Quiz Cinéma : 11 images, 11 films à reconnaître !
Maximilien Pierrette
Journaliste cinéma - Tombé dans le cinéma quand il était petit, et devenu accro aux séries, fait ses propres cascades et navigue entre époques et genres, de la SF à la comédie (musicale ou non) en passant par le fantastique et l’animation. Il décortique aussi l’actu geek et héroïque dans FanZone.
Co-écrit avec :
Marine de Guilhermier

Il y a tout pile 20 ans sortait "The Machinist" avec un Christian Bale méconnaissable. L'acteur est d'ailleurs un habitué des transformations physiques, comme vous pourrez le constater dans ce quiz où ils vous faudra reconnaître 11 de ses films.

28 ! C'est le nombre de kilos perdus par Christian Bale pour incarner le héros de The Machinist, un ouvrier d'usine qui n'a pas dormi depuis un an. Une transformation incroyable pour le comédien qui n'hésite jamais à prendre ou perdre du poids pour des rôles, au risque de mettre en danger sa santé.

The Machinist
The Machinist
Sortie : 19 janvier 2005 | 1h 42min
De Brad Anderson
Avec Christian Bale, Jennifer Jason Leigh, Aitana Sánchez-Gijón
Presse
3,8
Spectateurs
4,0
Disponible sur MAX

A l'occasion des 20 ans du film de Brad Anderson, nous vous proposons donc de revenir sur la carrière de son acteur principal en essayant de reconnaître 11 de ses films où il arbore des looks très différents. Mais avant ça, voici quelques anecdotes sur The Machinist.

Le saviez-vous ?

Prêt à tout

Pour jouer le rôle principal, Christian Bale a donc perdu près de 30 kilos en trois mois. Selon Brad Anderson, "il s'est affamé, épuisé, pour approcher l'état d'esprit de son personnage. (...) C'était parfois un peu effrayant." Et de poursuivre : "J'ai insisté pour qu'il soit suivi médicalement. (...) Parfois, pour mieux jouer une scène il s'empêchait de dormir durant les deux nuits précédentes."

USA-Europe : une question de nuance

Le film a été produit en Espagne, aucun des grands studios hollywoodiens ne voulant s'engager sur le projet. Le réalisateur Brad Anderson explique qu'en Europe, il a trouvé des interlocuteurs plus ouverts : "En Europe, le cinéma est encore une affaire de création, à la différence des Etats-Unis où la prise de risque ou le parti pris artistique ne signifient plus grand chose - il faut d'abord nourrir l'industrie. Je crois que, par tradition, les Européens sont plus réceptifs à la nuance, à des récits qui sortent un peu de la norme basique tant dans leur traitement que dans leur contenu."

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