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Un visiteur
5,0
Publiée le 5 novembre 2007
Non le film ne vaut pas 4 étoiles mais vue les mauvais notes mal justifié de ce film , j'équilibre la balance. Pour moi ca en vaut trois , en effet ou certains cherchent une intrigue moi je vois un polar , voir un reportage sur le gangsterisme francais. C'est bien réalisé , des acteurs francais bons dans la moyenne , et pourtant en génbéral je suis pas fan de ce genre de films....francais . Violence , mysogine , aplogisme de la prostitution mais tout ca reste justifier
Enfin un film français à la hauteur... Je ne suis pas fan des films français mais, je me suis déplacé pour voir celui-ci !! (en fait le 3e film français que je vais voir au cinoche MDR). Pas aussi bon que 36 quai des orfèvres, mais très bon. Pour une fois, chapeau à la France.
Ce n’est pas tant le fait de rabâcher le thème du quotidien des gangsters qui pose problème. C’est de le faire avec autant de complaisance, de voyeurisme, et de manque de rigueur scénaristique. En fait les soubassements de l’intrigue, les trafics de faux billets, de drogue, et de femmes blanches, sont complètement bâclés. Ils ne sont que de vagues référents contextuels pour montrer avec emphase de sexe et de violence, l’enthousiasme et la célérité avec lesquels on dérouille, on bute, on double, on se "tape" de la meuf, dans le milieu. Il serait salutaire pour Frédéric Schoendoerffer de regarder ce qui se fait ailleurs dans le même genre. Avec beaucoup moins de moyens. Mais avec plus d’idées, de force et sans la moindre parcelle vulgarité. Exemple, parmi tant d’autres : La trilogie des « Pusher » réalisée par le danois Nicolas Winding Refn.
Je trouve le film bien tourné, les images sont assez belles et les moyens sont présents, par moments tellement présents et gros, qui rendent le film pas trop crédible (je pense notamment aux scènes du parking sous-terrain en plein Paris ou Tomer Sisley essai une arme de guerre; une grosse fusillade sur un parking d'un hypermarché ou visiblement aucun témoin n'est présent...). Pour moi, la scène la plus violente du film est celle ou Oksana d'Harcourt et Philippe Caubère sont dans les toilettes. En fait, la vrai violence dans ce film est celle que les hommes portent aux femmes, les scènes d'action ne manquent pourtant pas, mais ce n'est pas celles que qui m'ont le plus marqué. C'est peut-être le message que voulais faire passer le réalisateur...
Un très bon polar ultra réaliste. Le scénario est solide, la mise en scène nerveuse et les acteurs sont prodigieux (mention spéciale à Philippe Caubère, magistral dans son rôle de caid de la pègre). A recommander.
je donne quand meme une etoile a ce navet de premiere categorie uniquement parce que j ai bien rigolé!des acteurs tous aussi mauvais les uns que les autres(caubère en tete!)un scenar a deux balles et filmé avec les pieds,en bref le film noir et violent laisse la place au film comique sans le vouloir donc si vous voulez taper des barres de rire louez le!(l achetez pas faut pas deconner non plus)
Ce film est égal aux grands films de gangster américain. Philippe Caubére ets impressionant dans ce Claude Corti parrain de la mafia parisienne. Rien a envier aux américains et surtout pa a tony montana!!!
Un film coup de poing! Pas de temps morts dans ce film de voyous (avec trés peu de flics),ambiances nocturnes,trahisons,réglements de comptes,sexe tout y est pour notre plus grand plaisir.Bref une bonne surprise!
Absence totale de scénario, acteurs minables, violence gratuite, et pourtant seules les scènes d'action sauvent de l'ennui . On voit vraiment pas quel message le réalisateur a voulu faire passer, dans le cas où il y en aurait un.
Absolument minable. Tellement mauvais qu'il en devient génant. Pathétique, vulgaire, inutile et techniquement desoeuvrant de nullité.
On a honte pour les "professionnels" qui ont associés leur nom à ce téléfilm qui aurait pu passer sur la 6 dans les années 80.
A se demander quelle est la bande d'inconscients qui investi son argent dans la production de pareils merdes. Espéront que ce n'est en fait pas le leur.
Espéront aussi qu'il n'y ai pas un cents d'argent public dans ces nauvrages dont nous abreuve hébdomadairement le cinéma français.
Un cinéma inexistant qui n'a de spécificité que son égocentrisme, son inutilité et sa prétention.
Une cure d'amaigrissement paraitrait salutaire pour le cinéma français afin de faire émerger une nouvelle génération de professionnels digne du niveau actuel du cinéma mondial.
Un film de gangster francais, c'est bien mais c'est mieux quand les acteurs sont crédibles dans leur rôle, Magimel reste un des seuls potables. Je le déconseille, ce n'est pas à la hauteur des films de gagnsters américains comme le parrain...
à travers une succession certes logique et simple des scènes, schoendoerffer tente tout simplement de montrer des scènes les plus extrêmes les unes que les autres, sans y trouver une justification autre que celle de montrer de l'extrême. Soit le réalisateur a une image vraiment très manichéenne (en tout cas surement fausse) du milieu des truands et cherche ainsi à le dénoncer, soit il tente de choquer et si c'est le cas, cela se fait sans arriver au tiers de la cheville de ceux qui manient cet art avec brio (gaspard noé). le montage est logique et simple, mais l'histoire est fade,et le casting est si risible (sauf pour magimel qui est le seul à donner un peu de crédibilité) qu'on ne peut pas y croire une seconde, ce qui a le seul mérite de donner de la distance par rapport à la vision de certaines scènes d'une rare atrocité (viol conjugal). A déconseiller aux fans du genre
"On me beurre pas la raie, à MOI !!!", dixit Philippe Caubère. Ben à moi non plus coco, et le polar mal dégrossi qui se vautre dans l'excès pour essayer de choquer son monde, ca s'autorise un seul adjectif : grotesque.
Que donne à voir et à comprendre ce film raté ? Qu’il existe un monde parallèle où évoluent sans crainte de la police des mecs pourris, bas du front et qui passent leur temps à sniffer, user du flingue, écouler de la fausse monnaie, se taper des prostituées, tabasser leurs femmes, torturer pour un oui, pour un non ? Schoendoerffer affirme avoir voulu décrire le « microcosmos » de la pègre en développant une "intrigue shakespearienne" (rien que ça !). Et que nous offre-t-il ? Un film de « fils à papa » qui convoque ses copains « bobos » pour tenter de réaliser un blockbuster à l’américaine. On s’imagine assez facilement ce qui a pu leur traverser l’esprit au moment du tournage du film : « Vas-y Coco, fait-en encore plus, il faut que ça casse la baraque! Faut du vrai méchant, du sanguinolent, de la cuisse Coco! » Le résultat est nul, archinul ! Et qui plus est ce film est dangereux car il porte à croire que les zones de non droit sont partout, des Champs-Elysée aux ruelles de banlieue, du parking à la boîte de nuit branchée…. Il suggère surtout que les caïds de la pègre sont seuls à se taper des petites putes, à sniffer et à user de la violence… Que nos petits bourgeois, nos fils à papa, et nos chers cols blancs n’en goûtent pas ! En somme ce film dédouane une certaine part de la société, celle qui a les moyens de ces travers, qui a le temps pour en profiter, qui ne se tape pas les transports en commun pour aller bosser à 6 heures du matin ! Finalement « Truands » est un très mauvais film qui en dit long sur ceux qui l’ont commis ! Cette critique n’a pour but que d’essayer de faire baisser la moyenne des étoiles attribuées à ce navet. Sinon il ne mérite même pas qu’on s’y attarde...