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    Edward Arnold

    État civil

    Métier Acteur
    Nom de naissance

    Günter Edward Arnold Schneider

    Nationalité
    Américain
    Naissance 18 février 1890 (New York City, NY, USA)
    Décès 26 avril 1956 à l'age de 66 ans

    Biographie

    Il fait sa première appartion sur les planches à l'âge de 12 ans en jouant Lorenzo dans une production d'amateur du Marchant de Venise au East Side Settlement House. Encouragé par le journaliste/dramaturge John D.Barry à poursuivre sa carrière d'acteur, il passe professionnel à 15 ans et rejoint le prestigieux Ben Greet Players peu de temps après. Il enchaîne les tournées avec Ethel Barrymore et Maxine Elliot puis travaille progressivement aux Chicago's Essanay Film Studios et aux New Jersey's World Studios pendant son adolescence.

    Après plusieurs saisons à Broadway, il fait ses débuts à l'écran en gangster dans Whistling in the dark en 1933 et à partir de cette date il cumule les tournages : Sutter's Gold, Come and get it la même année (1936) puis Toast of New York en 1937. Toutefois cette année marque aussi un bref arrêt dans sa carrière. Affublé du surnom "le poison du Box Office" (tout comme Joan Crawford et Katherine Hepburn), les producteurs ne s'arrachent plus ses prestations. Imperturbable, Arnold accepte quand même les rôles de second ordre jusqu'à sa mort.

    Arnold devient quand même l'acteur fétiche de franck Capra pour une trilogie succesive de films (1938, 1939,1941).

    Dans les années 40, il s'investit fortement dans la politique puis dans un radio d'anthologie Mr.President de 1947 à 1953. Il fut aussi, le co-fondateur de "I am an American Foundation", bureau pour la Permanent Charities Committee d'Hollywood, ai,si que le président de la guilde des acteurs de cinéma.

    Ses premiers pas à l'écran

    Okay America
    Okay America
    Date de sortie inconnue
    Je ne suis pas un ange
    Je ne suis pas un ange
    Date de sortie inconnue
    La Vie de Jimmy Dolan
    La Vie de Jimmy Dolan
    Date de sortie inconnue
    Roman Scandals
    Roman Scandals
    Date de sortie inconnue

    Ses meilleurs films et séries

    Sa carrière en chiffres

    24
    Années de carrière
    0
    Récompense
    43
    Films
    0
    Série
    0
    Nomination
    3,7 M
    Entrées ciné

    Genres de prédilection

    Comédie : 38 %
    Romance : 26 %
    Drame : 23 %
    Comédie dramatique : 13 %

    Ses stats sur AlloCiné

    0
    Vidéo
    3
    Photos
    0
    News

    A tourné le plus avec

    Tay Garnett
    Tay Garnett
    3 films
    Stanley Andrews
    Stanley Andrews
    3 films
    L'Homme de la rue (1941), Johnny Apollo (1940), La Vie facile (1937)
    Cary Grant
    3 films
    Donald Meek
    3 films
    Janie Gets Married (1945), Vous ne l'emporterez pas avec vous (1938), L'Or et la femme (1937)
    Charles Lane
    3 films
    Johnny Apollo (1940), Mr. Smith au Sénat (1939), Vous ne l'emporterez pas avec vous (1938)
    Jean Arthur
    3 films
    Mr. Smith au Sénat (1939), Vous ne l'emporterez pas avec vous (1938), La Vie facile (1937)
    Frank Capra
    3 films
    L'Homme de la rue (1941), Mr. Smith au Sénat (1939), Vous ne l'emporterez pas avec vous (1938)
    Tom Dugan
    3 films
    Match d'amour (1949), Le Démon du logis (1949), Johnny Apollo (1940)
    H.B. Warner
    3 films
    Tous les biens de la terre (1941), Mr. Smith au Sénat (1939), Vous ne l'emporterez pas avec vous (1938)
    Guy Kibbee
    3 films
    Design for Scandal (1941), Mr. Smith au Sénat (1939), La Vie de Jimmy Dolan (1933)
    Week-end au Waldorf (1945), Madame Parkington (1944), Design for Scandal (1941)
    Russell Hicks
    2 films
    Johnny Apollo (1940), Cardinal Richelieu (1935)
    Kismet (1944), Tous les biens de la terre (1941)
    Commentaires
    • Plume231
      Cardinal Richelieu (1935) de Rowland V. Lee [img]http://images.moviepostershop....[/img] Synopsis : Issu d'un lignage dont la noblesse était douteuse et affligé d'une soeur guettée par la folie, Armand de Richelieu commence sa carrière politique dans l'ombre de Concino Concini, le favori de Marie de Médicis. L'assassinat de ce dernier, sur ordre de Louis XIII, le relègue un temps dans son évêché crotté de Luçon avant un fulgurant retour en grâce qui fait de lui le véritable maître du royaume. Mais cette puissance lui vaut la haine des grands féodaux qui, fomentant une révolte, cherchent appui auprès du pape. Ces intrigues font vaciller le pouvoir du cardinal et mettent en danger la sécurité du royaume de France... [img]http://www.farrow-osullivan.co...[/img] Critique : Il était vraiment sympatoche ce Richelieu. Il réunissait les amoureux, se battait toujours et uniquement pour son roi et son pays jamais pour sa propre pomme, pardonnait aux conspirateurs, etc... Ouais, bon bref tout cela pour dire qu'on a affaire à une vision très hollywoodienne du fameux cardinal. Et pourtant les décors, le rythme, les acteurs, en particulier le comédien britannique George Arliss qui s'en donne à coeur joie dans le rôle-titre, font de ce film un spectacle très agréable à regarder. Une récréation, peut-être pas historique car ce serait un bien grand mot, bien plaisante. Note : 12/20 (***) [img]http://t1.gstatic.com/images?q...[/img]
    • Plume231
      Crime et châtiment (1935) de Josef Von Sternberg [img]http://www.doctormacro.com/Ima...[/img] Synopsis : Roderick Raskolnikov, brillant étudiant en criminologie doublé d'un écrivain, vit très mal de ne pas pouvoir subvenir aux besoins de sa famille. Quand il rencontre Sonya, une prostituée sous la coupe d'un prêteur sur gages, Roderick prend conscience que la loi ne devrait pas toujours s'appliquer à certaines personnes. Il lui vient alors l'idée de débarrasser le monde du prêteur sur gages et de sauver les vies de Sonya et de sa famille. Porphyre, l'inspecteur chargé de l'enquête sur la mort du prêteur sur gages, rencontre Raskolnikov et trouve un homme qui s'accroche avec beaucoup de froideur à son idée directrice mais qui est en réalité rongé par la culpabilité... [img]http://storage.canalblog.com/6...[/img] Critique : Ouais, ouais, ouais, je suis très loin d'être un grand spécialiste de Dostoïevski mais il ne faut pas forcément avoir BAC L+36 pour voir que son roman a été considérablement javellisé à la sauce hollywoodienne. Et même, si on oublie Dostoïevski, si on oublie que c'est une adaptation, en le prenant en tant que simple film c'est ennuyeux et pas crédible une seconde. On tente de nous faire croire qu'on est dans les bas-fonds de la Russie tsariste avec des costards élégants des années 30 et les décors sont constitués avec le minimum syndical (et même en-dessous!!!). Josef Von Sternberg est particulièrement pas du tout inspiré par le mauvais scénario et n'arrive jamais ne serait-ce à foutre une petite seconde ce qui fait la magnifience de ses grands films. Mais la grosse cata vient surtout des personnages, en particulier celui de Raskolnikov, et ce n'est pas l'interprétation outrée de Peter Lorre (un coup, je suis paniqué, la scène suivante, je suis cool, la scène d'après, je suis paniqué, ensuite je suis à nouveau cool etc..., quelle subtilité!!!) qui arrange l'affaire. Allez j'évite la bulle parce que la photo de Lucien Ballard et la bouille de Marian Marsh sont agréables à regarder, mais c'est vraiment parce que je ne veux pas mettre zéro. Note : 3/20 (*) [img]http://1.bp.blogspot.com/_zGre...[/img]
    • Plume231
      Je ne suis pas un ange (1933) de Wesley Ruggles [img]http://1.bp.blogspot.com/_tLG4...[/img] Synopsis : La belle Tira est danseuse et dompteuse de lions dans un cirque itinérant. Ses représentations attirent de nombreux spectateurs mais rien n'est assez bien pour cette voluptueuse et vénale féline... [img]http://upload.wikimedia.org/wi...[/img] Critique : Scénarisé, dialogué et interprété par Mae West, je m'attendais à plus de piquant et de sous-entendus dans les dialogues au vue de la réputation sulfureuse des films avec l'actrice. Peut-être que la censure est un peu trop passée par là... D'où une p'chtite pointe de déception mais ça m'empêche pas que le film soit divertissant de début jusqu'à la fin grâce à un casting impeccable. A ce niveau, le film tient surtout sur la personnalité unique de l'actrice. On peut noter aussi que son partenaire masculin qui n'est autre que Cary Grant montrait déjà de sa séduction et de son charisme monstrueux. Agréable. Note : 13/20 (***) [img]http://robie2008.files.wordpre...[/img]
    • Plume231
      Johnny roi des gangsters (1942) de Melvyn LeRoy [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : Johnny Eager vit une histoire d'amour avec la belle Liz. Johnny est un gangster, et Liz, la fille du sheriff qui envoya Johnny derrière les barreaux... [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Si le film n'évite pas quelques longueurs, on a affaire ici un bon film noir comme on savait si bien les faire à l'époque. L'idée de départ est excellente et même si elle n'est pas toujours exploitée de manière totalement convaincante le spectateur ne peut qu'être pris par l'histoire qui ne le ménagera pas en rebondissements. La mise en scène solide de Melvyn LeRoy emballe très bien le tout. Pour ce qui est du casting, Van Helflin fait un numéro d'homme cultivé alcoolique en plein dans le rôle à Oscar (qu'il a eu par ailleurs!) mais je préfère en toute franchise l'interprétation beaucoup plus nuancée de Robert Taylor ici d'un très grand charisme qui joue ici, avec peut-être celui de l'avocat véreux de "Traquenard", son plus grand rôle à travers ce "roi des gangsters". Et pour finir Lana Turner parvient sans mal à se faire remarquer aussi par sa beauté très photogénique. Bref, comme je le disais au départ un bon film noir. Note : 13/20 (***) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      Le Gangster de Chicago (1940) de Richard Thorpe et Victor Saville [img]http://img.over-blog.com/374x5...[/img] Synopsis : "Silky" Kilmount qui règne sur les distilleries Kilmount, applique les méthodes fortes pour diriger ses affaires. "Doc" Ramsey est son bras droit. Il a passé quelques années en prison à cause de son patron et il attend le jour où il pourra se venger. Un jour, Silky se trouve à la tête de l'héritage de son lointain cousin Lord Gorley et devient un véritable Lord anglais. Il se rend à Londres avec Doc, mais sa rusticité choque les Anglais. Son nouveau maître d'hôtel n'arrive pas à cacher son manque de manières... [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Encore une rareté inédite de Richard Thorpe découverte grâce aux bons soins de l'excellent Patrick Brion de son Cinéma de Minuit. Bon le bilan est plutôt moyen. Même si elle ne manque pas d'imprévus, l'intrigue est peu convaincante et cousue de fil blanc. On sent que l'ensemble est beaucoup forcé. De plus, une petite histoire d'amour dans tout cela (que voulez-vous c'est mon côté fleur bleue!) aurait rendu le film plus attrayant et moins sec. Mais la mise en scène est irréprochable et le trio Robert Montgomery (aux ricanements très amusants!)-Edward Arnold-Edmund Gwenn donne beaucoup d'émotions à leurs personnages. Pour tous les cinéphiles bercés un peu trop près du mur. Note : 11,5/20 (***) [img]http://www.cinemotions.com/scr...[/img]
    • Plume231
      test
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