Derniers Avis : Pulp Fiction - Page 10

Tarantino à bien su secouer la pulp dans cette fiction ou il nous emmène dans un monde taillé au papier millimétré et a fait monter l'adrénaline mené par des actrices(eurs)excellent dans ce film avec un zest de violence contrôlé ou gratuite .Tres bon film.

Énormément de mal avec ce film pourtant si adoré. Film culte d'une génération qui n'est pas la mienne probablement. Cependant les dialogues et la BO sont tops

Je me suis ennuyé du début jusqu'à la fin,l'un des pires films que j'ai jamais vu. Ce film est sale.

Je vais faire court car comme à l'image de Django Unchained je n'ai aucune originalité. Aucun intérêt à rabâcher ce qui a été dis des milliers de fois. Le film est un pur régale. Il est ultra riche que ce soit en réf, dans l'histoire, la mise en scène, le jeu d'acteur, la tension, l'humour, les dialogues.... BREF
Un très grand film, vraiment génial et culte qui mérite d'être vu ne serait ce qu'une fois dans une vie.

le meilleur film de Tarantino .
les acteurs sont parfaits.
a voir et revoir c est un classique .

palme d or méritée

J'ai revisionné ce film que j'avais complétement oublié, et j'ai été déçu.
Certes on y trouve de bons acteurs, un côté fun et artistique (une très bonne bande originale) mais alors niveau scénario, c'est pauvre, pas accrocheur du tout. On a vu nettement meilleur et bien plus prenant depuis dans le genre...
C'est long à démarrer, on attend voir ce qu'il va se passer pendant une heure, et à part quelques faits, il ne se passe pas grand chose, des scènes ennuyeuses et sans intérêt qui sont trop longues.
Car en fait, il n'y a pas vraiment d'histoire dans ce film, seulement des fais plus ou moins liés par les différents personnages, ce qui fait qu'on arrive à s'ennuyer.
Dommage car l'ambiance et le côté décalé est sympa, on adore Travolta dans ce rôle mais ça ne suffit pas pour en faire un grand film...

Vu le 10/05/2021.
Bon, je ne vais pas y aller par 4 chemins, j'ai 44 ans et je n'avais encore jamais vu "Pulp Fiction", eh oui, ça parait curieux mais c’est vrai. Alors j'ai profité qu'il repasse sur RTL9 pour me dire, "cette fois, il faut que je vois ce film culte, récompensé aux Oscars, à Cannes, etc... "
Au final, je vais pas y aller par 4 chemins "c'est de la merde!!!", voilà comme ça au moins c'est dit!
Non franchement, on parle de chef d’œuvre mais c’est une farce sinistre d'appeler ce film ainsi, c'est juste qu'il est célèbre parce qu'il a été le premier a faire du postmoderne avec des images qui scènes décalées qui s'imbriquent les unes dans les autres. Pour le coup, je préfère nettement regarder "Cloud Atlas" plutôt que ce truc.

Bon, y'a quand même des bons points sur ce film. Tout d'abord le casting qui est quand même 5 étoiles et qui a relancé la carrière de certains comme Travolta (Vincent) ou Willis (Butch) et qui renferme quelques pointures comme Jackson (Jules), Thurman (Mia), Rhames (Marsellus), Keitel (Wolf) ou même Arquette (Jody) et Walken (Koons) dans des rôles plus mineurs. Ensuite certaines scènes sont mythiques comme le twist que je trouve bien mené entre Mia et Vincent. Et puis j'ai bien aimé les dialogues, dans certains films les dialogues sont affligeants, ici on a une belle continuité, certaines réflexions assez profondes et je les trouve vraiment bien construits. Voilà, j'ai distribué mes 2.5 étoiles.

Parce que pour le reste, on a quand même de sacrés daubes. Déjà la première chose qui me vient à l'esprit quand je termine le film, c’est "Tarantino est un odieux pervers" ou alors il a été violé étant petit, a subi des sévices à la récréation, était le souffre-douleur pendant toute sa scolarité, je sais pas moi mais pour inventer des scènes aussi noires, faut être quand même un peu dérangé. Je plains quand mème ce garçon, sincèrement...
Par ex, la scène du viol de Marsellus, c'était bien la peine de mettre ça franchement, ça apporte quoi au film? Ou le dénommé Brett qui est abattu à bout portant par Jules et Vincent, de quoi? 10?12 balles? ça sert à quoi? surtout que le Jules se permet de citer la Bible avant d'abattre un gars à bout portant alors qu'il est désarmé, c’est quoi la morale? c’est bien la peine de se repentir en laissant deux escrocs s'enfuir ensuite.
Et puis la scène où Butch rentre chez lui pour aller chercher sa montre, il prend des céréales fait tout un boucan et ensuite on a Vincent qui sort des toilettes, il avait rien entendu le gars? il sort des chiottes sans avoir entendu qu'à deux mètres de lui, le proprio était rentré? et il laisse son flingue comme ça dans la cuisine? Complètement aberrant comme comportement.
Je passe sur les scènes qui n’apportent strictement rien au film comme le diner entre Vincent et Mia qui savent pas quoi se dire, ou le capitaine Koons qui dit qu'il s'est mis une montre dans le fion, ça a un quelconque intérêt ça? et je parle même pas de la dénommée Fabienne (Maria de Medeiros) qui joue une nana complètement débile et stupide à qui il faut tôt expliquer, je me demande ce que Butch fait avec elle, non mais sérieux, c’est elle qu'il aurait fallu descendre en fin de compte. ou encore la blague de Mia sur les tomates, non mais franchement, on dirait une blague de maternelle, c’est ça le talent de Tarantino?

Voilà au final, un film très moyen, je mets 2.5/5 parce que je suis bon et généreux mais franchement, je hais Tarantino en tant que réalisateur, ce mec devrait consulter, c’est pas possible autrement, violence gratuite, sauvagerie, aucune morale...

Culte. Tout simplement. Culte était la raison pour laquelle je voulais voir "Pulp Fiction". Mais culte était aussi la raison pour laquelle j'avais peur de voir "Pulp Fiction". Peur de ne pas m'y retrouver dans le délire du film, peur d'avoir le ressenti d'avoir gaspillé 12 balles en achetant le Blu-ray, peur de faire parti des hostiles à ce film. Mais grand mal m'a prit : c'est Tarantino derrière tout ça, et Tarantino, j'aime. Je dirais même que j'adore. Et "Pulp Fiction" sonne comme étant la quintessence de son cinéma, c'est donc naturellement que c'est devenu ma nouvelle œuvre préférée du réalisateur (que d'originalité dont je fais part !). Quel pied de regarder ce film et se prendre des avalanches de dialogues stratosphériques qui rend Tarantino si génial, quel pied d'être noyé sous des performances d'acteur qui rivalisent en perfection (la palme revenant à John Travolta bien sûr, mais Samuel L. Jackson, Uma Thurman, Bruce Willis, Harvey Keitel, tout le monde déchire), quel pied de se balader dans la narration non-linéaire du film qui est à la fois complexe, dense pais pourtant assez facile de s'y retrouver pour un scénario incroyablement bien ficelé. Je ne saurai décrire mon enthousiasme envers "Pulp Fiction" avec des mots, il faut le voir pour le croire. Moi-même je n'y croyait pas avant de me lancer dans le film, mais j'en ressors chamboulé. Ça arrive à être à la fois hilarant, violent, sombre, émouvant ( spoiler: la scène de danse entre John Travolta et Uma Thurman, très lourde de sens pour le personnage de cette dernière
) et extrêmement intelligent ( spoiler: voir Samuel L. Jackson claquer de la philosophie en calbute en pointant son flingue contre Tim Roth, ça c'est un final !
). Rassurez-vous : si le film est aujourd'hui considéré comme l'une des plus grandes œuvres de l'histoire du Cinéma avec un grand C, c'est pour une bonne raison. Voilà un chef-d'œuvre à revoir plusieurs fois en version longue pour capter toute son intelligence, mais dont le génie de la mise en scène -le génie tout court même- saute aux yeux rien qu'au premier visionnage. C'est splendide.

Bon bas un chef d'oeuvre évidemment ! Pulp fiction est un classique du cinema et tarantino est un realisateur de legende ! Un film avec des musique genial et une intrigue prenante ! A voir ABSOLUMENT !

L’histoire conjointe de plusieurs protagonistes mafieux qu’une mystérieuse mallette et son commanditaire réunissent dans trois histoires prenant place dans les états unis des années 90…

Second film de Quentin Tarantino, il sera celui qui remportera contre toute attente la palme d’or en 1994. Il est à ce jour connu comme la palme d’or de Cannes la plus réjouissante depuis des années. Considéré presque instantanément comme un film culte, Pulp Fiction est résolument étrange autant par sa forme que par son scénario. La première chose qui vient à l’esprit lorsque l’on finit ce film est tout d’abord la volonté de l’auteur de ne pas respecter une temporalité suivie. En effet, les flashbacks sont nombreux et il faudra quelques minutes au spectateur pour reconsidérer ce film dans son ensemble d’une manière chronologique. L’auteur de par cette volonté s’affranchit d’une manière assez singulière de la mort des personnages vu que de tels procédés permettent de fait de voir certaines figures pendant toute la durée du film tout en se permettant de les faire mourir au beau milieu de l’œuvre.
Très malin dans son casting, il va mettre en avant quatre acteurs qui deviendront des incontournables du septième art pendant la décennie suivante. Samuel L Jackson (presque inconnu en 1994), Harvey Keitel (Reservoir dogs, Taxi driver), Uma Thurman (en jeune première fascinante dans son rôle de junkie), Bruce willis en boxeur revanchard, et enfin John Travolta exhumé des années 70… Nous citerons pèle mêle l’apparition de Christopher Walken, Quentin Tarantino lui-même (très bon d’ailleurs), Éric stolz en dealer et sa femme Rosanna Arquette, Steve Buscemi en serveur presque méconnaissable…

Pulp fiction est aussi très habile dans sa mise en scène. Oscillant entre les moments calmes (comme dans le restaurant) et devenant tout à coup beaucoup plus vif voir même parfois brutal, il ne laisse au final qu’assez peu de répit au spectateur constamment pris à contrepied par les évènements chaque fois plus délirants auxquels les protagonistes sont confrontés. Même quand il est calme, le film est toujours très esthétique et servi par une musique à ce point bien choisi qu’elle est instantanément intégrée au film de manière irrémédiable. A ce titre, il est difficile de résister aux mouvements d’Uma thurman sur « Girl , You’ll be a woman soon ». Cette utilisation de la musique sera d’ailleurs la marque de ces films fait dans les années 90 dont Tarantino sera plus ou moins à la barre (Tueurs Nés, Une nuit en enfer, True Romance…) et que certains appelleront la Tarantino Connection.

Une Œuvre fondatrice est une œuvre dont tout le monde voudra s’inspirer et que personne n’arrivera à égaler. Beaucoup de réalisateurs vont très librement s’inspirer de cet humour et de cette légèreté pour effectuer leurs propres œuvres. Malheureusement et en dehors de quelques-uns comme Guy Ritchie ou Edgard Wright, peu d’entre eux arriveront à percer réellement dans ce style très étrange qui arrive à digérer l’ensemble des codes du cinéma pour en faire un nouveau. N’est certes pas Tarantino qui veut. Ce second film est par ailleurs une très bonne porte d’entrée au monde de Tarantino à ce point riche qu’il en devient parfois complexe à appréhender dans sa totalité…

Voir ce film, c’est ouvrir la porte d’un nouveau genre de cinéma, peut-être moins académique et moins technique que celui fait par les très grands mais tellement réjouissant qu’on ne peut qu’en redemander. Clint Eastwood ne s’y était pas trompé car c’est lui en tant que président du jury de Cannes qui a permis à Pulp Fiction d’avoir cette notoriété et surtout cette reconnaissance de l’ensemble du métier.

Une succession de scènes et une bande-son d’anthologie justifient la palme d’or à Cannes, malgré la logorrhée de Jackson, par ailleurs remarquable.

Un pur chef d'oeuvre de scénarisation, de réalisation, d'acting ect bref ce film est parfait en tout point la BO est géniale est ce film multiplie les scènes cultes pour moi c'est un voir le plus grand film de l'histoire du cinéma.

Comment ne pas devenir fan de Tarantino après ce chef d'œuvre ? Je n'ai presque rien à ajouter, si ce n'est qu'il restera à jamais un de mes films préférés.
La bande son, le jeu d'acteur, la façon particulière de mettre en scène les personnages, tout est quasi parfait - et le mot "quasi" n'intervient que parce que la perfection est inatteignable. On en arrive à se prendre d'affection pour des voyous décrits comme personne ne l'avait fait auparavant, joués comme personne ne les avait joués auparavant. Du grand Tarantino, fidèle à ses promesses, qui ne pas m'a pas déçu une seule seconde.

De tout les films de Tarantino, Pulp Fiction est sans doute le plus culte ! Et malgré que ce ne soit pas mon Tarantino préféré, je ne peut qu'admettre que ce film mérite son statut d'œuvre cultissime. Le scénario est typique des films de Tarantino, on y retrouve humour noir, répliques cultes et gangsters. Plus que le scénario, c'est la méthode narrative qui fait de ce film une telle réussite, il n'y a pas juste une histoire, en fait il y en a plusieurs qui s'entremêlent, et qui se complètent à merveilles. Elles ne sont pas montrés chronologiquement mais à aucun moment il n'y a la moindre difficulté à comprendre le scénario. En bref, on a un scénario génial, original et bien mis en scène, avec des dialogues cultes et des répliques intelligentes et drôles. Les acteurs sont excellents, et j'ai été surpris quand j'ai vu que l'un des personnages est joué par Tarantino lui même ! Ce film enchaîne les scènes cultes, accompagnés d'une bande son de grande qualité, les musiques sont parfaites. Le tout permet de passer un très bon moment, malgré une durée de presque 3 heures on ne sent pas le temps passer ! Le genre de films qu'on peut regarder des dizaines de fois

C'est seulement le deuxième film de Tarantino que je regarde (le premier étant Django Unchained) et si il y a une chose qui est indéniable, c'est qu'on en ressort pas indemne. Ce film casse les codes avec une réalisation originale et un déroulement narratif peu commun.
Pour conclure : ne fait pas du Tarantino qui veut.
24/02/2021