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    Avarice, luxure, envie, colère... Les 7 péchés capitaux envahissent le cinéma !
    Olivier Pallaruelo
    Olivier Pallaruelo
    -Journaliste cinéma / Responsable éditorial Jeux vidéo
    Biberonné par la VHS et les films de genres, il délaisse volontiers la fiction pour se plonger dans le réel avec les documentaires et les sujets d'actualité. Amoureux transi du support physique, il passe aussi beaucoup de temps devant les jeux vidéo depuis sa plus tendre enfance.

    Dans "Radin !", Danny Boon porte l'avarice au sommet avec un personnage ayant de gros oursins dans les poches... Prétexte à passer en revue les 7 péchés capitaux aux coeurs de certains films.

    MGM

    L'Orgueil : Jack la Motta dans "Raging Bull"

    Orgueil : Sentiment exagéré de sa propre valeur, estime excessive de soi-même, qui porte à se mettre au-dessus des autres, que l'intéressé méprise.

    Dans cette optique, Jack la Motta se pose là. "I Can Take More Than Anybody !" lâche le taureau du Bronx masochiste, convaincu de sa supériorité sur le ring. Et même en prison, il ne cesse de se répéter : "c'est moi le patron !", en frappant le mur de ses poings avec rage.

    Autres candidats : Jordan Belfort dans Le Loup de Wall Street; George Valentin alias The Artist, convaincu de sa supériorité face à la déferlante des films parlants, quitte à finir ruiné et au bord du suicide; Daniel Plainview dans There Will Be Blood, pour qui "les gens ne sont pas dignes d'être aimés"; le personnage d'Aguirre dans Aguirre, la colère de Dieu...

     

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