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    Basic Instinct : si vous êtes en famille, n'appuyez pas sur pause à 27 minutes et 39 secondes
    Clément Cuyer
    Clément Cuyer
    -Journaliste
    Clément Cuyer apprécie tous les genres, du bon film d’horreur qui tâche à la comédie potache. Il est un "vieux de la vieille" d’AlloCiné, journaliste au sein de la Rédaction depuis maintenant plus de deux décennies passionnées. "Trop vieux pour ces conneries" ? Ô grand jamais !

    Si vous avez vu le sulfureux thriller "Basic Instinct" de Paul Verhoeven, alors vous vous souvenez forcément de la scène culte de l'interrogatoire. Et de ce plan qui a tant fait parler... (Attention : cette news est à réserver à un public averti)

    ATTENTION : cette news, qui évoque un passage très sulfureux de "Basic Instinct", est à réserver à un public averti.

    Le sulfureux thriller Basic Instinct, sorti en salles en 1992, est jalonné de scènes culte. Mais si on devait n'en choisir qu'une seule dans le classique de Paul Verhoeven, ce serait sans nul doute celle-là : la célèbre séquence de l'interrogatoire, qui voit la romancière Catherine Tramell (Sharon Stone) confrontée à plusieurs policiers et à l'inspecteur Nick Curran (Michael Douglas).

    Basic Instinct
    Basic Instinct
    Sortie : 8 mai 1992 | 2h 10min
    De Paul Verhoeven
    Avec George Dzundza, Jeanne Tripplehorn, Denis Arndt
    Presse
    2,0
    Spectateurs
    3,8
    Streaming

    Dans cette scène intense et troublante, la manipulatrice Catherine Tramell, soupçonnée d'avoir tué une rock-star, joue la carte du charme et de la provocation devant des forces de l'ordre qui n'arrivent pas du tout à la cerner. Le moment le plus marquant de cet interrogatoire sous haute tension ? Il survient précisément au bout de 27 minutes et 39 secondes de film...

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    A ce moment précis, vous le savez sans doute, Catherine Tramell croise et décroise les jambes, laissant apercevoir qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Une nouvelle provocation qui laisse sans voix l'auditoire, et notamment John Correli (Wayne Knight). Pour la petite histoire, cette scène, moment culte du septième art, a été censurée aux Etats-Unis.

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