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    Avarice, luxure, envie, colère... Les 7 péchés capitaux envahissent le cinéma !
    Olivier Pallaruelo
    Olivier Pallaruelo
    -Journaliste cinéma / Responsable éditorial Jeux vidéo
    Biberonné par la VHS et les films de genres, il délaisse volontiers la fiction pour se plonger dans le réel avec les documentaires et les sujets d'actualité. Amoureux transi du support physique, il passe aussi beaucoup de temps devant les jeux vidéo depuis sa plus tendre enfance.

    Dans "Radin !", Danny Boon porte l'avarice au sommet avec un personnage ayant de gros oursins dans les poches... Prétexte à passer en revue les 7 péchés capitaux aux coeurs de certains films.

    Madeleine Films

    La Paresse : "Alexandre le bienheureux"

    Paresse : Comportement de quelqu'un qui répugne à l'effort, au travail, à l'activité ; goût pour l'oisiveté, plutôt que de se faire violence pour remplir ses devoirs.

    L'exemple pour ce péché capital est tout trouvé; tellement même qu'on se demande s'il n'a pas été inventé pour lui : Alexandre le bienheureux. Lorsque sa femme meurt, Alexandre décide de se consacrer à sa grande passion: la paresse. Il se couche pour plusieurs semaines. Son chien lui rapporte les provisions que lui sert la jolie Agathe, qui finit par le séduire. Mais, au moment de l'épouser, il se ravise, sa liberté et sa paresse risquant d'être compromises...

    Autre éloges de la paresse : Bof..(anatomie d’un livreur), dans lequel un livreur et sa famille élargie vivent sous le même toits... Et restent inactifs. Ou encore citer Cameron (Alan Ruck), le meilleur pote de Ferris Bueller.

     

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