The Crow
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Le-Chat-Nonne
Le-Chat-Nonne

45 abonnés 175 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 mai 2025
The Crow est depuis longtemps une référence dans le milieu cinéphile, souvent cité pour son esthétique marquée, ses thèmes profonds, ses scènes d’action stylisées, et bien sûr pour la performance inoubliable du défunt Brandon Lee — tragiquement décédé durant le tournage. Pourtant, il n’est pas si simple de recommander ce film à un néophyte peu attiré par l’univers gothique, tant cet élément imprègne le récit du début à la fin.

Dès les premières images, le film nous plonge dans un univers nocturne de chaos urbain, au cœur d’une ville à feu et à sang. Cette ville noire, consumée par les flammes et surplombée d’un ciel rouge, compose un décor irréel, presque théâtral. La scène de crime sur laquelle le film choisit de porter son attention, par la suite, ne nous extrait pas de cette ambiance morbide ; elle vient au contraire nous avertir : le monde que nous allons traverser est un cauchemar pleinement assumé. Il faudra s’y habituer… ou passer son chemin.

Cependant, cette noirceur, aussi extrême soit-elle, n’est jamais gratuite. Elle n’est ni un effet de style creux, ni une coquetterie gothique. Inspirée autant par l’expressionnisme allemand que par l’imagerie des clips musicaux des années 80, cette esthétique est avant tout le reflet d’une douleur bien réelle.

Le film est directement adapté d’un comic écrit en 1989 par James O’Barr, qui a perdu sa compagne dans un accident causé par un chauffard ivre. Pour affronter ce deuil, O’Barr a choisi de transfigurer sa souffrance à travers un récit de deuil et de vengeance, en s’inspirant librement des figures sombres des comics, tels que Batman ou Ghost Rider. C’est ainsi qu’il a créé The Crow : un musicien, Eric Draven, revenu d’entre les morts pour venger sa propre mort et celle de sa fiancée, assassinés la veille de leur mariage.

Le film reprend certains codes classiques du récit de super-héros — pouvoirs surnaturels, quête de justice personnelle, costume iconique, affrontement contre le mal, tragédie fondatrice — mais il les transcende avec une sincérité et une poésie rares. Le résultat : des scènes d’action intenses, toutes mémorables et jamais gratuites. Chacune sert le parcours d’Eric Draven, ce personnage central autour duquel tout gravite.

La première scène d’action, volontairement cliché et presque mal chorégraphiée, semble conçue pour nous induire en erreur. Elle suggère d’abord un récit de super-héros gothique un peu convenu… pour mieux nous surprendre. Car The Crow n’a rien d’un film de super-héros classique. Fidèle au matériau d’origine, il reste avant tout l’exutoire du chagrin d’un homme. Et Eric Draven, incarné avec une intensité magnétique par Brandon Lee, est tout sauf un héros triomphant.

Là où tant de héros se révèlent dans la gloire et la puissance, Eric revient d’entre les morts dans la boue, la douleur et la confusion. Tremblant de froid sous la pluie, son premier élan n’est pas de se battre, mais de rentrer chez lui. Là, dans l’intimité dévastée de son ancien appartement, les souvenirs reviennent par vagues — confus et douloureux. Comme si son esprit lui-même refusait encore de faire face à l’horreur.

Et c’est à ce moment précis que le film nous saisit. Ce n’est pas la vengeance qui nous atteint, mais la reconstruction fragile d’un homme brisé qui comprend qu'il a tout perdu et qui ne sait plus quoi faire de son existence, si ce n’est s'accrocher à l'idée d'une réparation illusoire. On nous en dit peu, mais on ressent les choses. Grâce à un montage elliptique, des silences habités, et une mise en scène qui privilégie l’émotion brute. Les éclats de souvenirs visuels suffisent à nous faire ressentir sa peine, à la fois intime et universelle.

On s’attache à Eric non seulement pour ce qu’il traverse, mais aussi grâce à la présence de Brandon Lee, capable d’incarner à la fois la détresse, la douceur et la rage. À travers lui, The Crow devient un film hanté, mais aussi profondément humain.

Eric Draven n’est pas seulement un revenant vengeur : il est vivant dans ses émotions. Il n’est pas figé dans une tristesse constante. Il lui arrive d’être drôle, d’avoir des éclairs d’ironie, des moments d’excitation presque enfantine, et même de joie fugace. Lorsqu’il prend l’ascendant sur ses bourreaux, on sent en lui une jubilation noire, une pulsion de vie qui n’a pas encore totalement disparu. Il plaisante parfois, grimace, joue avec l’absurde et l’effroi. Ces moments, bien que rares, nous rappellent qu’il a été vivant — et qu’une part de lui l’est encore.

Le froid, la pluie, le poids des souvenirs… On parvient presque à ressentir ce qu’il ressent. Et ce petit sursaut d’espoir quand, l’espace d’un instant, il reprend un peu de contrôle sur le monde qui lui a tout pris.

La ville dans laquelle il évolue — ce ciel pluvieux, ces lumières artificielles, cette obscurité omniprésente — est le reflet de son état d’esprit. Et les criminels qu’il affronte sont des figures caricaturales, immorales et sans nuances. Ils incarnent à la fois l’esthétique du film, dans un style volontairement outrancier, mais surtout l’injustice brute, absolue, contre laquelle Eric se dresse. Ce n’est pas une lutte entre le bien et le mal. C’est la lutte d’un homme ravagé contre un monde qui refuse la paix aux innocents.

Et derrière cette violence chargée, parfois excessive, The Crow parle d’amour, d’amitié et de deuil, avant de parler de vengeance. Ces thèmes profondément humains ne sont pas secondaires : ils sont le cœur du film, mis en valeur par l’obscurité ambiante comme autant de lueurs fragiles.

Eric n’est pas animé par la haine, mais par le désespoir. Chaque acte, chaque confrontation, n’est qu’un moyen désespéré de soulager un peu sa peine, tout en nettoyant un peu le monde.

Une scène le résume magnifiquement : Eric, seul sur un toit, joue de la guitare face à la seule lueur d’aube du film. Comme s’il essayait de retrouver celui qu’il était. Il finit par briser son instrument. Parce qu’il sait que ce n’est plus possible.

Ceux qui le soutiennent vraiment dans sa détresse, ce sont ses proches encore vivants. Ici représentés par sa jeune amie Sarah, une jeune fille livrée à elle-même, pour qui il devient un protecteur silencieux, presque un grand frère fantomatique. Il ira jusqu’à confronter sa mère droguée et alcoolique, pour la pousser à redevenir une mère. Et puis il y a le sergent Albrecht, policier désabusé, mais bienveillant, qui a veillé sa fiancée mourante à l’hôpital, et qui deviendra un confident inattendu. L’un l’a connu vivant, l’autre l’a vu mort. Tous deux l’ancrent, l’aident à ne pas se dissoudre dans la douleur. Ce sont ces personnages, ces échanges simples, qui nous rappellent que The Crow ne parle pas tant de vengeance que de rédemption.

Et puis il y a la musique. Omniprésente, nerveuse, mélancolique. Du rock, du métal, des accents gothiques, oui — mais surtout un rythme viscéral, qui épouse l’âme du film.

En conclusion, The Crow est partiellement une œuvre maudite, hantée par un acteur qui a mis toute son âme dans son rôle. Son fantôme semble encore habiter chaque plan. Mais c’est aussi un film de super-héros — dans le sens le plus noble et le plus sincère du terme. À mille lieues de la surenchère numérique, des punchlines interchangeables et de l'humour gras des productions Marvel actuelles. The Crow propose une fable de poésie noire, portée par une mise en scène habitée et un vrai regard d’auteur. Et même si son esthétique gothique assumée peut sembler excessive, datée ou démodée, The Crow n’en reste pas moins un film sincère, personnel et unique en son genre. Et parmi tous les récits de justiciers masqués, c’est peut-être l’un des rares à avoir vraiment quelque chose à dire.
Emmanuel Cockpit
Emmanuel Cockpit

72 abonnés 1 127 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 mars 2025
Lumière, musique, ambiance, ce film nous plonge dans une ambiance à la fois glauque et poétique pour une vengeance venue de l’au-delà. Il y a du Tarantino dans certaines scènes avec une symphonie dans l’action aux cadrages immersifs et à la réalisation soignée. C’est fantasmagorique, noir, violent et réussi !
FRAGH
FRAGH

63 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 21 février 2025
The Crow est un pur chef-d’œuvre du cinéma gothique. Son esthétique sombre et poétique, sublimée par une imagerie splendide, crée une atmosphère unique et envoûtante. La bande-son, portée par des groupes emblématiques des années 90, accompagne parfaitement l’ambiance mélancolique et intense du film. Les acteurs livrent des performances remarquables, avec un Brandon Lee inoubliable dans son rôle tragique d’Eric Draven. Malgré un budget modeste, The Crow prouve que l’émotion, la passion et une vision artistique forte peuvent transcender les contraintes financières pour donner naissance à un film culte. Un bijou intemporel, à voir et à revoir.
Samiori
Samiori

8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 20 février 2025
Un chef d’œuvre.
Très loin des films de super héros pour enfants (les Marvel Disney etc…).
Une ambiance sombre et gothique. Brandon Lee (parti beaucoup trop tôt) incarne parfaitement son personnage.
Oniraseyo
Oniraseyo

578 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 31 janvier 2025
Aucun qualificatif et aucune classification pour décrire ce protagoniste antagonisme aussi cinglante que sanglante, autant funeste que le corbeau, il n’y aura pas l’ami renard avec son regard éternel : obsession vengeance martelée programmée, comme un vidéo clip ce MTV movie, le revenant d’outre-tombe synonyme sans repos éternel pour les âmes mortes torturées, tant que son vœu ne soit exaucé, sinon ça aurait été moyen chef-d’œuvre
Armand Larroche
Armand Larroche

4 abonnés 77 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 3 décembre 2024
Un très bon film mais pas non plus un chef d'oeuvre. L'histoire du film est très bonne, pareil pour la mise en scène hyper sombre et gothique. Il y aussi bien sur la performance de Brandon Lee qui est excellente, les scènes d'action entrainante et de bonnes relation entre les personnages. Mais les personnages de Eric et Shelly aurait put être plus exploité et les méchants sont pas marquant. Mais cela reste un très bon film qui à donné un remake cette année que j'ai pas trouvé mauvais.
Titanneeb
Titanneeb

10 abonnés 699 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 30 novembre 2024
C'est très bon globalement. L'histoire est simple mais efficace, l'acting est bon malgré certains clichés au niveau des personnages mais bon comme ça date des années 90 on accepte. Certains plans n'ont pas très bien vielli. Je trouve ça dommage que la ville paraissent assez vide il y a aucun civil qui se balade et vit sa vie. Ça fait vide. La relation entre Eric et la petite marche très bien. La B.O est également très sympa.
Oni
Oni

32 abonnés 486 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 novembre 2024
Le retour du corbeau vengeur : sombre comme une cave à black metal

Imagine le pire plan de ton existence : tu te maries demain, tu te fais massacrer ce soir, et pour couronner le tout, tu ressuscites un an plus tard avec la gueule enfarinée façon clown gothique. Voilà la life d’Eric Draven, un mec qui revient d’entre les morts avec un seul objectif : faire sa fête à chaque dégénéré qui a transformé sa fiancée en méchoui humain. Ce n’est pas une lune de miel, c’est un carnage de miel noir.

Alex Proyas t’offre une ville qui pourrait servir de décor à un clip de Nine Inch Nails sous acide. C’est crade, c’est glauque, et ça pue l’anarchie. Si Gotham te file déjà la déprime, accroche-toi bien : ici, même les corbeaux sont plus badass que les criminels. La lumière ? Jamais entendue parler. Le film transpire la mélancolie comme un black album de Metallica.

Brandon Lee, c’est pas juste un acteur, c’est une légende posthume. Le mec te sort une performance qui défonce tout, et il claque pendant le tournage. Pas besoin de CGI ou de deepfake pour rendre ça iconique. Ce n’est plus juste un rôle, c’est un testament. Chaque scène où il apparaît, tu sens le poids du drame.

Quand Eric Draven sort les griffes, il te transforme les méchants en tartare humain. On n’est pas dans les bastons stylisées à la Marvel ici, mais dans du brut, du viscéral, du "je te tue et je réfléchis après". Le mec est aussi implacable qu’un Terminator mais avec l’âme torturée d’un poète maudit.

Entre la bande-son qui te colle des frissons (The Cure, Rage Against The Machine) et la réalisation d’orfèvre, The Crow est un mix parfait entre un opéra gothique et une odyssée nihiliste. Ce film ne vieillit pas, parce que le désespoir et la vengeance, c’est intemporel.

The Crow, c’est pas juste un film, c’est un hymne à l’amour perdu, au deuil, et à la colère. Alex Proyas signe une œuvre qui te retourne l’âme, avec un Brandon Lee qui transcende son rôle pour devenir immortel à l’écran. Culte, sombre, et brutal. Si tu ne l’as pas vu, c’est que tu n’as pas encore compris la vraie définition de l’intensité cinématographique.

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Ghighi19
Ghighi19

74 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 31 octobre 2024
Revu ça ne manque vraiment pas de charme . C est un peu clipesque mais c était vraiment à la mode au moment de la réalisation. Je trouve qu on ressent bien la dimension graphique de cette adaptation de BD et c est pas toujours le cas . Un brin nostalgique sans doute mais encore bien .
Amine Mohamed
Amine Mohamed

2 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 29 octobre 2024
The Crow, réalisé par Alex Proyas en 1994, est un chef-d'œuvre intemporel qui allie une esthétique gothique à une narration poignante. Adapté de la bande dessinée de James O'Barr, le film raconte l'histoire tragique d'Erik Draven, incarné par le regretté Brandon Lee, dont le destin tragique et la quête de vengeance touchent profondément le spectateur.

La performance de Lee est tout simplement remarquable. Il parvient à capturer la mélancolie et la rage de son personnage avec une intensité rare, ce qui rend chaque scène profondément émotive. Son charisme et sa présence à l'écran laissent une empreinte durable, rendant le film d'autant plus mémorable.

Visuellement, The Crow est une œuvre d'art. La direction artistique, avec ses décors sombres et son atmosphère opprimante, crée un monde où la beauté et la tristesse se rencontrent. Les choix esthétiques, tels que les jeux de lumière et les ombres, renforcent le ton poétique du récit et plongent le spectateur dans une ambiance à la fois surnaturelle et tragique.

La bande sonore est également un élément essentiel de l'expérience cinématographique. Le mélange de rock gothique et de grunge, avec des morceaux emblématiques de groupes comme The Cure et Nine Inch Nails, accompagne parfaitement les thèmes sombres et la tonalité du film, ajoutant une dimension supplémentaire à l’histoire.

Enfin, The Crow aborde des thèmes universels tels que l'amour, la perte et la vengeance, tout en interrogeant la nature de la vie et de la mort. C'est un film qui reste pertinent aujourd'hui, non seulement pour son esthétique unique, mais aussi pour son exploration des émotions humaines.

En somme, The Crow est un film culte qui mérite d'être redécouvert ou apprécié pour la première fois. Son mélange de tragédie, de beauté visuelle et de performances mémorables en fait une œuvre incontournable du cinéma des années 90.
selenie

6 799 abonnés 6 331 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 21 octobre 2024
Dès les premières minutes le style visuel impose une atmosphère aussi sanglante que funeste en mettant le spectateur devant le fait accompli, devant la pire des tragédies, face à un faits divers odieux. Le choc visuel est d'autant plus fort qu'aussitôt après on a l'autre vision d'une metropole sombre et lugubre, dont on perçoit tous les vices d'une cité aux abois. On pense alors très fort à Gotham City cher à Batman ou encore à "Sin City" (2004). La B.O. essentiellement composée de Hard Rock et même Metal accentue la dimension dark fantasy et de romantisme macabre. Le réalisateur a bien pris soin de suivre un story-board fidèle au comics, ce qui offre des plans et des cadrages singuliers qui donne la sensation de vertige parfois. Le vrai bémol vient de la fin, la logique du corbeau est un peu bancal (il perd son pouvoir au pas ?!). La violence est en roue libre et si elle n'est pas toujours frontale est tout aussi cruelle et organique de par l'imagination qu'elle suppose. Un film qui a désormais un côté kitsh qui lui donne encore du cachet car le conte gothique permet aussi une sorte d'intemporalité. Film Culte assurément...
Site : Selenie.fr
Mae Chanoir
Mae Chanoir

1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 27 août 2024
films à recommander, bien réalisé, avec bon scénario, ce fillm correspondez parfaitement à mes attentes
Michael R
Michael R

115 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 23 août 2024
Une série B emmenée pat Brandon Lee (fils de Bruce) qui devait connaître la gloire mais trouvera la mort sur le tournage. Le film baigne dans une noirceur qui n'est pas sans rappeler Gotham. Le personnage est un vengeur revenu d'outre tombe pour venger sa bien aimée. L'esthétique clipesque et la bande son l'ancre dans les 90's, mais avec un charme gothique et une aura funèbre.
Taahz
Taahz

168 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 16 septembre 2024
Bien que culte grâce, ou plutôt à cause de la tragédie qui l'entoure, The Crow est un film sympathique mais assez banal, sans réelle surprise.

Le scénario est classique, les acteurs ne sont pas toujours justes, certains personnages sont à la limite du ridicule (le "grand méchant" vampire gothique et consanguin par exemple).

L'ambiance générale est réussie, la ville est moite et sombre même si "it can't rain all the time". L'esthétique fait penser à Batman et on ne peut s'empêcher de remarquer une similitude entre le style d'Éric Draven et celui du Joker dans Dark Knight.
Plusieurs citations sont fortes et marquantes.

Le personnage d'Éric est d'autant plus attachant que son histoire fait écho à la tragique disparition de Brandon Lee lors du tournage, ce qui donne une saveur particulière au visionnage du film, sans quoi plutôt moyen.
lucie.b
lucie.b

1 abonné 150 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 5 août 2024
Enfin un film digne de ce nom. Original et surprenant. Un plaisir à regarder, autant de l’action que de l’émotion. Un esprit de vengeance qui nous tient tout le long.
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