L’Homme qui rétrécit
Le parcours d’un homme ordinaire partageant sa vie entre son entreprise de construction navale et sa famille. Confronté à un étrange phénomène météorologique inexpliqué à l’occasion d’une sortie en mer, il se met à rétrécir inexorablement, sans que la science ne puisse l’expliquer. Soudain, il se retrouve prisonnier de sa propre cave alors qu’il ne mesure plus que quelques centimètres. Il va désormais devoir se battre pour survivre dans cet environnement banal devenu hostile. Lors de cette expérience, Paul va se retrouver confronté à lui-même, à son humanité, et tentera de répondre aux grandes interrogations de l’existence.

C’est l’un des événements de l’année : Jean Dujardin dans la peau d’un homme qui rétrécit, passant ainsi d’1 mètre 82 à 1 centimètre, dans ce remake du classique de Jack Arnold de 1957, lui-même basé sur le roman de science-fiction de Richard Matheson publié en 1956.
Cette fois, c’est donc le Français Jan Kounen qui se met aux commandes de cette nouvelle adaptation qu’il décrit comme “un film d’aventures et un drame métaphysique” qui parle “de survie, mais aussi de la résilience, de l’acceptation et de l’impermanence des choses” : “un voyage initiatique” selon ses propres mots. L’Homme qui rétrécit marque les retrouvailles du cinéaste et de Jean Dujardin, 18 ans après leur collaboration dans 99 francs (2007) – et c’est là aussi la seconde fois que Jean Dujardin rétrécit pour les besoins d’un film après la comédie romantique Un Homme à la hauteur (2016) !
Coécrit par Jan Kounen et Christophe Deslandes, le long métrage met également en scène Marie-Josée Croze.
L’Homme qui rétrécit sort dans nos salles le 29 octobre 2025.
De Gaulle
Juin 1940. Un général inconnu refuse de voir son pays vaincu par l’Allemagne nazie. Il rejoint Londres sans appui, sans troupe, sans mandat. Il défend envers et contre tous, ennemis et alliés, l’idée d’une France libre. Quelques hommes le rejoignent et engagent leur combat. À Paris et à Lyon, de jeunes lycéens intrépides inventent leur lutte contre l’occupant… Le diptyque retrace la vie et l’engagement politique de Charles De Gaulle de 1940 à 1945, jusqu’à son évolution vers une carrière politique.

Le Général De Gaulle sous un nouvel angle : voilà ce qui nous attend dans ce biopic en deux parties qui promet donc un point de vue inédit sur cette figure légendaire de notre Histoire. Cette nouvelle vision nous est proposée par le réalisateur Antonin Baudry (Le Chant du loup), qui co-signe également le scénario avec Bérénice Vila. “C’est De Gaulle vu de Londres, sur la période de 40 à 44”, précise le cinéaste dont le projet se base principalement sur le livre de l’historien britannique Julian T. Jackson, De Gaulle : Une certaine idée de la France.
Dans le rôle clé, on retrouve Simon Abkarian (Le Quatrième mur, Kaboul Kitchen) et à ses côtés, Niels Schneider, Thierry Lhermitte, Karim Leklou, Anamaria Vartolomei ou encore Benoît Magimel sont là pour le soutenir dans cette entreprise de grande envergure.
De Gaulle sort dans nos salles courant 2025.
Moi qui t’aimais
Ils se sont aimés devant les yeux de la France charmée par leurs charismes respectifs : Yves Montand et Simone Signoret, que tout semblait tout d’abord opposer, ont formé pendant plus de trente-cinq ans l’un des couples les plus mythiques du cinéma français. Voici le récit d’une histoire d’amour puissante et éternelle.

On l’attendait depuis longtemps, lui qui a changé de réalisateur et de casting auparavant, mais après plus de 10 ans de haut et bas, d’incertitude et de combats, le voilà enfin prêt à nous épater : c’est le biopic sur l’idylle légendaire entre Yves Montand et Simone Signoret qui sort enfin cette année.
L’histoire mythique du couple est ici mis en scène par la réalisatrice Diane Kurys (Pour une femme) qui n’en est pas là à son premier biopic : en effet, elle a déjà Sagan en 2008. Et qui pour incarner les deux icônes du cinéma ? Roschdy Zem et Marina Foïs, qui ont d’ailleurs déjà collaboré dans Happy Few en 2010 ainsi que pour la Cérémonie des Césars en 2021 : un duo intrigant et fascinant attendu au tournant.
Moi qui t’aimais sort dans nos salles le 1er octobre 2025.
Kaamelott - Deuxième volet
La suite des péripéties du roi Arthur alors que des fantômes font désormais partie de l’aventure et que la transformation physique progressive de Lancelot, l’ennemi juré du héros, est entamée. Un château en partie détruit, un royaume à reconstruire et peu d’alliés pour le défendre. Et visiblement, cela n’est pas prêt de s’arranger…

Notre roi Arthur national et éternel est de retour cette année, quatre ans après Kaamelott – Premier volet ! Deuxième partie d’une trilogie, cette suite n’est donc pas la dernière mais marque bien le début de la fin : “Ça finit en sentant le roussi…”, annonce Alexandre Astier (via Première) et nous ne voudrions pas qu’il en soit autrement !
Et la suite, Alexandre Astier l’a teasé au micro de France Info : “Ça parle toujours de Kaamelott. Disons qu’Arthur a monté sa table ronde maintenant. Donc il y a des gens à la table ronde et comme le premier volet l’a présenté, il y a des anciens et des nouveaux, il y a des jeunes gens, des frais et des moins frais. Tout ce monde là doit faire ce qu’un chevalier doit faire, c’est-à-dire se distinguer par un fait d’arme et une aventure personnelle. Il va partir de la table ronde, vivre quelque chose et revenir. Donc voilà, ce sont tous ces gens là qui partent. On a beaucoup de décors et beaucoup d’endroits différents.”
Tourné en même temps que le troisième opus – que l’on peut espérer dans les cinémas en 2026 –, l’ampleur du projet est donc immense, le réalisateur ayant lui-même dit qu’il irait “plus loin” dans le côté spectaculaire de saga désormais légendaire. L’impatience est à son comble.
Kaamelott - Deuxième volet sort dans nos salles le 22 octobre 2025.
13 jours, 13 nuits
Kaboul, 15 août 2021. Alors que les troupes américaines s’apprêtent à quitter le territoire, les Talibans prennent d’assaut la capitale et s’emparent du pouvoir. Au milieu du chaos, le commandant Mohamed Bida et ses hommes assurent la sécurité de l’ambassade de France, encore ouverte. Pris au piège, le commandant Bida décide de négocier avec les Talibans pour organiser un convoi de la dernière chance avec l’aide d’Eva, une jeune humanitaire franco-afghane. Commence alors une course contre la montre pour conduire les évacués jusqu’à l’aéroport et fuir l’enfer de Kaboul avant qu’il ne soit trop tard.

“D’après l’incroyable histoire vraie du commandant Mohamed Bida” : voilà qui annonce la couleur. Adapté du roman autobiographique de l’homme en question, 13 jours, 13 nuits dans l’enfer de Kaboul, le film d’action et thriller promet un récit héroïque en plus d’une leçon d’humanité et de résilience, sur grand écran cette fois.
C’est une année importante pour Roschdy Zem qui, en plus d’incarner Yves Montand dans Moi qui t’aimais donc, prendra aussi les traits de ce commandant hors du commun. Et pour le diriger : Martin Bourboulon à qui l’on doit l’immense triomphe des Trois Mousquetaires. Roschdy Zem partage ici l’affiche avec Lyna Khoudri, qui retrouve donc le réalisateur après avoir incarné Constance dans D’Artagnan et Milady, mais aussi Sidse Babett Knudsen et Christophe Montenez de la Comédie-Française : autant d’ingrédients qui semblent annoncer un autre succès.
13 jours, 13 nuits sort dans nos salles courant 2025.
Et n’oublions pas : Vie privée (avec Jodie Foster), Marcel et Monsieur Pagnol, Le Dernier Souffle, Toutes pour une, Les Musiciens, La Petite dernière, Spectateurs !, Mercato, Partir un jour et Coutures (avec Angelina Jolie).
Découvrez les 25 films à voir au cinéma en 2025 ! Vous les attendez, ils vous surprendront et feront l’actualité de vos salles dans les semaines et mois à venir.