jeune nomade de 12 ans vivant dans le désert marocain et allant à l'école car sa maman y tient. Téhu, c'est le bébé dromadaire que Zodi trouve par hasard après la classe. Une relation fusionnelle débute alors entre eux. Lorsque Julia la vétérinaire passe dans leur village et explique à Zodi que cet animal est taillé pour courir, le destin de tout ce petit monde va radicalement changer. J'ai beaucoup aimé cette immersion au coeur des courses de dromadaires : ce fut pour ma part instructif et totalement insolite ! La présence lumineuse et enthousiasmante d'Alexandra Lamy est un véritable plus à ce long-métrage possédant un charme indéniable. Voilà une vraie plongée pittoresque dans un folklore méconnu, mise en valeur par un scénario cohérent et touchant : un divertissement cinématographique de bonne facture !! A découvrir sans hésiter ! Site CINEMADOURG.free.fr
Bon bon c'est un film classique dans le fond avec ce petit bonhomme qui ce lie d'amitié avec un animal comme on le voit assez régulièrement chaque année au ciné. Là ce sont le lieu et l'animal qui sorte du lot. Il y a forcément son lot de vilain pas beau, d'aventure , un chouia d'humour et beaucoup de bon sentiment. Malgré tout et même si, perso, un dromadaire je trouve pas cela...mignon de base, le duo est sympathique et on suit sans problème leur belle aventure avec de l'émotion sur la fin. Jolie!^^ NOTE : 6.5/10
Les gens aiment l'argent et tout ce qui rapporte de l'argent. Dans ce film, tout le monde s'arrache un dromadaire hyper rapide dans le but de le faire participer à des courses pouvant rapporter beaucoup d'argent. Un petit garçon nommé Zodi va se battre pour sauver son ami Téhu des griffes de ces gens. Eric Barbier reprend la recette classique des films "Beethoven" sauf qu'il remplace le chien par un dromadaire et place son histoire dans le désert. Un divertissement familial qui ne fait pas beaucoup d'effort pour aller chercher un public plus large. Les péripéties sont sans surprises et répétitives puisque le dromadaire est trimbalé à droite à gauche. On ne parle pas non plus de la crédibilité de l'histoire ou encore des personnages qui n'ont qu'un seul trait de caractère. Bref, Eric Barbier a fait beaucoup mieux dans sa carrière...
Un très bon moment de cinéma pour tous : les enfants comme les plus grands s'y retrouvent du début à la fin, cette dernière étant tant réaliste que touchante. À tous ceux qui aiment les animaux, divertissement assuré ! avec quelques bonnes leçons :-) de la vie...
Vu en avant première, film de très grande qualité , les enfants ont adoré ! Les plans sont magnifique, l'histoire un peu banale certes mais on n'en demande pas plus pour un film comme cela.
Vraiment sympa et dépaysant. Peu de suspense encore que le réalisateur n'est pas tombé dans la facilité pour la fin... Alexandra Lamy est toujours aussi rayonnante. Le jeune acteur tiré bien son épingle du jeu.
"Zodi et Téhu, frères du désert", comédie d'aventures française réalisée par Petit Pays, sortie en 2023. Un beau film pour toute la famille, bien réalisé par Eric Barbier (Petit Pays, 2019) , avec du voyage, de beaux paysages, une belle photo de Thierry Arbogast, une belle histoire avec de bons acteurs : le jeune Yassir Drief, Alexandra Lamy, Youssef Hajdi ou encore l'acteur marocain Anas El Baz. Une musique de Mika, avec parfois le choix peu judicieux selon moi de quelques rares chansons en anglais un peu yahourt qui n'ont que peu de rapport avec l'ambiance. Quelques images en animation numériques qui se voient un peu trop et créées un petit décalage. Mais c'est marginal, le film reste bon, très sympa et beau.
joli film plein d'émotions avec des paysages magnifiques qui nous fait découvrir les courses de dromadaires le petit garçon et son ami dromadaire forment un duo attachant un bon moment de cinéma familial
Les 30 premières minutes on peut longues sinon très bon film avec le jeune Yassir Drief et Alexandra Lamy ou le vétérinaire prend très soin du jeune Yassir et la fin du film est magnifique avec cette compétition.
Zodi et Téhu, frères du désert surprend par la grossièreté de son exécution qui enchaîne les séquences comme un industriel débite des boîtes de conserve : la gestion du temps est catastrophique, jamais pensée en termes esthétiques, occasionnant de nombreux décrochages et une ellipse disgracieuse (« un an après ») éludant ce qui aurait dû être montré, à savoir la domestication d’un animal sauvage par un enfant caractérisé par sa rébellion. De même, les rencontres vont trop vite : Zodi croise la route du dromadaire par un heureux hasard et décide aussitôt de l’adopter, ce qui occasionne une résistance lâche de la part de sa famille ; sa relation avec la vétérinaire surgit tel un deus ex machina, en réalité fil narratif usé que le réalisateur utilise dans l’espoir de dynamiser un récit prévisible. Pourtant, à mesure que le long métrage avance se redessine un cap : le divertissement familial semble délaissé au profit d’un message publicitaire émanant des Émirats arabes unis, puisque la course devient le prétexte à une vitrine dans laquelle exhiber la puissance du pays et, notamment, de sa capitale Abu Dhabi. La clausule, qui couvre Alexandra Lamy d’un voile, atteste d’ailleurs la victoire non de l’enfant mais de l’adulte émirati qui propose d’acheter l’animal contre une belle somme d’argent. Tout cela emmiellé dans un sentimentalisme forcé, tartiné de Nutella dont nous voyons longuement le pot dans lequel plonge un doigt comme dans la publicité consacrée. Zodi et Téhu, frères du désert serait alors un produit destiné à l’exportation, ou à l’importation de la culture émiratie en France. Et cela ne serait pas un problème si le film assumait pleinement ce statut, sans faire des familles venues suivre les aventures d’un jeune garçon les otages de placements idéologiques et économiques. Seule la partition musicale de Mika, qui signe également deux chansons, fonctionne, quoique desservie par un montage charcutier qui parfois la désynchronise de l’action représentée.