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    SAVONAC
    SAVONAC

    72 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2024
    Daté, dépassé, film d'une époque dont il ne reste rien des audaces louées à l'époque de sa sortie. C'est comme ça et c'est cruel mais certains films des années 30 sont moins démodés que des films des années 60.
    D'ailleurs il est patent que les films des années 60 se démodent plus vite que les autres!
    Bon, donc, révolte des élèves d'un lycée huppé en Grande-Bretagne. Outrances, caricatures, rien d'un film révolutionnaire pourtant célébré comme tel à sa sortie.
    Seule surnage la prestation de M. McDowell extraordinaire de naturel et d'insolence. C'est insuffisant. Très insuffisant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    435 abonnés 4 774 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Révolte contestataire adolescente dans un collège anglais strict à la fin des 60’s, à travers le regard halluciné de Malcolm McDowell. Un film témoin d’une époque, qui a certes un peu vieilli, mais reste toujours percutant par moment.
    Pseudofile
    Pseudofile

    6 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 août 2022
    If..., comme bien d'autres, est un film critique de l'éducation traditionnelle anglaise comme elle a pu se développer dans de nombreux établissements, et plus précisément du mélange militaro-religieux qui a pu sévir pour donner lieu de telles incongruités institutionnelles. Taclant tous les travers de ce système, le film n'a pas réussi à (me) convaincre, notamment par un manque flagrant de profondeur psychologique. On décrit des faits sans jamais s'attarder sur la psyché des personnage dont la personnalité est à peine effleurée par quelques clichés (beau gosse, forte tête, petit nouveau timide...) Et trop de scènes sont d'un ridicule achevé comme celles ou s'immisce la fille de l'épicerie ou de la tuerie finale. Très en deçà d'un cercle des poètes disparus si on veut chercher un rapprochement;
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 420 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2021
    François Truffaut, dans une phrase célèbre avait dit que :" le cinéma anglais était une contradiction dans les termes". Chabrol de son côté, ami de Lindsay Anderson, avait de son côté dit de l'oeuvre de son confrère :" Lindsay a réalisé peu de films, mais quels films.! " . La nouvelle vague du cinéma Britannique comporte plusieurs véritables chefs-d'œuvre de l'histoire du cinéma mondial et inspira une décennie plus tard deux réalisateurs exceptionnels que sont Kenneth Loach et Mike Leigh ( certains ajouterons Stephen Frears, Bill Douglas, Alan Clarke et surtout Terence Davies). Apres avoir réalisé deux films, dont "le prix d'un homme " ( à mes yeux un monument), Lindsay Anderson, fondateur de cette fameuse nouvelle vague Britannique avec Karel Reisz, Tony Richardson et John Schlesinger, presente "If..." au festival de Cannes et revient avec la Palme d'or. Nous sommes en 1969. Mai 1968 a eu lieu un an auparavant et l'esprit de révolte, de contestation de l'ordre établi, de l'autorité est à la mode et "if..." arrive à point nommé. Film sur le système scolaire britannique et son fonctionnement qui repose sur l'humiliation pour mettre la jeunesse rebelle dans le rang, il fait mouche même encore aujourd'hui. L'amour, le sexe sont impossibles. Par contre les frustrations en tous genres, ( le rôle parfois ambigu du clergé est déjà souligné, la militarisation de la discipline bat son plein ) sont parfaitement illustrées. Le film qui alternent scènes en couleur avec quelques scènes éparses en noir et blanc, ne manque pas de rythme. Le montage et la réalisation sont à la hauteur et Malcom Mac Dowell est ici dans un de ses premiers rôles ( on le retrouvera peu après dans "Orange mécanique " de Stanley Kubrick qui avait sans nul doute apprécié "if...") ou il est parfait. Les trois petits points à la fin du "if" du titre souligne que cette révolte, ce volonté de changement , de passage dans une nouvelle ère, n'est sans doute qu'un vœu pieux. Selon moi, la nouvelle vague du cinéma Britannique est un courant qui mérite au combien d'être connu, car il recèle des films excellents, certes peu nombreux , mais dont Claude Chabrol avait saisi l'importance. Bertrand Tavernier fit aussi beaucoup pour la redécouverte du cinéma Britannique et notamment des réalisateurs qui précèdent la nouvelle vague du Royaume. Je pense en premier lieu à Michael Powell. En tout cas "if..." n'a pas pris une ride. A voir.
    Cinecine
    Cinecine

    14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2019
    Cadrage et montage sans effet castrateur. Un film ambivalent et une vraie fiction autour d'un débat devenu caricatural.
    Patjob
    Patjob

    22 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2019
    Un film inégal, comportant deux aspects bien différents.
    Le premier, très intéressant, correspondant -en gros- à la première partie du film, est la découverte quasi documentaire (on pourrait même dire l'immersion) dans un collège Anglais chargé d'éduquer les enfants des familles de la "bonne société" et de former son élite.
    L'organisation du collège se fonde sur la mise en avant des valeurs traditionnelles, y compris religieuses et militaires, la hiérarchie et la discipline. La plus longue, et très bonne, scène du film décrit d'ailleurs un châtiment corporel, dont les coups résonnent dans l'établissement, qui se termine par un geste de soumission et d'humiliation où la victime doit remercier le tortionnaire.
    Le second aspect, représentant la révolte des « brimés », est nettement moins réussi, quand le réalisateur nous emmène dans des séquences où l'imaginaire le dispute à la réalité, sans que l'on sache toujours très bien situer la frontière entre l'un et l'autre. Les symboles sont lourds et la psychologie des personnages réduite. Le spectacle de cette révolte guidée par l'affect et non par la réflexion devient ennuyeux, superficiel, voire puéril.
    La mise en scène est dans l'ensemble assez faible, et l'on se demande pourquoi, si ce n'est pour une recherche d'originalité grossière, le réalisateur alterne des séquences en couleurs et d'autres en noir et blanc.
    La palme d'or décernée par le jury Cannois en 1969 tenait certainement à la volonté de primer un film de contestation dans « l’air du temps », après l'interruption du festival l'année précédente pour cause des événements de mai, peut-être aussi à la relative faiblesse de la sélection cette année-là (hormis « Antonio das mortes » !).
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    240 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2018
    Le thème du pensionnat de garçons, dont une partie des élèves se rebelle contre le système, semble avoir été maintes fois rebattu au cinéma après "If". Mais ici, il se dégage de l'ensemble une certaine originalité, au moins dans la mise en scène. Un côté cinéma de la nouvelle vague en pleine période soixante huitarde. Ce que j'ai le plus apprécié est que le film ne s'enferme pas dans des clichés. Certes l'école est dure et sévère, mais plus du fait de certains élèves zélés que de la direction de l'établissement en question. De plus, les élèves rebelles mettent du temps à vraiment passer à l'action, en laissant venir l'idée à maturation, ce qui permet de monter en intensité jusqu'à ce final. Un film dont il y aurait beaucoup à dire dans l'analyse profonde, tant sur le fond que sur la forme. Et que dire de la prestation de l'excellent Malcolm McDowell, dans un rôle proche de celui qui fit sa réputation dans "Orange mécanique".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 mai 2018
    J'ai encore perdu deux heures de ma vie devant un film n'offrant strictement aucun intérêt à notre époque... Peut-être qu'en son temps il avait quelque chose de révolutionnaire, mais dieu qu'il a mal vieilli ! C'est long, c'est lent, c'est creux, c'est mou, ça se la pète et c'est joué comme du mauvais théâtre... Vraiment, je suis fâché, pas déçu, car je ne m'attendais à rien de spécial, mais vraiment très fâché !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 mars 2018
    Très bon film. Un peu pénible au début mais quand même génial; et les personnages sont parfaitement adaptés au thème du film.
    pierrre s.
    pierrre s.

    363 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 novembre 2017
    Sûrement trop "british" pour moi, ce film contestataire au scénario assez léger ne m'a pas du tout convaincu.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    109 abonnés 2 183 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 octobre 2017
    L'ANIMAL. If la prison anglaise. Donnez le si, il pousse un if. j'ai l'esprit tout ennuyé. Ce changement d'intensité, de couleur, de noir, de blanc, sans indice, cette fin extrême, If est toxique et poussif. Tu rêvais d'être libre et je te continue. En l'état, If est difficilement regardable dans le meilleur des mondes possibles. Je suis chagriné Palme d'Or. Sur les toits vers les cieux sereins.
    peter W.
    peter W.

    39 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2017
    Peut être le dernier souffle du free cinéma anglais, c'est description du fonctionnement d' une école privée anglaise est succulente et les jeunes acteurs sont excellents. Malcolm McDowell avec sa désinvolture naturelle y gagne sans doute son ticket pour orange mécanique. Tout de même plus le film avance plus le scénario montre ses limites. Le final visiblement destiné à choquer le bourgeois anglais de l'époque se fait aujourd'hui plus remarquer pas son manque de finesse.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2017
    Palme d'Or à Cannes en 1969, ce film qui permit de découvrir Malcolm McDowell – l'inoubliable Alex dans Orange mécanique – est une critique directe des codes rigides de l'Angleterre des années 60, décrivant la rébellion d'un groupe de jeunes hommes contre ces normes imposées et s'inscrivant pleinement dans les préoccupations de cette période. Si quelques effets paraissent aujourd'hui un peu surannés, ce mélange entre réalité et scènes rêvées continue de fonctionner et confère au film une charge poétique et libertaire qui nous parle toujours.
    ATON2512
    ATON2512

    53 abonnés 1 109 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2017
    De Lindsay Anderson Avec Malcolm McDowel (2011) .
    Une très bonne satire du système éducatif anglais .
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    48 abonnés 743 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2017
    Séquence nostalgie à la télé, en revoyant un film culte dans la mouvance de mai 68. Les élèves de terminale que nous étions ont adoré cette allégorie grinçante sur la vie absurde des garçons enfermés dans les public school de l'époque. Malgré ma crainte, le film n'a pas vieilli et dépeint bien cette époque ou les mini-jupes et les hippies ont débarqué sur l'ancien monde anglo-saxon, hérité de l'Angleterre victorienne. MacDowell explose à l'écran et ne sait pas qu'il deviendra par la suite le principal protagoniste de Orange mécanique. La fin est une grosse farce, mais les homélies des ecclésiastiques pervers prennent soudainement un tour nouveau quand on les écoute avec attention. Ne rions pas trop fort, car la France n'était pas en reste en terme de ringardises et de dérives pédophiles. Et gardons-nous des généralisations toujours réductrices. Car avec des If, on mettrait Paris en bouteille, et les révolutionnaires de 68 se sont bien embourgeoisés depuis l'époque. Le plus ironique est d'avoir fait de ce film une palme d'or à l'époque!... Je viens de comprendre, Visconti présidait le jury, et dans le palmarès ( entre autres) Z et Easy rider. Quelle époque fascinante pour devenir cinéphile. TV 2 - aout 17.
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