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    The King of New York
    Note moyenne
    3,5
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    165 critiques spectateurs

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    david suszynski
    david suszynski

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2024
    Ai revu ce chef d'œuvre d'Abel Ferrara
    Acteurs, réalisateur, image
    Sombre mais tellement bon
    Pour ceux qui ne connaissent pas allez y
    Une claque cine
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 décembre 2023
    « Who made you judge and jury ? »

    Film ancré dans la fin des années ’80, par sa musique et ses costumes, The King of New-York est aussi un film intemporel questionnant le bien, le mal et, surtout, la gigantesque palette de nuances qui baignent le fossé entre les deux rives, jusqu’à les submerger. Là où la plupart des films du genre prennent le parti de l’un ou l’autre, parfois jusqu’au binarisme fascisant, Abel Ferrara nous pose son histoire de façon hyperréaliste, sans jugement aucun, sans même esthétiser la violence qu’il filme pourtant sans concession. Il y a quelque chose de melvilien, de scorsesien dans sa façon de capter les moments d’humanité dans les débauches de coups de feu et les insultes, ce quelque chose qui préfigure Tarantino. Il y a aussi du Nietsche dans le nihilisme de façade proposé par le scénario.

    Ainsi, l’enfant du Bronx raconte son quartier, sa ville et ses anti-héros du quotidien, des bas-fonds au Plaza, des petites frappes hantant les couloirs du métro au parrain du trafic de drogue en passant par les policiers qui, pour certains, sont prêts à tout pour coffrer ce dernier et ses sicaires.

    Au-delà du bien et du mal, ce film puissant et magistralement réalisé, interprété à la perfection, notamment par Christopher Walken, a mérité son statut de film culte.
    Sosa
    Sosa

    7 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2022
    Le film pue vraiment les années 90, les coupes de chevaux, les vêtements.
    Il fait déjà daté.

    Assos 1905 de malfaiteurs, ripoux, trahison et Gun fight incompréhensible à foison sont présent.

    Un film pêchu mais peu percutant malgré la violence à outrance.

    On remercie Cristophet Walken, Fishburne Laurence forment un duo tonique. Victor Argo. acteurs aux charismatique qui portent le film à eux trois.
    L'homme Scan
    L'homme Scan

    3 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Il y a quelque scènes et dialogues qui sont amusantes mais c'est surtout absurde et invraisemblable.
    Cette histoire n'est pas crédible, et on s'ennuie très souvent.
    Hemisphere
    Hemisphere

    8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2021
    Un bon film de "gangsters" qui malgré une certaine originalité, tombe parfois dans le déjà vu. Les policiers prêts à mourrir pour éliminer White sont un peu cliché et exagérés, par la vertue fantaisiste que l'on tente de leur donner. Bref, le film tombe dans certains pièges mais reste toutefois agréable à regarder.
    Oblomov
    Oblomov

    2 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2021
    Le film n'est guère originale. L'histoire d'un gangster sortant de prison reprend du service dans la violence, des policier enquètes sur les agissement de ce gagngster. Cela rappelle les film des années 30 et 40 quand la grand mode étaient les film de gagnster. Bien sur le film finira par la chute de notre anti-héro.
    La réalisation est bien avec une athmosphère particulier. La photo également ou beaucoup de scène ont été filmer de nuit. Bon christopher Walken.
    Bon film, un des meilleurs de son auteur.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2021
    Un polar urbain à la fois déjanté, sombre et violent, porté par l'interprétation d'un énorme Christopher Walker.
    david di angelli david di angelli
    david di angelli david di angelli

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2020
    Magistral de bout en bout, ce chef d'œuvre d'Abel Ferrara reste un incontournable tant par l'immersion totale dans le monde de la maffia à laquelle il nous invite que par l'immense performance de Christopher Walken.
    Maxime R
    Maxime R

    50 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2020
    Alors là, je ne saurais vraiment dire pourquoi j'ai passé un bon moment, car ce film enchaîne les clichés et les caricatures grotesques(on a pas beaucoup envie d'en rire...) et il n'y a pas de suspense : si on a vu au moins deux films de gangsters dans notre vie, on sait très bien ce qui va se passer, c'est pour dire. De plus il n'y a pas vraiment de scénario, ce film n'est que succession de scènes ne menant quasi à rien d'intéressant.
    Malgré cela, on peut reconnaître une bonne photographie et une musique sympathique.
    Xavier d
    Xavier d

    8 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mai 2020
    Le film est à l'image de l'affiche, caricatural, surfait, lourd… Le scénario est pitoyable, certaines séquences n'en finissent pas, seul Christopher Walken sauve ce film en montrant tout son talent dans certaines scènes remarquable.
    Melvin Heurtebise
    Melvin Heurtebise

    1 abonné 55 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 février 2020
    Un fleuron d'acteurs jouant à merveille Walken (avec un sourire d'enfant c'est assez troublant vu que je le connaissais seulement pour sa danse de Fat boy slim) Caruso, Fishburne, Buscemi, Snipes etc

    Ambiance rap, run dmc, ll cool j sur fond de guerre de gang on dirait vraiment un grand theft auto avant l'heure ! Des gunfights aux petits oignons pour l'époque ça m'as espaloufé!

    Meilleure prestation de Laurence Fishburne confondu et l'ouverture est épique !
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 911 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2018
    Pour réaliser The King of New York, Abel Ferrara dispose pour la première fois d’un budget conséquent. En narrant l’odyssée d’un ange déchu, Lucifer de la pègre, voulant réhabiliter un hôpital de Harlem, il n’hésite pas à alterner violence et érotisme. Les images magnifiques, aux couleurs saturées et un choix musical percutant, contrastent avec des scènes d’un réalisme misérabiliste. Dans cette alternance du flamboyant au sordide, le bien et le mal s’imbriquent jusqu’à devenir les deux faces indistinctes d’une même pièce. Le match Christopher Walkens, Laurence Fishburne versus David Caruso, Wesley Snipes en est une belle illustration en explosant, pour mieux les mélanger, les codes moraux établis. Mystique et excessif, ce film baroque annonce déjà « Bad Lieutenant » que Ferrara réalisera deux ans plus tard. Pas un chef d’œuvre, mais, malgré ses défauts, un grand film qu’il faut avoir vu.
    Top of the World
    Top of the World

    54 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Dans une scène a priori anodine, deux gangsters regardent Nosferatu, de Murnau, au cinéma. Au moment où l'un s'apprête à partir, l'autre lui lance : "Tu devrais rester, ils passent Frankenstein ensuite !". Dans le film de Ferrara, Nosferatu le vampire est évidemment Frank White, parrain de la drogue tout juste sorti de prison et qui porte bien son nom puisqu'il est joué par un Christopher Walken opaque et hiératique, et dont les dents -évidemment- sont ce qu'il a de moins blanc. Le vampire, c'est celui qui s'abreuve du sang des autres, et ici White n'absorbe pas le sang mais adopte quelquefois les attitudes, les codes et les pas de danse (toujours avec une classe folle, charisme hypnotisant de Walken oblige) des Noirs, ses parfaits opposés. La créature de Frankenstein, elle, est la population new-yorkaise, Salad bowl dont les composantes se retrouvent presque toutes parmi les flics et les voyous : afro-américains, donc, mais aussi latinos, Italiens, Chinois, Irlandais... À partir de ces deux pôles, Ferrara réalise un film somnambulique et glacé, hanté par un goût du décadent et du dandysme assez somptueux. Même quand le film s'oriente davantage vers un registre plus classique de film de gangsters, sa violence radicale et sa stylisation formelle le maintiennent toujours à des hauteurs élevées, où trône donc le "King" Frank White, figure ambiguë, mi-ange mi-démon, en quête d'une étrange rédemption mais voué à une éternelle solitude.
    Dead-for-Someone
    Dead-for-Someone

    33 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    Film culte des années 90 dont j'ai souvent entendu parler et que j'avais
    hâte de voir. Le résultat n'est ps complètement décevant mais n'atteint
    pas mes espérances.
    Frank White est un patron de la mafia qui vient de sortir de prison. Son
    rêve est de fonder un hôpital grâce à son argent et d'aider les plus
    démunis. Mais ses habitudes de gangster vont reprendre le dessus et la
    police de New York est plus que décidée à en finir avec lui
    définitivement...
    La réalisation est bonne; le cadrage est bon, les mouvements fluides, la
    mise en scène correcte, les prises de vues ne sont pas désagréables mais
    manquent de charme et la profondeur de champ est bonne. C'est bien mais
    pas incroyable non plus.
    Le scénario est un film de gangsters assez classique, avec ses
    fusillades et ses règlements de comptes à tout va. Certaines scènes sont
    vraiment marquantes mais les autres se ressemblent trop. Le rythme est
    d'abord assez bon mais finit par trop ralentir, dans la dernière
    demi-heure notamment. Il n'y a pas beaucoup de clichés et les
    quelques-uns qui sont présents ne sont pas trop gênants. Il n'y a pas
    non plus d'incohérences majeures. Reste cependant de nombreuses lenteurs
    qui viennent gâcher l'histoire.
    Les acteurs sont globalement bons, Christopher Walken avec sa tête de
    psychopathe est toujours aussi charismatique.
    Les personnages ne sont pas tous très bien développés et ne sont donc
    pas très attachants.
    Les dialogues sont par contre très crus mais aussi assez attendus.
    La photographie est très belle; le film se passe quasiment de nuit mais
    la lumière et les couleurs sont de grande qualité.
    Le montage est trop lent même dans les scènes de fusillades.
    Les décors sont assez vides, les costumes assez réussis et la musique de
    Joe Delia (Body Snatchers, The Blackout) passe trop inaperçue.
    "The King of New York" est un film qu'il faut avoir vu car il est culte,
    mais qui a surtout pris un gros coup de vieux.
    Benjamin A
    Benjamin A

    647 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Avec The King of New York, son sixième film, Abel Ferrara signe une oeuvre violente où il nous immerge dans le milieu du crime organisé, ainsi que les hautes sphères politiques, de New York.

    Il reste surtout braquer sur Frank White, un gangster qui sort de prison et qui souhaite se mêler à la politique, malgré de nombreuses oppositions, qu'elles soient officielles ou non. Sans concessions, il propose une oeuvre d'une violence rare où vont se mêler trafic de drogue, tuerie, jungle urbaine, sexe, fusillade, course-poursuite ou plongée dans l'univers new-yorkais, que ce soit dans les bas-fonds ou les hautes sphères. Il montre, via un schéma assez classique, l'ascension d'un gangster, avec tout ce qui s'ensuit.

    La réussite de The King of New York se trouve surtout dans sa galerie de personnages, parfois pas loin de la caricature, et dans l'ambiance. C'est d'abord sur Frank qu'il s'attarde, gangster violent, ambigu et cynique, souhaitant financer un hôpital pour les enfants démunis tout en rêvant d'augmenter son pouvoir et de devenir le roi de New York. Autour de lui, tant dans ses associés que dans les flics, il dépeint des personnages avec cruauté, violence et sachant les rendre intéressant, voire même fascinant. Via eux, il propose une plongée dans une ville pourrie jusqu'à la moelle, où le vice et le péché sont à chaque coin de rue et chaque couche de la société tandis qu'il apporte une touche politique et sociétale et ne cherche pas à moraliser ou idéaliser un camp.

    Ferrara, en plus de dépeindre avec violence et intelligence la face cachée de New York, se montre particulièrement inspiré dans sa mise en scène où il met en place une ambiance glauque, violence voire même fascinante totalement prenante. L'oeuvre ne manque pas de tension et de moments forts, avec une puissance qui prend de plus en plus d'ampleur plus on avance dans le récit. Efficace dans la construction du récit, il met bien en place les différents éléments de la montée en puissance de ce gangster tandis qu'il montre un vrai savoir-faire derrière la caméra, tant dans le montage que la photo ou la direction d'acteur. Effectivement, Christopher Walken se montre habité par ce rôle froid et ambigu de criminel pensant agir pour le bien, tandis que les seconds rôles se fondent dans leurs personnages, que ce soit Wesley Snipes, Steve Buscemi ou même un Laurence Fishburne pratiquant un savoureux cabotinage.

    C'est donc au cœur d'un New York faisant office de ville du vice et du péché que nous immerge Abel Ferrara et il livre une oeuvre aussi violente que crue et totalement prenante, le tout emmené par un grand Christopher Walken.
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