Derniers Avis sur Poucelina

Adaptation assez fidèle de Don Bluth en 1994 du conte d'Andersen de 1835 en français La petite Poucette. Les caractères sont bien définis, l'animation correspond à cette époque le tout est léger, un peu futile mais dans le ton de ce conte de fées.

Je n'ai jamais vu un synopsis écrit avec autant de désinvolture et fautes d'orthographe sur allociné, mais passons. Prise de nostalgie, je me suis mise à regarder Poucelina ce soir à l'aube de mes 30 ans. Alors c'est vrai, Poucelina est très nunuche. En fait ce qui me dérange, c'est qu'en 3 minutes spoiler: on passe d'une fille dont la mère lui lit une histoire avant de s'endormir à une fille qui va se marier. J'aurais préféré que les scénaristes assument jusqu'au bout d'avoir fait naître Poucelina avec un physique adulte plutôt que de naviguer dans cet entre-deux parfois un peu malaisant.
Ceci étant dit, cela reste un bon dessin animé avec des dessins magnifiques et des chansons divinement interprétées (qui ne sont ni trop nombreuses ni pas assez). Poucelina va de mauvaises rencontres en mauvaises rencontres, elle perd espoir mais heureusement son ami l'oiseau devient la lumière dans l'obscurité. C'est un dessin animé que j'adorais étant petite, et que j'ai aimé redécouvrir adulte.

Avec Poucelina, Don Bluth nous offre un film d'animation plutôt destiné à de jeunes filles. En effet l'histoire nous raconte l'aventure de Poucelina une jeune fille aussi grande qu'un pouce qui va être amené à se marier avec un prince à sa hauteur mais elle aura d'autres nombreux prétendants qui vont tenter de l'en empêcher. C'est assez classique dans sa conception et l'histoire est plaisante grâce aux nombreux personnages que l'ont va croiser. Malheureusement j'ai trouvé que les scènes n'étaient pas très bien amenés. Ça manque de liant. De plus il y a énormément de chansons. La plupart sont bonnes mais au bout d'un moment j'ai trouvé que ça faisait beaucoup. Les dessins eux et la direction artistique sont bons même si ça n'a rien de particulier. Je n'ai pas compris aussi les quelques passages en 3d qui n'apportent rien et ne sont pas assez exploités. La fin quant à elle, est attendu mais les une heure vingt que dure ce dessin-animé ne se font malgré tout pas ressentir. Poucelina plaira surtout aux plus jeunes tant c'est naïf et enfantin mais ça reste malgré tout une jolie oeuvre même si on a déjà été habitué à mieux de la part de son réalisateur.

Un film de Don Bluth est souvent un gage de qualité, mais aussi d’une originalité que l’on ne trouve pas ailleurs. En ce qui concerne « Poucelina », il semblerait que l’ancien animateur des studios Disney désire se rapprocher de ce qui se fait chez son ancien employeur. En effet, ce conte de fées aurait très bien pu être un Disney, tant il reprend ses codes graphiques et scénaristiques. Mais cela n’est pas un défaut, car le film s’en sort très bien. L’animation est jolie, les couleurs sont chatoyantes, l’ambiance générale fait en sorte que l’on se sent bien, les musiques ont été travaillées, même si le résultat demeure inégal. L’histoire, quant à elle, est toute simple, sans surprise, elle reprend les grandes lignes du conte, et apporte peu de nouveauté, mais parvient à garder sa fraicheur. Les personnages sont très bien définis, ce qui n’est pas toujours le cas dans les productions du réalisateur. C’est un film agréable, que l’on sait apprécier sans trop d’effort.

Je fait court cette fois si pour parler d'un des films que je trouve les plus innocent au monde. Que pouvons nous bien retenir d'un film comme Poucelina ? C'est là, la question quand on sait que ce film fait parti des nombreux échecs successifs de Don Bluth depuis Charlie et encore, il est souvent considéré avec Le Lutin Magique comme le plus mauvais de sa filmographie. Et ce que je suis de cet avis ? Non. Et j'assume. Le films s'avère néanmoins le moins abouti de tout les Don Bluth. A commencer par les trois héros, tout sauf charismatiques. Poucelina est dans le registre des première princesse Disney, comme Blanche Neige ou encore Cendrillon. Un personnage assoiffé de liberté, mais qui demeure très naïve. Corneillus est sans saveur et son unique but est de sauvé la princesse dont il est tombé amoureux d'un coup d'aille de fée. Aussi puéril que celui l'évolution du Prince Philippe de La Belle Au Bois Dormant. Et il n'y rien, je dis bien RIEN, à retenir de Jaquimaux. Si ça n'était que ça, tout irais bien. Mais le plus gros problème reste à venir lorsque débarquent les antagoniste surement les mieux designés de l'histoire mais aussi les moins travaillés du cinéma. Grosso, censé être le Méchant avec un grand "M" ne dégage même pas la tension attendue d'un vrai méchant, ce que d'autre antagonistes Donbluthiens ont très bien réussis (Rasputine, Carcasse, Dentranchante et même la Reine Gnorga) Ce crapaud s'introduit juste histoire d’amener d'éventuelles péripéties. M. Miro, Madame la Foine et la famille Toad, quand à eux, son purement ridicules et porte leur inutilité sur les épaules. Seul, Baltringe sort très bien du lot en parvenant à faire rire à de nombreuse reprises. Et j'avoue être raid amoureux de son cosplay et de son animation. Bref il serait difficile de passer un bon moment avec seulement un personnage sur une bonne dizaine. Mais L'histoire est plaisante, adaptant bien le célèbre conte d'Hans Andersen. Les décors ne battent pas les recors atteints dans Charlie, Le Petit Dinosaure et Le Lutin Magique, mais sont très agréables à regardé et relaxants. Et les chansons sont de toute beauté. Je ne le classerais pas dans mes meilleurs Don Bluth (Charlie, Le Lutin Magique) mais c'est une oeuvre plaisante et une certaine deuxième lecture est présente à travers des dialogues et des attitudes des "méchants" envers l'héroine, transmettant une sorte de mise en garde sur le désir féminin sur les jeunes personnes par des grandes... Bref, pour moi, c'est une sorte de foutoir réussi.

Don Bluth qui s'essaie à l'adaptation d'un classique du conte de fées... est-il capable de tenir la comparaison avec les adaptations de Disney ? Eh bien... comment dire... Je sais que Poucelina est considéré par beaucoup comme un des pires films de Don Bluth. Bon, en ce qui me concerne, j'ai vu pire dans sa filmographie (Le Lutin Magique), mais j'ai vu également beaucoup mieux. Pour parler des défauts du film, Poucelina est une héroïne relativement nunuche et pas suffisamment attachante. Même Blanche Neige chez Disney était plus réussie comme héroïne. Le film possède un côté rose bonbon, cucul et gentillet, très éloigné de la noirceur à laquelle nous avait habitué Don Bluth dans ses oeuvres précédentes. Et je comprend que ce changement de ton puisse décontenancer les fans du cinéaste. Mais personnellement, j'ai connu guimauve plus indigeste et vu que j'arrive à apprécier les choses cuculs, cet élément là ne m'a pas trop gêné. Plutôt bien rythmé, graphiquement joli, le film arrive à faire ressentir le sentiment de magie attendu. Il y a des chansons oubliables, mais d'autres qui sont agréables à entendre. Et pour ce qui est d'adapter le conte, le film remplit son cahier des charges, respectant l'histoire originale tout en l'étoffant un peu plus. Comme pour Blanche Neige ou la Belle au bois dormant de Disney, c'est une bonne chose de faire rencontrer Poucelina et le prince Cornélius au début du film et non à la fin comme dans le conte. D'ailleurs, même si je ne suis pas fan du personnage de Poucelina, je trouve qu'elle forme un joli couple avec Cornélius. Et puis, il y a des scènes plutôt charmantes entre eux comme la séquence de danse dans les airs ou leurs retrouvailles à la fin. Au final, Don Bluth peine à égaler Disney pour ce qui est la qualité de ses adaptations des contes de fées, Blanche Neige et les Sept Nains, Cendrillon ou la Belle au bois dormant étant bien plus aboutis sur ce point, mais il livre un film tout à fait regardable et même charmant, ainsi qu'une adaptation globalement réussie du conte d'Andersen.

très bon film d'animation, non produit par les studios Disney mais tout aussi bien réalisé avec la très patte de Don Bluth, également à l'origine du prodigieux "Anastasia".

Poucelina est un dessin animé sympathique, qui offre une alternative crédible aux dessins animés des studios Dremworks Animation et Walt Disney.
L'histoire est relativement simple et efficace, même si on retrouve l'éternel situation du prince charmant devant sauver la princesse en détresse (ce manque de surprise n'est pas fondamentalement un problème lorsque le dessin animé s'adresse à des enfants). L'univers du monde quasi-microscopique offre tout de même des créatures et des visuels assez originaux.
L'animation, si elle n'atteint pas tout à fait la qualité de celle des studios Disney, demeure de facture très honorable. Les chansons sont pas mal du tout, assez entraînantes. Le doublage m'a paru très bien, aucun reproche à faire là-dessus.
Un très sympathique dessin animé pour les enfants.

Un véritable conte de fées aux dessins, aux chants et à l'animation réussis. Il y a quelques belles chorégraphies et des personnages qui attirent la sympathie, même parmi les méchants. Attention, certaines chansons restent facilement dans la tête mais cette histoire convient bien aux enfants.

Honte a moi de l'avoir oublié ? ^^ Je me souviens que je l'avais adoré ce film et que je le regardais souvent...mais maintenait que j'ai du recule...c'est...plus trop ça ^^ Déjà quand j'vais vu la bande annonce de "Charlie mon héros" je m'attendais a un univers plutôt niais alors que c'était pas du tout le cas ! Moi qui m'attendais a quel que chose de similaire: un univers enfantin mais remplis de danger, mais au final...Bon commençons avec les choses qui vont mal : L'univers TROP niais du début jusqu'à la fin !! Aucun vrai danger !! Déjà poucelina ! oh mon dieu ! pou-ce-lina ! déjà a peine elle née, c'est déjà une adulte, (ou presque) elle est habillé et c'est parler, bon certes a première vue elle parait mature mais niveaux mentalité c'est juste incroyable ! spoiler: Le premier mec qu'elle voit en a peine 5 dialogues et une musique voilà je suis amoureuse ! et aussi le prince il entend juste la voix de poucelina et HOP il est amoureux
(je vois même pas pourquoi je mes ça en spoilers c'est tellement évidant -_-) De plus le film est TROP répétitifs pour vous faire une idée c'est spoiler: "j'ai perdu ma maison c'est impossible , hop je me fait kidnappé il ce trouve que c'est un animal qui veut se marier avec moi je vais refuser ça demande car cornelius m'aime et surtout de la zoophilie"
voila le spitch le plus claire que je pusse faire du film c'est pas agaçant c'est juste hyper lassant. Je vais pas non plus vous faire la liste des incolérances et des centaines de choses que poucelina aurait pu faire pour sortir de ce pétrin ! Le pire c'est que c'est point négatif... sa gâche tout le film et surtout la manière dont le prince arrive a savoir que poucelina a disparu whoua ont nous a pas dit qu'il avait la capacité de parler aux chiens ?!! Bref les points positive...heu...heu... aaaa non en faites...le prince...oui le prince ! bon le prince c'est pas vraiment un personnage a sauver mais par apport au autre prince il a une vrai personnalité et de vrai ambitions spoiler: et va même risquer ça vis pour...poucelina ? sérieux mec ?
bref, et il fait ça surtout par amour...des musiques qui reste banale enfin sauf celle de "je garde l'espoir" oh mon dieu ! cette chanson est tellement belle malgré que le sens est un peu "clichés" c'est tout ! mais pourquoi je mes "bien" malgré c'est gros problème ? Un gros coup de cœur de mon enfance et oui ! quand la nostalgie dépasse la réalité :')

Hé bien, ça n'aurait pas été écrit Don Bluth en gros au générique je n'aurai jamais pensé que c'était lui le réalisateur. Bon sang comment a-t-il pu faire ça ? C'est le dessin animé le plus niais que j'ai vu, encore plus que banche neige, c'est dire. Ce dessin animé n'a guère de qualité à part un dessin correct, c'est tout.

Conte de fées qui souhaite s'inscrire dans la grande tradition des films Disney, "Poucelina" de Don Bluth est hélas bien loin d'égaler le savoir-faire des studios Disney. Malheureusement, "Poucelina" attire irrémédiablement à elle l'antipathie. Ce film pâtit donc aujourd'hui encore fortement de cette transposition ratée de la recette Disney. Pourtant, tout y est, de la jeune fille en quête d'amour, au prince charmant, à la quête de son identité, jusqu'aux nombreuses chansons. La principale raison de cette débâcle ? "Poucelina" est l'exemple flagrant du conte de fées ringard pas du tout en accord avec son époque. Lorsque l'on découvre le film pour la toute première fois, même le plus courtois des spectateurs constatera à quel point le retour en arrière est impressionnant. "Poucelina" est l'archétype de la princesse passive qui subit tout sans prendre la moindre initiative, tout comme Blanche-Neige près de 60 ans auparavant. Elle est terriblement tête à claques, niaise, superficielle et méprisable. La jeune fille a bien du mal à rivaliser avec Ariel et encore moins avec Belle de Disney. Pour un film de 1994, c'est pénalisant. La pauvre Poucelina subit les pires mésaventures, poursuivie par une horde de prétendants en tous genres qui veulent faire d'elle leur trophée. Comble de l'inconsistance suprême, Poucelina se résout presque à se faire passer la bague au doigt par le premier hurluberlu venu. Par ailleurs Poucelina est loin d'être le seul problème du film. Aucun autre personnage ne parvient à attirer la sympathie. La mère de Poucelina ne donne aucun semblant de chaleur humaine. Pire, elle attire l'agacement de rester aussi inactive à ne pas partir à la recherche de sa fille disparue. Jacquimo passe une partie du film pour présumé mort, tandis que le pauvre prince Cornelius ne fait que survoler l'histoire, embarqué malgré lui dans des situations rocambolesques au point de devoir être constamment secouru par d'autres (au final lui aussi est un prince charmant vide de personnalité, sans compter qu'il est arrogant, faible et superficiel). Quand aux autres prétendants, leur intellect et leurs buts respectifs sont tellement tirés par les cheveux (ils tombent amoureux parce que Poucelina a une jolie voix...) qu'ils n'attirent que le mépris. Sans compter que leur aspect est franchement repoussant. Faut-il pour autant tout jeter dans "Poucelina" ? Assurément non, encore heureux ! Nous commencerons par les décors du film qui sont tout simplement magnifiques et très détaillés. On retrouve aisément la touche inimitable du studio de Don Bluth. Même Poucelina et Cornelius sont très vivants malgré un usage un peu trop abusif de la rotoscopie. On en dira un peu moins concernant les rôles de troisième plan qui restent moins détaillés que de coutume. Les seconds rôles, plus nombreux, s'en sortent heureusement beaucoup mieux même si leur harmonisation avec Poucelina et Cornelius est parfois malhabile. Que retenir donc aujourd'hui de "Poucelina" ? La question mérite amplement d'être posée. A moins de posséder une forte sensibilité nostalgique, ce qui n'est hélas pas du tout mon cas, "Poucelina" a bien du mal à s'imposer. S'adressant clairement à un très jeune public féminin (plus de 6 ans, passez votre chemin), on retiendra surtout que ce film est sans nul doute le début de la fin du studio de Don Bluth. "Poucelina" reste donc avant toute chose aujourd'hui une tentative malheureuse de transposer les nouveaux codes Disney mais sans jamais y parvenir, les personnages principaux étant creux, insipides, et naïfs à outrance. L'animation, si elle n'atteint pas tout à fait la qualité de celle des studios Disney, demeure de facture très honorable cependant. Au final cela reste un mauvais dessin animé, à éviter

Poucelina semble être une satire bien sévère envers les européens de la pars d'américains.
ATTENTION spoiler!!
En commençant par le crapaud espagnol brutale et simplet qui veut absolument se marier avec poucelina parce que ces frères et les autres crapauds se sont moqués de lui.
Puis il y a l'hirondelle française qui mène le french cancan (où on peut même voir des oiseaux portant des bérets, utile pour marquer les esprits). Bien que les français on était plutôt épargné avec ce personnage. Vu que l'hirondelle est là pour remonter le moral de poucelina et la protéger même s'il arrive toujours trop tard et n'a pas très dégourdi. Ce qu'il fait part peut-être d'une bonne intention mais il devient vite agaçant avec ces beaux discours. Il tiendra toute fois sa promesse qu'il a faite à poucelina.
Ensuite on a le cafard italien avec sa longue moustache et une affection plus que débordante qu'il voue à poucelina. Finalement il finira par l'humilier en public pour sa laideur. Don Bluth peint avec ce cafard un stéréotypes italien un peu trop poussé.
La suivante se présente très rapidement en amenant le thé a nous héroïne. Cette souris anglaise donc semblerai presque gentille et chaleureuse au début mais apparaît vite sans coeur en lui annonçant la triste nouvelle. Cependant il y a bien une chose qui l'intéresse c'est la richesse, et surtout celle de monsieur la taupe. Ce qui est mis en évidence par la différence entre leur deux intérieurs.
Pour le dernier, c'est à dire monsieur la taupe, je suis pas arrivé à distinguer de quel pays il était la caricature. J'hésite entre l'Allemagne ou bien la Russie ou bien les États-Unis. Ces derniers semblent probables car on peut voir dans le dégoût de la taupe envers les inscects de la surface soit une méfiance avec les pays dis latins ou un affrontement entre communiste et capitalisme sachant que la guerre froide n'était terminée que depuis peu.
Poucelina veut peut-être retrouver cornelius mais ça trouve un peu à l'Eurotrip, avec le crapaud pour l'Espagne, l'hirondelle pour la France, le cafard pour l'Italie et la souris pour l'Angleterre.
Comme pour toute histoire il faut des méchants et gentils, il aurait été plus apprécié qu'il soit moins ciblé. Même si ce sont les caricatures et les stéréotypes qui font vivre les identités françaises, anglaises...
Si vous avez trouver à quelle pays correspond la taupe poster le s'il vous plaît et aussi si je me suis trompé dans l'attribution des pays aux personnages.

Je viens de le revoir et malgré mes 25 ans il m'a fait tous autant rêver que lorsque que j'avais 5 ans. La voix de poucelina ma donner des frisons tellement elle est belle. C'est bien dommage qu'on ne fait plus de dessins animés de ce genre, on vois la différence de mentalité des enfants maintenant. ..

Poucelina, le film qui nous apprend qu'on peut tomber amoureux en un jour, se marier le lendemain et entre-temps hésiter entre trois autres prétendants...
Ah, et que l'automne et l'hiver ne durent qu'une journée.

Le script est tellement mauvais qu'il a même fait fuir ma nièce ! Et ne parlons pas des personnages, tous plus affligeants les uns que les autres... Ne perdez pas votre temps pour un film aussi minable !