Avis sur La Troisième partie du monde

Clémence est une très jolie femme. Quant au film il ne repose sur rien, pas d'évévement pas d'histoire, en bref le trou noir.

La seule et unique raison qui m'a attiré vers ce film est le nom de Clémence Poésy sur l'affiche. Je l'avais trouvé formidable dans le méconnu et injustement boudé Sans moi. Elle était aussi très bien dans Le dernier gang le dernier Ariel Zeitoun. Le moins que l'on puisse dire c'est que ce premier film ne ressemble à aucun autre et qu'il peut laisser perplexe. Le scénario est assez complexe, un brin alambiqué, en tout cas très personnel. La mise en scène l'est tout autant. Assez hermétique, elle est cependant intéressante, fluide et agréable malgré un sujet finalement très sombre, pour peu que l'on adhère au propos. Si c'est le cas petit à petit on est pris par l'histoire qui devient de plus en plus fascinante et envoûtant au fur et à mesure des on déroulement. Mélant drame, histoire d'amour et fantastique, une ambiance très particulière qui n'est pas sans rappeler David Lynch. Comme prévu Clémence Poésy est parfaite. Lumineuse, mystérieuse, désemparée, elle est de presque tous les plans, et on ne s'en lasse pas. En attente toujours du grand film qui la fera explosé au niveau supérieur. Eric Ruf (vu aussi dans Sans moi) est également très bien, acteur de théâtre peu connu mais toujours convaincant. Gaspard Ulliel a un rôle plus court et plus léger que ses partenaires mais rien à dire non plus, il est très bien. A noter les deux petites mais sympathiques participations de Jean-Luc Bideau et Scali Delpeyrat. Ajoutés à cela une très belle photo et la musique de Jay-Jay Johanson et l'on obtient l'un des films les plus inclassables et les plus originaux de l'année qui se démarque totalement de ce que l'on peut voir en ce moment. Rien que pour ça un vrai tour de force. Un peu comme le récent La soledad, un film qui ne va pas faire l'unanimité. Vue sa diffusion restreinte il a de toute façon peu de chance d'être vu. En tout cas il ne laissera pas indifférent, je pense qu'il n'y a pas de juste milieu, soit on aime soit on déteste. Moi j'ai aimé !

Une jeune femme séduisante (Clémence Poésy) découvre qu’elle a la malchance de faire disparaître tous ses amants sans aucune raison apparente. Pour son second film, Eric Forestier ne cherche pas la facilité avec son film qui alterne entre science fiction et comédie romantique. Ici il est question de trou noir et de cosmos, donc en conclusion, elle est un trou noir et elle fait disparaître les hommes !
Prise de panique, elle cherche les raisons de ce mal inconnu, pendant que nous, on cherche inlassablement la sortie de la salle !
La Troisième partie du monde est une œuvre contemplative et soporifique mal gérée de bout en bout, si bien que l’on s’ennui très rapidement et ce, jusqu’au générique de fin.

Très original et vraiment prenant.

Un film d'un ennui profond, aux dialogues inéxistent, au scénario vide et aux acteurs sans véritable présence. Le néant.

Une vague histoire de trou noir (!) surréaliste d'une lenteur à faire mourir de honte une tortue des Galapagos. Sans queue ni tête, ni fait ni à faire. Les comédiens sont si mauvais qu'ils font de la peine. Il paraît que les trous noirs aspirent tout jusqu'à la lumière elle-même. Mais ce pathétique film inepte, non n'insistez pas, le trou en a vraiment mais vraiment rien à faire.

Le film est très bien. J'y suis allé ce matin, avant d'avoir lu les critiques et j'ai bien fait... Ca m'aurait surement convaincu de ne pas y aller.

J'ai adoré l'histoire (une fille qui fait disparaitre les hommes sans le vouloir et sans comprendre pourquoi). J'aime beaucoup aussi les images et le traitement. La musique est très belle (ce qui est rare dans les films fauchés).
Les 25 premières minutes sont vraiment charmantes. Après c'est parfois un peu compliqué à comprendre... mais ça vaut le coup. La fin est belle et émouvante.
Il y a un plan (un effet spécial) absolument magnifique (je peux pas vraiment le raconter pour vous laisser la surprise, mais juste dire que c'est un plan avec Maya Sansa et Eric Ruf). Rien que pour ça il faut voir le film. Vraiment !

Un film superbement joué et poetique. Mais si le sujet est immediat il qui développe des énigmes et ne donne aucune réponse. J'ai cependant bien aimé, meme si j'aurais donc apprécié un peu plus de contenu qui nous aurait ainsi mis sur la voie de la signification de ce pouvoir et de son remede.

Saqué par la critique la proposition était pourtant loin d'être mauvaise.
Le rythme prend son temps mais je n'ai néanmoins pas remarqué de 'longueurs', ce qui aurait pu arriver, c'est agréablement pesé. A part peut-être les insertions 'astrales' que je n'ai pas su apprécier.
On croit au désarroi de Clémence 'assassine' malgré elle. Le procédé allégorique aurait peut-être mérité d'apparaitre plus clairement au premier abord, ceci dit trop appuyer la comparaison aurait sûrement été lourd, alors...
Intéressant.

La troisième partie du monde ..
Je tarde a l'écrire, l'ayant vu le 16 Juin ..
Un film spécial .. A la suite duquel, on se pose des questions .. Qui n'auront pas de réponses .. Libre a chacun de se faire une suite ..
Un montage particulier qui déstabilise mais qui prend tout son sens si on suit l'histoire ..
Un jeu d'acteur quasi parfait pour tous les acteurs même si parfois .. On se dit qu'on a eu mieux de leur part ^^

Une musique qui nous plonge dans un monde à part .. Dans la troisième partie du monde finalement ..

Dommage que le film n'ai pas eu beaucoup de pub.. C'est un film a voir .. Et ce même si on est pas fan des acteurs .. ^^

Un film superbe où l'interprétation de Clémence Poesy et Gaspard Ulliel justifie à elle seule de se précipiter dans les salles. On ne les aura jamais vus aussi "beaux", aussi justes.

L'intrigue nous tient en haleine sur les trois quarts du film. Une œuvre bien plus "accessible" qu'elle n'y parait de prime abord.

Un film inclassable, pas vraiment de genre, mais de genre tout de même. Une bouffée d'air frais dans le paysage cinématographique actuel.

De par son scénario très original, ce film un peu déroutant au début vous captive au fur et à mesure qu'on y avance. L'interprétation de Clémence Poésy est magnifique et il serait dommage de rater ce film car ses apparitions sont si rares.
Envoutant mais jamais ennuyeux, ce film pose des questions inhabituelles sur nos origines et notre capacité à s'interroger sur soi et sur les autres.
Magnifique ode à l'amour, j'invite tous ceux et celles qui hésitent encore à aller le voir à franchir le pas !

si le réalisateur a 14 ans, il mérite d'être encouragé et soutenu. dans le cas contraire, il devra être sérieusement rabroué, et la production d'un tel néant invitée à rejoindre au plus vite un trou noir !

J'ai adoré ce film. l'un des plus beaux que j'ai vu cette année, d'une très grande finesse et poésie

Le moment le plus captivant de ce film est la réplique du personnage joué par Eric Ruf : "Je crois que je vais aller dans l'Essonne..."