The Crow
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Marc T.
Marc T.

282 abonnés 558 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 13 octobre 2015
Que ce soit au cinéma ou en DVD, je ne me lasse pas de ce film culte des années 90 qui ne prendra jamais une ride (ou très peu) tant l'interprétation de Brandon Lee, la photo de Dariusz Wolski, la mise en scène et la réalisation d'Alex Proyas sont intemporels. Et quand j'apprends qu'un remake est en préparation pour 2016 alors que les suites de celui de 1994 étaient des catastrophes annoncées (je rigole encore de celui avec Vincent Perez), je cris : "POURQUOI ?".
pierrre s.

479 abonnés 3 346 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 8 octobre 2016
Une bonne surprise. Le film a très bien vieilli, il a su garder sa noirceur, sa violence mais aussi sa beauté. Dans cet ultime rôle Brandon Lee est très bon, aidé par une photographie sombre et envoutante.
7eme critique

568 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 27 mai 2015
Culte pour toute une génération ne signifie pas film indispensable pour autant ! On trouvera dans "The crow" davantage de négatif que de positif... Effectivement, au-delà de certains plans aériens réussis, des dialogues très moyens et des scènes nanardesques auront la fâcheuse tendance de tirer le film vers le bas. C’est surtout le destin tragique qui toucha Brandon Lee lors du tournage, qui rendra ce film "culte". Bien que son père, Bruce Lee, avait joué cette situation dans le film "Le jeu de la mort", il était impensable d'imaginer une telle mort concernant son fils, touché par une balle sensée être à blanc.
Dik ap Prale
Dik ap Prale

241 abonnés 2 929 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 6 avril 2023
Prêt de 30 ans après, The Crow est définitivement passé du côté culte. Proyas gouverne toujours auprès des adaptations indispensables de comics. Avant son autre chef-d'œuvre, Dark City, il crée la surprise et sort de l'ombre, met également en lumière Brandon Lee comme personne ne le pourra plus et laisse derrière cette adaptation une émotion éternelle, des séquences graphiques inoubliables d'une noirceur et d'une beauté rare.
Maxime F
Maxime F

44 abonnés 635 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 septembre 2014
Ce film est étrange dans le sens où sa narration et son scénario est relativement simpliste (histoire de vengeance avec un peu de surréalisme) mais il est tout de même très efficace. Son atmosphère en particulier, très proche de Sin City, est parfaite et concorde avec l'histoire et l'interprétation du héros est tout à fait crédible. En revanche les méchants sont caricaturaux au possible. A voir au moins une fois.
Michael R
Michael R

115 abonnés 1 323 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 23 août 2024
Une série B emmenée pat Brandon Lee (fils de Bruce) qui devait connaître la gloire mais trouvera la mort sur le tournage. Le film baigne dans une noirceur qui n'est pas sans rappeler Gotham. Le personnage est un vengeur revenu d'outre tombe pour venger sa bien aimée. L'esthétique clipesque et la bande son l'ancre dans les 90's, mais avec un charme gothique et une aura funèbre.
L'OMBRE DU 7ème ART
L'OMBRE DU 7ème ART

79 abonnés 416 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 février 2020
The crow, film qui est surtout connu pour être la dernière apparition cinématographique de Brandon Lee, nous emmènes dans un univers déjanté avec des personnages assez hauts en couleurs dont certains m'ont fait penser à la bande de toecutter (mad max 1). Ainsi, le film sublime par sa photographie et ses décors assez crasseux représentant un quartier miteux sortit tous droits des enfers où les seuls habitants sont des drogués, des toxicos, des flics plus ou moins corrompues, des gangs, mais aussi quelques habitants lambda qui se battent contre cette opression et où les flammes, les cendres et la nuit règnent en maître. La musique rentre assez bien dans cet univers, car sans être démentielle, elle instaure un climat toujours de plus en plus oppressant. Alex proyas nous offres donc un film survitaminé, fun et drôle par son humour assez trash et noir, rendant hommage au film des années 80 avec des scènes de gunfight assez long et dans lequel on ne sait plus où regarder tellement qu'il y a d'événement en une seule et même scène de combat. Le jeux des acteurs sans être révolutionnaire, sont bien entendus appropriés au film qui se tourne de plus en plus vers la folie et dans lequel le manichéisme disparaît car Éric utilise la force et n'hésite pas à faire les mêmes horreurs que ses bourreaux pour se venger. Toutefois, le film malgré cette fraîcheur et surtout son rythme effréné m'a laissé assez dubitatif car les nombreux raccourcis scenaristiques et surtout le manque de cohérence m'a empêché d'adhérer pleinement au film. Par exemple, à la fin du film, spoiler: le flic arrive à retrouver Éric car il avait envie de lui dire au revoir (pourquoi pas mais bon j'y crois pas trop). De plus le fait que l'on retrouve le cercueil de Éric alors qu'il a été incinéré
j'ai dû mal à comprendre la logique des scénaristes. Je trouve cela assez dommage, car tout était si parfait...
Ezhirel
Ezhirel

55 abonnés 259 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 1 novembre 2024
Sorti en 1994 et réalisé par Alex Proyas, le réalisateur du génialissime Dark City, que je vous conseille vivement de voir, le film The Crow est l’adaptation de la série de comics du même nom, réalisée par James O'Barr et sera le témoin temporel d’une époque, comme rarement un film super-héroïque ne l’a été auparavant.

Alex Proyas, petit réalisateur quasi inconnu à l’époque, n’avait jusqu’alors réalisé que de modestes clips vidéos, court-métrages, et un seul long métrage “Spirits of the Air, Gremlins of the clouds”, petit ovni cinématographique qui ne dépareillerait pas dans la filmographie de Jeunet, d’une beauté ineffable, mais dont l’accueil fut plutôt mitigé au vu de sa nature plutôt déconcertante.

Autant dire que The Crow allait constituer un défi de taille pour le jeune réalisateur, tout juste trentenaire à l’époque, qui devait encore faire ses preuves et qui signait ici, son premier long-métrage “à gros budget”.

Et non content d’avoir livré un film très respectable au-delà de toute considération liée à sa nature d’adaptation de comics, Proyas peut également se targuer d’avoir signé l’une des meilleures adaptations de comics super-héroïque de tous les temps, respectueuse et mature, à une époque où les films de super-héros n’étaient pas légion et ne constituaient pas encore un genre à part entière.

En fait, dans cet exercice de film noir super-héroïque, malgré quelques résultats infructueux comme Darkman de Sam Raimi ou Punisher de Mark Goldblatt, un seul réalisateur avait su tirer son épingle du jeu, à savoir Tim Burton avec ses excellentes adaptations de Batman. The Crow allait donc débarquer comme une nouvelle pierre angulaire du genre.

James O'Barr lui-même, le créateur de la bande dessinée, apprécia beaucoup l’adaptation de sa BD The Crow, et salua le respect apporté à l’oeuvre. Et n’importe quel amateur de comics sait à quel point il peut être difficile de contenter un auteur, qui trouvera souvent à redire sur les adaptations de leur bébé, même quand elles sont de qualité (qui a dit Alan Moore ?).

The Crow raconte l’histoire d’Eric Draven, un jeune guitariste de rock, tué la veille d'Halloween alors qu’il s’apprête à épouser l’amour de sa vie, la jeune et belle Shelly Webster. Un an plus tard, tandis que la ville est en proie à une hausse de la criminalité, Eric Draven reviendra d’entre les morts, arraché à l’au-delà par un mystérieux corbeaux, afin de venger la mort de sa petite amie.

S’il est un aspect que Alex Proyas et son équipe technique ont parfaitement maîtrisé dans cette adaptation de The Crow, c’est la pertinence et la cohérence de l’imagerie globale du film, ainsi que l’atmosphère si particulière qui en découle. Le réalisateur et ses deux compères : Dariusz Wolski et Simon Murton, ont mis un point d’orgue à réaliser une oeuvre, à la fois fidèle et respectueuse du support d’origine, mais également d’une beauté froide et tristement amère.

L'esthétique gothique omniprésente est une véritable déclaration d’amour à son époque, et Brandon Lee, félin et charismatique avec sa dégaine de rockeur déchu de la fin des années 80 que l’on pourrait aisément confondre avec un certain Alice Cooper, en est sans conteste l’une de ses plus belles égéries. La photographie est savamment pensée de manière à conférer au film une ambiance qui marrie avec brio, sinistrose et romantisme, faisant émerger de cette mixtion paradoxale et oxymorique, la magnificence noire qui caractérise l’art gothique. La colorimétrie met en avant des teintes sombres et rougeâtres, de laquelle il découle tout un symbolisme de l’amour, de la mort, et de la vengeance, dans une valse aux couleurs chatoyantes faite de feu, de sang, et de ténèbres.

Les plans aériens sont quant à eux l’occasion pour le spectateur de survoler une ville à l’architecture époustouflante et rutilante, à travers les yeux du corbeau. Chaque plan et chaque détail de la mise en scène, reflètent à eux-seuls, la qualité d’une direction artistique qui avait tout compris de la grammaire gothique.

Les personnages principaux ne font pas exception à la règle et tout dans leur allure et leur écriture dégage un véritable sens de la tragédie et du romantisme. The Crow met en scène la quête vengeresse, quasi-Shakespirienne, d’Eric Draven, esprit vengeur et héros romantique au possible, aux allures christique, véritable phare dans cette Nuit du Diable, qui n’a qu’un seul but, expier les fautes des criminels qui ont violé et assassiné l’amour de sa vie. Le film se terminant lors d'un duel au sommet… d’une cathédrale, symbolique s’il en est, qui ne dépareillerait pas dans un film de capes et d’épées.

Le film ne se contente pas d’être cohérent esthétiquement, il l’est aussi par ses choix musicaux et notamment par l’utilisation d’une bande-son rock et torturée, à l’image du reste du film.

Grunge, Metal, Shoegaze, l’ensemble de l’univers musical de The Crow, porté par des groupes mythiques tels que The Cure, Nine Inch Nails, Rage Against The Machines, Stone Temple Pilots, ou encore Medicine, représentent parfaitement une certaine frange de la jeunesse de l’époque, une jeunesse underground, qui a soif de rébellion et de liberté, et dont Eric Draven, et par corollaire, son interprète Brandon Lee, seront de parfaits porte-étendards.

La musique composée spécialement pour le film, quant à elle, est l’oeuvre du talentueux Graeme Revell, qui signera ici, l’une de ses bande-sons les plus inspirées, et l’une des plus importantes de sa carrière, qui le révélera aux yeux du grand public et qui lui assurera une carrière prestigieuse.

Néanmoins, la production de The Crow a été parasitée par une malédiction qui s’amplifia de manière crescendo au fil du temps : perturbations climatiques sur le plateau, blessés divers et morts de cascadeurs, jusqu'au point d'orgue de la malédiction, à savoir la fin tragique de Brandon Lee, alors âgé de 28 ans seulement.

Les circonstances exactes de la mort de Brandon Lee, ont longtemps demeuré pour le moins floues et mystérieuses, et ont alimenté bon nombre de théories conspirationnistes, Pour l’anecdote, Chad Stahelski, le réalisateur de la trilogie John Wick avec Keanu Reeves, était un fidèle ami de Brandon et bien qu’il n’ait jamais été crédité dans le rôle, c’est lui qui a incarné la doublure de l’acteur suite à son décès. Avec un tel talent que le subterfuge ne se voit à aucun moment.

Bien que tragique, la mort du jeune Brandon résonnera à travers l’ensemble de l’oeuvre comme un écho à l’histoire qu’elle raconte, et ne fera que renforcer sa force et sa profondeur. The Crow possède indéniablement une aura indescriptible, qui transcende sa raison d’être, comme si l’ombre de Brandon planait toujours au-dessus de ce film, et c’est pour cette raison, que le film est si important !

Je crois qu’il existe une certaine catégorie de rôles au cinéma, tellement forts et symboliques, qu’ils en viennent à outrepasser les frontières de la réalité, jusqu’à empiéter sur le destin de leurs interprètes, marquant par-là même l’histoire du cinéma d’une empreinte funèbre et inaltérable. Comment, ne pas faire un parallèle avec le regretté Heat Ledger, dont la dernière incarnation au cinéma, possède bien des points communs avec Eric Draven.

Avec tout cela, on peut applaudir Alex Proyas pour être allé au bout de cette aventure, alors qu’il était encore endeuillé par la mort de son comédien et ami Brandon, ainsi qu’à Miramax, pour avoir boosté le budget initial du film, afin de laisser au réalisateur la chance de pouvoir le terminer et ainsi ne pas laisser partir en fumée l’investissement de Brandon dans le film.

Quoiqu’il en soit, le décès de Brandon Lee fera de lui une véritable icône de sa génération, à l’instar de nombreux autres fabuleux artistes qui nous ont quitté bien trop jeunes (je pense notamment aux membres du "Club des 27"), qui ont marqué leur génération, et dont Brandon Lee faisait inexorablement partie.
Aulanius
Aulanius

205 abonnés 1 716 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 6 avril 2022
J'ai décidé de me refaire ce film que je n'avais pas vu depuis très longtemps. Bon, on ne va pas se mentir, par rapport à d'autres de cette même période (que j'affectionne tout particulièrement), on peut dire qu'il a assez mal vieilli. L'ambiance est intéressante tout comme le rythme car il n'y a pas trop de temps morts mais pour le reste, c'est assez vide ... Mais la petite Rochelle Davis est le grand + de "The Crow" selon moi, qui d'ailleurs disparaîtra de la circulation juste après car elle fût très affectée par le décès de Brandon Lee sur le tournage. Du fait que je suis un grand nostalgique de la période 90's, je mets quand même la moyenne mais voilà, sans plus. 10/20.
cocolapinfr
cocolapinfr

73 abonnés 634 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 20 novembre 2014
On retrouve vaguement l'ambiance sombre d'Alex Proyas qui nous a dervi son chef d'oeuvre "Dark City". Dans the crow, mis a part l'ambiance très réussie, le scénario reste très niais, le gentil revient a la vie pour se venger des méchants, un peu trop simple, certainement du au deces de l'acteur principal (Brandon Lee) durant le tournage.
Attigus R. Rosh
Attigus R. Rosh

220 abonnés 2 570 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 6 novembre 2017
Ce film m'a moyennement séduit.
J'ai assez peu été emballé par cet univers assez glauque, même s'il est très marqué et perceptible (que ce soit dans ses décors ou sa musique). Brandon Lee jouait bien (après, sa performance n'est pas non plus aussi extraordinaire que je lis parmi certaines critiques dithyrambiques ici), Michael Wincott et Ernie Hudson aussi.
Les cascades ont tout de même pris un sacré coup de vieux, mais ça reste assez visuel.
Après, avec la multitude de films de super-héros qui sont sortis depuis (et même ceux qui étaient déjà sortis à l'époque), je ne vois pas trop comment celui-ci peut sortir du lot.
Zoumir
Zoumir

68 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 4 novembre 2014
J'étais jeune avec peu de films au compteur et The Crow était pour moi, à 13 ans, une véritable claque. Son univers sombre, sa violence sur fond de mysticisme, cette omniprésence de la mort m'avait amenée à scander plusieurs fois qu'il s'agissait là de mon film préféré. Malheureusement, 20 ans après, c'est un oeil nouveau que je pose sur le long métrage d'Alex Proyas. Un oeil moins clément face à un film dont le scénario reste finalement très basique et qui s'apparenterait presque aujourd'hui à un téléfilm. Certains pourraient dire que le tout a mal vieilli mais j'ai trouvé pour ma part qu'il n'avait pas pris une ride. Il est juste moins bon pour un oeil plus critique. Pourtant visuellement, il faut reconnaître que le rendu de cette ville meurtrie est toujours appréciable. Certains plans sont très réussis et la puissance de l'amour entre Shelly et Eric transpire à travers l'écran malgré un côté plan-plan. En fait, The Crow est un film d'ado et si on arrête d'être un enfant le jour où l'on comprend que l'on est mortel, alors privilégiez de voir The Crow avant l'âge adulte. Et ne le regardez plus jamais pour ne pas venir transformer ce souvenir d'un film culte en film pas mal.
dragoyo
dragoyo

119 abonnés 798 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 mai 2016
Le film est bien, l'histoire que tout le monde connait, la tragédie qui entoure l'affiche avec la mort de l'acteur sur le plateau, mais le résultat manque un peu d'action tout de même.
Teuteu8391
Teuteu8391

63 abonnés 376 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 15 novembre 2014
Un univers sombre et gothique nous mettent tout de suite dans l'ambiance de The crow. A mes yeux tout est trop prévisible, sans la prestation du défunt Brandon Lee ce film aurait beaucoup moins d’intérêt, les seconds rôles sont franchement pas terrible. Un scénario simple mais toujours efficace si bien menée. The crow n'est pas trop mal mais trop simpliste pour moi, et les méchants ne sont pas crédibles. Au moins on peut dire que ça nous change de tous les super héros connu. 3/5
Gaetan D.
Gaetan D.

8 abonnés 139 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 11 mars 2021
Attention, c'est un nanar dans toute sa splendeur. Tout est surjoué et prévisible, c'est mal filmé, je ne compte plus les raccourcis scénaristiques et on tombe directement dans le cliché du héros badass gothique qui revient à la vie pour venger sa femme assassinée en tuant un par un chaque méchant et que dire du flic niais qui accepte directement de coopérer avec un macchabée déguisé en clow d'Halloween. On dirait franchement qu'un groupe d'emo sous acide a pondu un film un dimanche après-midi.
Seul et unique point positif c'est le décor et l'ambiance qui est plutôt réussi à la manière d'un Gotham City de Tim Burton.
A moins de regarder ce film entre potes pour pouvoir se marrer , je déconseille fortement ce film...
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