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PS/ Préférez donc Citadel, ou Heartless du même genre bien qu'on s'éloigne du domaine scolaire, il est question de violence des jeunes in UK....L'un des 2 prenant une tournure fantastique, métaphorique, je ne dirais lequel ... . ;)

Je ne sais pas quel film à pomper sur l'autre sachant que tous 2 datent de 2013 mais les ados tueurs avec leurs sweat" capuche-qu'on-voit-pas-leurs-têtes" font largement penser à Citadel, ce dernier bien meilleur, bien que le fond est le même, la critique UK..Ce film se regarde mais il manque ce p'tit quelquechose qui en aurait fait un bon film...les 2 autres comments ont tout dit , pas lapeine d'en rajouter..je mets quand même un 3/5 d'encouragement pour la réalisation et la B.O ...

Robert Anderson un professeur se fait agresser en cour par un élève un geste qui va profondément le marquer, on le retrouve quelques mois plus tard toujours traumatisé, alcoolique, parano et va vivre son pire cauchemar.Le film se présente comme un home invasion ou plutôt ici un school invasion avec un scénario qui est bien trop léger et pas du tout développé on n'apprend rien ni la motivation ni l'identité des tueurs pourtant le réalisateur a déclaré avoir mis 2 ans pour écrire le script... Le film manque aussi d'intensité et de violence ce qui est bizarre pour ce genre de film ici pas grand chose n'est montré la plupart du temps les scènes sont suggérées mis à part une scène ou une fille se retrouve dans un sale état.Dans l'ensemble ce film est correct, se laisse regarder mais aurait pu être bien meilleur. 2,5/5

À l'image d'une société occidentale qui se délite, où tout fout le camp et où le nihilisme tend à devenir le crédo commun, l'école est devenue le lieu du conflit des générations. Pis, elle est le lieu de la désintégration des valeurs. Robert est un professeur de lycée qui est victime de la violence d'un élève, vexé par une vilaine note et des paroles un peu dures. Côté vie familiale ce n'est pas mieux, si bien qu'on peut le dire, Robert vit des moments difficiles. Un jour, l'école où il travaille est prise d'assaut par des gars qui ne sont pas venus jouer à la dînette...Concentré dans sa durée (1h15), le scénario rappelle souvent un Class 84 version année 2000. Roberts dénonce la barbarie naissante sans vraiment se focaliser sur elle, les raisons d'un tel déchaînement de violence restant une énigme. Très linéaire, pas tout à fait manichéenne, la démonstration peut apparaître tendancieuse voire excessive. Le portrait de ce père, qui tente de sauver sa fille de la mort comme pour se racheter, parvient néanmoins à le rendre touchant. Il est aussi le seul personnage qui jouit d'un certain fondement psychologique. Le problème avec F, c'est toutes les facilités utilisées par Roberts pour épouser les codes du film d'horreur. C'est agaçant. Les protagonistes prennent des décisions stupides, lesquelles les amènent irrémédiablement aux portes de l'au-delà. Trop simple, trop complaisant. Les quelques scènes de violence graphique (d'abord hors champs) disposent d'un excellent maquillage et le final est réussi bien que trop subit. La mise en scène est bonne mais sujette à des procédés qui tuent le métrage. Loin d'être un navet, le film est toutefois une désillusion. Dommage. 2/5