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    Ce que pense la presse US de "The White Queen"

    Co-production anglaise et américaine, "The White Queen", déjà diffusée sur la BBC, fait ses débuts sur la chaîne Starz. Découvrez ce que les journalistes américains en ont pensé !

    © Company Pictures

    Synopsis : En 1464, l'Angleterre est en guerre depuis neuf ans. Deux familles, les York et les Lancaster, s'opposent violemment pour s'emparer du trône. Entre manigances, déceptions et trahisons, trois femmes - Elizabeth Woodville, Margaret Beaufort et Anne Neville - vont avoir un rôle déterminant dans l'Histoire. Chacune va défendre à sa façon sa cause et celle des êtres aimés.

    Créée par Emma Frost

    Avec Rebecca Ferguson, Amanda Hale, Aneurin Barnard ...

    Date de lancement aux Etats-Unis : le samedi 10 août 2013.

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    Les critiques

    Selon le San Francisco Chronicle :

    "Cela ne vaut pas des productions comme Borgias et Les Tudors, mais elle possède un Irons, qui, avec le reste du casting, fait de The White Queen un divertissement sur une période de l'histoire anglaise compliquée et fascinante." 4

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    Selon TV Guide :

    "Tel un classique de la littérature sous stéréoïdes, la série historique de Starz en dix parties The White Queen se compose d'intrigues royales et romantiques, alourdies par l'ampleur d'un programme de chaîne cablée." 3,5

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    Selon le Washington Post :

    "La minisérie en dix parties retrace la bataille pour le pouvoir dans l'Angleterre de 1464, quand les maisons de Lancaster et d'York s'affrontaient pour le trône. Même si la série traîne en longueur lorsqu'elle traîte les aspects politiques de la bataille, elle se révèle également distrayante grâce à ses coups dans le dos, et également ses coups de couteaux, entre des gens supposément proches." 3,5

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    Selon Variety :

    "La mini-série comporte plus qu'il n'en faut de scènes dénudées et de trahisons, tout en insistant sur la pression reposant sur les femmes de produire des héritiers mâles. Ceci étant dit, il s'agit d'une élégante acquisition pour Starz, même si l'imposante galerie de personnages a tendance à se réduire lors des derniers épisodes." 3

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    Selon le Boston Globe :

    "Situé durant les tensions politiques de l'Angleterre du 15ème siècle, The White Queen s'embourbe trop dans le mélodrame. Par moments, l'ensemble ressemble à un condensé réchauffé des relations entre têtes couronnées et courtisans qui discutent politique à leurs voisins - ou, plus précisemment, comme il s'agit de Starz, la chaîne de Spartacus, leurs voisins dans le lit." 3,5

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    Selon The New York Times :

    "Une bataille générale sans fin pour un trône dans un pays pré-moderne, mais sans les batailles et la perversité. Voilà comment décrire The White Queen (...). De quoi en conclure qu'il fallait un Game of Thrones plus distingué pour que les femmes regardent ?" 3

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    Selon le Miami Herald :

    "La série s'incrit dans un genre qu'on pourrait appeler "Coucher & Décapiter", dans lequel des costumes luxueux et membres divers volent dans toutes les directions pendant que de belles têtes couronnées couchent ensemble et s'étripent les uns les autres, pas forcément dans cet ordre. Les Tudors, les Borgias, et même (...) Game of Thrones, la télévision en est remplie. Et dans cette catégorie, on peut faire pire que The White Queen." 3

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    Selon le Philadelpha Inquirer :

    "Le problème avec The White Queen, c' est son rythme, ralenti par une exposition lourdingue et trop de complots sanglants (...) Mais les splendeurs royales et les intrigues de jeunes nobles peuvent vous emporter." 3

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    Selon le Los Angeles Times :

    "Il y a beaucoup de scènes puissantes dans The White Queen, des moments qui illustrent l'époque et notamment comment le corps d'une femme est à la fois son plus grand outil et sa propre prison; un homme peut contrôler son destin grâce à son esprit ou son épée, une femme ne peut le faire qu'en couchant. (...) Malheureusement, elles sont accompagnées par des clichés médiévaux brouillons." 2,5

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    Selon le Pittsburgh Post-Gazette :

    "Même si ce style de programme n'est pas très frais, cela ne le rend pas pour autant sans intérêt; mais là où certains téléspectateurs ressentent de la lassitude après un énième dérivé des Experts, les gens qui aiment les drames costumés peuvent ressentir de l'exaspération avec cette nouvelle série dans la veine des Tudors." 2,5

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