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chrischambers86
12 177 abonnés
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3,0
Publiée le 14 février 2012
Plus sexy qu'Austin Powers, tu meurs! Ce playboy impènitent, congelè dans les sixties, a bien du mal à se faire aux moeurs des annèes 90, où la libertè sexuelle n'est plus qu'un souvenir! Heureusement que Liz Hurley, sculpturale espionne, est là pour l'aider à s'adapter et à coincer son ennemi jurè, le professeur Denfer, mèchant hystèrique et dèpassè! Crèèe par le comique Mike Myers, irrèsistible dans les rôle d'Austin et de son rival, cette fantaisie de Jay Roach se rit des thrillers des annèes 60, mais aussi des tics de notre temps! Elle mêle comèdie musicale, gags (le rèveil d’Austin ou la saucisse croquèe à pleine dent par Hurley) et action dècalèe en un cocktail explosif dont le succès a permis de rèaliser plusieurs suites! Culte...
C’est de l’humour absurde et parodique, et moi ça me plait bien. Seule faiblesse : le manque de renouvellement et un humour finalement assez simpliste. Mais bon, d’un autre côté, je reconnais que par cet humour très basique, cet « Austin Powers » y gagne derrière en sympathie. Donc moi je valide sans bouder le moment de détente que le film m’a fait passer.
Enfin une parodie du genre qui est fidèle à 100 %. OSS 117 est à côté un vrai raté car aucune fidélité envers les éléments classiques du genre. Austin lui, reprend tous les codes de l’espionnage : armes à feux, belles femmes, lieux secrets, combats en tous genres, explosions sur les dernières minutes… Au moment ou j’écris ces lignes, le film est encore en cours de diffusion mais enregistrer (Mercredi 29 Mars 2017). J’ai adoré les 2 scènes en milieu de film ou Vanessa parle au téléphone avec sa mère et qu’Austin se balade à poil dans la suite, dans cette scène, elle bouge des objets et ses membres mais sans s’en rendre compte, elle cache toutes les parties intimes de son partenaire. A la fin dans la même suite, au moment ou ils reçoivent leurs cadeaux de la part de leur chefs, là aussi ils cachent les parties intimes de manières géniales. Et le coup ou elle gonfle un ballon en forme de pénis et la caméra si place pille à la place d’Austin pour nous faire croire que ce ballon est le pénis de ce dernier… Bref, une photographie génial. Après, les scène entre Dr d’enfer et son fils n’apportaient rien d'intéressant, j’ai donc accélérer. Mais alors, les trop grandes quantités de script vulgaire sur le sexe, abuser, c’est un film juger -10 Ans à la fin. Trop c’est trop, jamais je mettrais un gosse devant ce film qui mérite un -12 Ans. Par contre, Elizabeth Hurley est une vrai bombe, atout charme sans conteste du film. Une très bonne parodie d’espionnage mais trop vulgaire à mon gout.
Film culte, autant pour l'histoire, les acteurs et les gags, tout est bon dans les années 70. à noter que le gag où Austin veut faire demi-tour dans le couloir avec la voiturette est le meilleur gag du monde.
Quatre ans après un oubli intersidéral depuis le second volet des aventures de Wayne Campbell, Mike Myers fait un retour fracassant sur les écrans en incarnant le désormais mondialement célèbre Austin Powers. Agent secret britannique lubrique et funky des années 60 propulsé dans les années 90, le serviteur de Sa Majesté va tout faire pour maîtriser son insatiable envie de sexe tout en essayant d'empêcher son éternel rival, le Dr Denfer, de mettre en péril l'avenir de l'humanité. C'est autour de ce scénario fantasque et mouvementé que va naître ce film culte bourré d'humour et d'action débridée. Cette parodie ouverte des films de James Bond contient tout ce qu'il faut pour muscler les zygomatiques, des innombrables frasques de notre héros aux inimitables grimaces du Dr Denfer (également campé par un Myers méconnaissable, pastichant le Blofeld de l'univers 007) en passant par des jeux de mots constants, des quiproquos à tout va et des séquences humoristiques aussi vulgaires que désopilantes. Aux côtés de l'agent secret, la pulpeuse Elizabeth Hurley et ses formes généreuses vont apporter une touche sexy, bien loin des James Bond girls de l'époque. De références cinématographiques évidentes en gags typiquement imaginés par ce bon vieux Mike Myers, Austin Powers reste l'une des meilleures comédies de la fin des années 90, un film culte hilarant du début à la fin et le premier volet d'une excellente trilogie.
C'est ridicule. J'en ai vraiment marre des Comédie Américaine débiles qui font rire tout le monde comme ça. C'est chiant, lourd, mal réalisé, des blagues basiques et absurdes, vraiment j'ai eu du mal à rire. Il y a une réplique que j'ai trouvé pas mal, et aussi le jeu de Mike Myers qui est assez drôle via son look. Mais sinon, un gros navet. Je ne vois pas en quoi c'est drôle. C'est chiant, lourd, inintéressant, Comédie Américaine à deux balles clichée... Vraiment c'est très mauvais.
Mais pourquoi vouloir infligé une telle daube au spectateurs. Tout est con dans ce film, ou du moins les 10 première minutes car après j'ai tout arrêté, affligé par temps de bêtises. Sans doute l'une des plus grosse daube de ces dernières années.
C'est un film GROOOOOOOOOOVY!!!!!!! Avec pleins de superbes BABIIIIIIIIIIES!!! C'est un film plutôt décalé ayant un parsonnage principal un peut "bizarre" par moments, mais qui est tout à fait drôle et que je recommande. Je finirai sur ces mots prononcés un bon ombre de fois dans le film : YEA BABIE!!!!!!!!!!
La liberté folle que prend Austin Powers dans son entreprise de minage de la saga James Bond n’a d’égale que la rigueur d’écriture et de réalisation avec laquelle il est mené de bout en bout. Jay Roach confère à son film une unité de ton, construit un univers cohérent au sein duquel le décalage générationnel constitue un levier comique savoureux ; plongé dans des années 90 éloignées des codes de la libération sexuelle qu’il incarnait autrefois, Austin apparaît telle la relique d’un art de vivre condamné pour son immoralité et ses dangers ; il incarne d’ailleurs physiquement ces travers, suivant une représentation symbolique fidèle à la tradition de la physiognomonie. L’amour libre passe au crible de la découverte des infections et du Sida – « vous ne vous protégez pas ? » lui demande Alotta Fagina au bain, jouée par l’actrice Fabiana Udenio –, les gadgets d’espion sont devenus ringards, l’insouciance avec laquelle Powers mène son enquête est critiquée par son binôme…
Le long métrage oppose ainsi par la comédie une résistance à cette évolution morose des mœurs, cultivant le décalage et les trouvailles improbables comme ces créatures charmantes dont la poitrine se change en arsenal militaire, de la même façon que la belle-mère Rozalin Focker pratiquera le yoga érotique dans le génial Meet the Fockers (2004). L’ouverture sous forme de comédie musicale, qui sera reprise dans les suites, les séquences dans l’antre ennemi proches des cartoons – réutilisées d’ailleurs, comme un hommage, dans le très réussi Looney Tunes: Back in action (2003) de Joe Dante –, les costumes rétro, qu’il s’agisse de la tenue multicolore d’Austin ou des combinaisons spatiales grises des employés de Denfer, font de cette parodie un carrefour culturel d’une densité appréciable en ces temps de disette comique dans le cinéma américain. Elle est portée par l’acteur caméléon Mike Myers qui prouve une fois de plus l’étendue de son talent comique.
Une comédie dingue et déjantée. On est dans la grande tradition de l'humour British déluré, dans la tradition aussi de la Panthère rose. Il y a de l'action, des gags cultes, un rythme tonitruant . On s'amuse beaucoup. Les acteurs prennent un vrai plaisir à jouer. Un vrai bon moment de divertissement .
C’est une comédie loufoque vraiment trop lourde. Du grand n’importe quoi. L’histoire n’est pas très intéressante et l’acteur principal du film fatigue rapidement.